Est-ce que réellement le nom de Mohamed est évoqué dans les anciens livres religieux, tels que la Thora et la Bible. Les réponses données par les jurisconsultes musulmans, à notre humble avis, sont vagues et n'ont presque aucun appui solide. Selon vous, y a-t-il un écrit ou une étude crédible qui aborde ce thème sans partialité ni parti pris. (Un groupe d'étudiants de l'université islamique Emir-Abdelkader de Constantine) Est-ce que réellement le nom de Mohamed est évoqué dans les anciens livres religieux, tels que la Thora et la Bible. Les réponses données par les jurisconsultes musulmans, à notre humble avis, sont vagues et n'ont presque aucun appui solide. Selon vous, y a-t-il un écrit ou une étude crédible qui aborde ce thème sans partialité ni parti pris. (Un groupe d'étudiants de l'université islamique Emir-Abdelkader de Constantine) (suite V) Car quand Jésus, accusé de sédition, fut présenté au gouverneur romain Ponce Pilate, il fit une plaidoirie convaincante pour sa défense, afin de réfuter les fausses accusations dont il était l'objet Jésus répondit : " Mon royaume n'est pas de ce monde, si mon royaume était de ce monde, mes serviteurs auraient combattu pour moi, afin que je ne soit pas livré aux juifs. Mais maintenant, mon royaume n'est pas d'ici (Jean 18:36). Ceci a fini par convaincre Pilate (un païen) pour qui Jésus n'était pas en pleine possession de toutes ses facultés mentales, il n'apparaissait pas dès lors comme constituant un danger pour son pouvoir." Jésus ne réclamait qu'un royaume spirituel, en d'autres termes, il prétendait n'être qu'un prophète. Est ce vrai ? Le prêtre confirma mes propos. Je lui dis donc : Jésus n'était pas comme Moïse mais Mohamed au contraire était comme Moïse. Moïse et Mohamed apportèrent de nouvelles lois et une nouvelle règlementation à leur peuple. Moïse donnait non seulement les dix commandements aux Israélites, mais aussi un rituel complet pour guider son peuple. Mohamed, de son côté, est venu à un peuple enfoncé dans le barbarisme et l'ignorance. Les hommes se mariaient avec leur belle-mère et enterraient vivantes leurs filles. L'alcoolisme, l'adultère, l'idolâtrie et les jeux de hasard étaient leur quotidien. L'historien Gibbon dans son "Histoire du déclin et de la chute de l'Empire Romain, nous dépeint les Arabes avant l'Islam en ces termes : ‘‘La brute humaine presque dépourvue de sens, n'est que légèrement différente du reste de la création…'' II était très difficile de faire la différence entre l'homme et l'animal de cette époque, les hommes n'étaient qu'animaux sous une forme humaine. De ce barbarisme abject, Mohammed a élevé son peuple et en a fait un flambeau de lumière et de savoir, selon les propos de Thomas Carlyle. Pour la Nation arabe, c'était comme naître des ténèbres pour aller vers la lumière. Et c'est ainsi pour la première fois que l'Arabie est venue à la vie. Un peuple de pauvres bergers, errant sans être remarqué dans le désert depuis la création du monde. Regardez, le laisser pour compte devenir notable. Le petit devenir géant du monde et ce en l'espace d'un siècle. Tout cela parce que Mohammed a donné à son peuple une loi et une discipline, qu'il n'avait jamais connu auparavant. Pour ce qui est de Jésus, lorsque les Juifs le suspectèrent d'imposture, et qu'ils le crurent être venu pour pervertir leurs enseignements, il lui fut très difficile de les convaincre du contraire. Jésus dut pour cela les rassurer et leur dire qu'il n'était pas venu avec une nouvelle religion. Pas de nouvelles lois et pas de nouvelles règlementations. (Suivra) M. G. (suite V) Car quand Jésus, accusé de sédition, fut présenté au gouverneur romain Ponce Pilate, il fit une plaidoirie convaincante pour sa défense, afin de réfuter les fausses accusations dont il était l'objet Jésus répondit : " Mon royaume n'est pas de ce monde, si mon royaume était de ce monde, mes serviteurs auraient combattu pour moi, afin que je ne soit pas livré aux juifs. Mais maintenant, mon royaume n'est pas d'ici (Jean 18:36). Ceci a fini par convaincre Pilate (un païen) pour qui Jésus n'était pas en pleine possession de toutes ses facultés mentales, il n'apparaissait pas dès lors comme constituant un danger pour son pouvoir." Jésus ne réclamait qu'un royaume spirituel, en d'autres termes, il prétendait n'être qu'un prophète. Est ce vrai ? Le prêtre confirma mes propos. Je lui dis donc : Jésus n'était pas comme Moïse mais Mohamed au contraire était comme Moïse. Moïse et Mohamed apportèrent de nouvelles lois et une nouvelle règlementation à leur peuple. Moïse donnait non seulement les dix commandements aux Israélites, mais aussi un rituel complet pour guider son peuple. Mohamed, de son côté, est venu à un peuple enfoncé dans le barbarisme et l'ignorance. Les hommes se mariaient avec leur belle-mère et enterraient vivantes leurs filles. L'alcoolisme, l'adultère, l'idolâtrie et les jeux de hasard étaient leur quotidien. L'historien Gibbon dans son "Histoire du déclin et de la chute de l'Empire Romain, nous dépeint les Arabes avant l'Islam en ces termes : ‘‘La brute humaine presque dépourvue de sens, n'est que légèrement différente du reste de la création…'' II était très difficile de faire la différence entre l'homme et l'animal de cette époque, les hommes n'étaient qu'animaux sous une forme humaine. De ce barbarisme abject, Mohammed a élevé son peuple et en a fait un flambeau de lumière et de savoir, selon les propos de Thomas Carlyle. Pour la Nation arabe, c'était comme naître des ténèbres pour aller vers la lumière. Et c'est ainsi pour la première fois que l'Arabie est venue à la vie. Un peuple de pauvres bergers, errant sans être remarqué dans le désert depuis la création du monde. Regardez, le laisser pour compte devenir notable. Le petit devenir géant du monde et ce en l'espace d'un siècle. Tout cela parce que Mohammed a donné à son peuple une loi et une discipline, qu'il n'avait jamais connu auparavant. Pour ce qui est de Jésus, lorsque les Juifs le suspectèrent d'imposture, et qu'ils le crurent être venu pour pervertir leurs enseignements, il lui fut très difficile de les convaincre du contraire. Jésus dut pour cela les rassurer et leur dire qu'il n'était pas venu avec une nouvelle religion. Pas de nouvelles lois et pas de nouvelles règlementations. (Suivra) M. G.