Salon de l'optique et de la lunetterie début novembre Le Centre international des conférences se mettra, du 2 au 4 novembre, à l'heure de l'optique et de la lunetterie. C'est ce centre qui abritera cette année la 11e édition du Salon international de l'optique et de la lunetterie (SIOL). Organisé annuellement par l'agence de communication spécialisée dans l'événementiel, RH International Communication, ce Salon rassemble autour de ses objectifs de plus en plus d'exposants, fabricants de verres, distributeurs, représentants de marques, grossistes et importateurs des diverses branches de l'optique. Il accueille aussi les professionnels et les praticiens de la santé. Le SIOL devra continuer à améliorer son attractivité et s'imposer comme un rendez-vous utile et incontournable, accompagnant les projets de développement des entreprises, démontrant la capacité créative et innovante de la filière, et renforcer un solide réseau de professionnels réunis autour des mêmes objectifs. Pablo Neruda n'est pas mort d'un cancer Un groupe de 16 experts internationaux, mandatés par la justice chilienne, a conclu, vendredi, que la mort du Prix Nobel de littérature, Pablo Neruda, survenue peu après le coup d'Etat de Pinochet en 1973, n'est pas due à un cancer, comme indiqué sur son certificat de décès. «Ce qui est certain, ce qui est catégoriquement sûr à 100%, c'est que le certificat ne reflète pas la réalité du décès», a déclaré, lors d'une conférence de presse, le Dr Aurelio Luna, au nom des experts chargés de déterminer si le poète chilien avait été assassiné par la dictature du général Augusto Pinochet. Ces spécialistes du Canada, du Danemark, des Etats-Unis, d'Espagne et du Chili n'ont cependant pas réussi à déterminer les causes réelles du décès de Pablo Neruda. Les experts ont découvert une nouvelle bactérie non cancéreuse. Celle-ci est à l'étude dans des laboratoires au Canada et au Danemark, ce qui devrait permettre de mieux comprendre les causes de la mort de Neruda, a expliqué M. Luna. La famille de Pablo Neruda soupçonne un empoisonnement sous la dictature (1973-1990). Guerre contre les graffitis à Aïn Defla A chaque événement électoral, l'apparition de milliers d'inscriptions et d'affichages anarchiques sur les murs, les poteaux, les plaques, les façades des établissements et en bordure des routes créent une pollution visuelle et un décor désolant. Dans ce cadre, le wali de Aïn Defla, Aziz Benyoucef, lors de sa récente visite de travail dans la daïra de Boumedfa, a arrêté brusquement le cortège officiel pour faire une halte devant un établissement de la formation professionnelle. La cause : il a constaté des graffitis renvoyant à un parti politique sur place. Et pour marquer un point à toute la délégation qui l'accompagnait, il dira : «Je ne veux plus de ces inscriptions qui noircissent nos établissements, si certains y voient un phénomène normal dans une campagne électorale, moi je le considère comme une nuisance.» Il a mis en garde tous les responsables des établissements publics de veiller à ce que les clôtures soient propres et bien protégées, surtout des graffitis à connotation politique.