La Direction du tourisme vient, apprend-on, de procéder au retrait des titres de concession accordés à des particuliers. Ces titres de concession avaient été attribués pour l'exploitation des services offerts aux baigneurs sur les deux plages de Boulechghal et Béni-Haoua-Ville. Cette décision, indique-t-on au niveau de la Direction du tourisme, résulte du non respect des clauses des cahiers de charges telles que définies et paraphées par les parties en présence. On nous indique que le manquement concerne en la matière le volet des redevances, en effet ces dernières n'auraient pas été honorées par les concessionnaires auprès du Trésor public, précisent les services de la Direction du tourisme. Il faut savoir que pour cette saison estivale la Direction du tourisme a concédé à des gestionnaires privés la gérance de onze plages sur les vingt-cinq autorisées à la baignade. Cependant si certaines plages, gérées par des particuliers, offrent, jusque-là, des commodités acceptables pour les estivants en matière d'hygiène, d'aménagement et surtout concernant la qualité de l'accueil, il en est tout autrement sur certaines plages gérées par ces mêmes privés pour lesquels le service se résume tout simplement au paiement du ticket d'accès à la plage pour les automobilistes fixé cette année à 50 DA ainsi que la location de chaises de plage et autres matelas. En dehors de recouvrer les redevances, il serait peut-être temps de revoir également les modes de gestion de ces espaces publics et imposer certaines règles à respecter pour leurs gérants. L'été n'en sera que plus beau et les familles ne manqueront pas de se passer le mot pour affluer vers ces endroits qui restent boudés par beaucoup de familles en l'absence de commodités essentielles sur ces lieux censés être dédiés au repos. B. O. La Direction du tourisme vient, apprend-on, de procéder au retrait des titres de concession accordés à des particuliers. Ces titres de concession avaient été attribués pour l'exploitation des services offerts aux baigneurs sur les deux plages de Boulechghal et Béni-Haoua-Ville. Cette décision, indique-t-on au niveau de la Direction du tourisme, résulte du non respect des clauses des cahiers de charges telles que définies et paraphées par les parties en présence. On nous indique que le manquement concerne en la matière le volet des redevances, en effet ces dernières n'auraient pas été honorées par les concessionnaires auprès du Trésor public, précisent les services de la Direction du tourisme. Il faut savoir que pour cette saison estivale la Direction du tourisme a concédé à des gestionnaires privés la gérance de onze plages sur les vingt-cinq autorisées à la baignade. Cependant si certaines plages, gérées par des particuliers, offrent, jusque-là, des commodités acceptables pour les estivants en matière d'hygiène, d'aménagement et surtout concernant la qualité de l'accueil, il en est tout autrement sur certaines plages gérées par ces mêmes privés pour lesquels le service se résume tout simplement au paiement du ticket d'accès à la plage pour les automobilistes fixé cette année à 50 DA ainsi que la location de chaises de plage et autres matelas. En dehors de recouvrer les redevances, il serait peut-être temps de revoir également les modes de gestion de ces espaces publics et imposer certaines règles à respecter pour leurs gérants. L'été n'en sera que plus beau et les familles ne manqueront pas de se passer le mot pour affluer vers ces endroits qui restent boudés par beaucoup de familles en l'absence de commodités essentielles sur ces lieux censés être dédiés au repos. B. O.