La lutte antiterroriste, couplée à la lutte contre le crime organisé, à travers tout le territoire national, est au cœur des préoccupations, voire des priorités des services de sécurité. Il est clair que plusieurs attentats ont été enregistrés durant l'année passée mais plusieurs terroristes ont été éliminés grâce aux forces de sécurité et à la vigilance des citoyens. La lutte antiterroriste, couplée à la lutte contre le crime organisé, à travers tout le territoire national, est au cœur des préoccupations, voire des priorités des services de sécurité. Il est clair que plusieurs attentats ont été enregistrés durant l'année passée mais plusieurs terroristes ont été éliminés grâce aux forces de sécurité et à la vigilance des citoyens. Durant l'année 2013, 190 terroristes ont été éliminés de janvier à septembre à travers le pays, et durant l'année 2012, 175 terroristes ont été éliminés par les services de sécurité. Bien que l'Algérie soit le premier pays à avoir une politique depuis les années de sang et de terreur avec un plan sécuritaire, plusieurs organismes (ONG, rapports,...) et divers pays considèrent encore l'Algérie comme étant un pays à risque. C'est d'ailleurs le cas du rapport de l'Institut pour l'économie et la paix (IEP) en 2012 qui réserve quelques surprises aux pays du Maghreb. L'Indice mondial du terrorisme, est le premier classement jamais réalisé de 158 pays prenant pour critères le nombre d'attaques terroristes, le nombre de victimes et de blessés liés au terrorisme, ainsi que les dommages estimés aux biens. C'est l'Algérie qui affiche l'impact du terrorisme le plus élevé au Maghreb, se classant à la quinzième place dans le monde, selon cette étude d'un genre nouveau. Reste que l'Algérie domine le monde en matière de données positives. Puisque en fait, « les plus importantes baisses de l'impact du terrorisme entre 2002 et 2011 ont été enregistrées aux Etats-Unis et en Algérie », précise ce rapport de l'IEP.Il montre également que le nombre d'attentats terroristes en Algérie est passé de 109 en 2003 à 15 en 2011. Le nombre de victimes a également baissé, passant de 500 morts en 2002 à seulement 25 en 2011. L'Algérie est le premier pays à avoir subi la hargne terroriste mais elle est également le premier pays à avoir créé un plan national de lutte contre le terrorisme. Son expérience est inégalée et elle ne cesse d'alerter depuis des années les Etats pour focaliser leur action commune sur la lutte contre le terrorisme et l'extrémisme et à opposer un front uni à ceux qui encouragent ce phénomène en lui apportant un soutien matériel et L'Algérie a exprimé à maintes reprises sa disponibilité à coopérer avec les pays arabes face à la menace terroriste, par le bais des voies diplomatique elle a signifié qu'elle ne ménagera aucun effort pour apporter une contribution efficace et effective aux efforts arabes et internationaux de lutte contre le terrorisme et le crime organisé. Paradoxalement au mois de février passé, le département d'Etat américain a émis une nouvelle alerte de voyage (travel warning) mettant en garde les ressortissants américains se rendant en Algérie. La note, publiée avant-hier sur le site du bureau des affaires consulaires du département d'Etat, prévient sur les risques de voyage en Algérie, prétextant la menace terroriste persistante à l'est et au sud du pays où les groupes terroristes d'Al Qaîda au Maghreb islamique (AQMI) et du Mouvement pour l'unité et le djihad en Afrique de l'Ouest (Mujao) demeurent toujours nuisibles. L'alerte informe les ressortissants américains que « des épisodes sporadiques de troubles civils ont été enregistrés, à l'image des émeutes d'Alger et dans de nombreuses autres villes ». A cet effet, la note conseille aux Américains d'« éviter les grandes foules et les manifestations, parce que même les manifestations destinées à être pacifiques peuvent devenir violentes et imprévisibles ». Malheureusement et à la veille de la saison touristique le Quai d'Orsay a également alerté ses ressortissants en Algérie ou prévoyant de s'y rendre en les appelant à «la plus grande prudence » et cela d'après leur communiqué «en raison de la persistance d'un risque terroriste élevé dans la région. « Les déplacements sont en particulier formellement déconseillés à nos ressortissants notamment au sud et à l'est de l'Algérie. Dans le contexte des troubles qui se poursuivent depuis plusieurs mois dans la ville et les environs de Ghardaïa, la plus grande prudence est de mise dans cette zone, où les déplacements sont déconseillés sauf raison impérative », ajoute le même communiqué. Durant l'année 2013, 190 terroristes ont été éliminés de janvier à septembre à travers le pays, et durant l'année 2012, 175 terroristes ont été éliminés par les services de sécurité. Bien que l'Algérie soit le premier pays à avoir une politique depuis les années de sang et de terreur avec un plan sécuritaire, plusieurs organismes (ONG, rapports,...) et divers pays considèrent encore l'Algérie comme étant un pays à risque. C'est d'ailleurs le cas du rapport de l'Institut pour l'économie et la paix (IEP) en 2012 qui réserve quelques surprises aux pays du Maghreb. L'Indice mondial du terrorisme, est le premier classement jamais réalisé de 158 pays prenant pour critères le nombre d'attaques terroristes, le nombre de victimes et de blessés liés au terrorisme, ainsi que les dommages estimés aux biens. C'est l'Algérie qui affiche l'impact du terrorisme le plus élevé au Maghreb, se classant à la quinzième place dans le monde, selon cette étude d'un genre nouveau. Reste que l'Algérie domine le monde en matière de données positives. Puisque en fait, « les plus importantes baisses de l'impact du terrorisme entre 2002 et 2011 ont été enregistrées aux Etats-Unis et en Algérie », précise ce rapport de l'IEP.Il montre également que le nombre d'attentats terroristes en Algérie est passé de 109 en 2003 à 15 en 2011. Le nombre de victimes a également baissé, passant de 500 morts en 2002 à seulement 25 en 2011. L'Algérie est le premier pays à avoir subi la hargne terroriste mais elle est également le premier pays à avoir créé un plan national de lutte contre le terrorisme. Son expérience est inégalée et elle ne cesse d'alerter depuis des années les Etats pour focaliser leur action commune sur la lutte contre le terrorisme et l'extrémisme et à opposer un front uni à ceux qui encouragent ce phénomène en lui apportant un soutien matériel et L'Algérie a exprimé à maintes reprises sa disponibilité à coopérer avec les pays arabes face à la menace terroriste, par le bais des voies diplomatique elle a signifié qu'elle ne ménagera aucun effort pour apporter une contribution efficace et effective aux efforts arabes et internationaux de lutte contre le terrorisme et le crime organisé. Paradoxalement au mois de février passé, le département d'Etat américain a émis une nouvelle alerte de voyage (travel warning) mettant en garde les ressortissants américains se rendant en Algérie. La note, publiée avant-hier sur le site du bureau des affaires consulaires du département d'Etat, prévient sur les risques de voyage en Algérie, prétextant la menace terroriste persistante à l'est et au sud du pays où les groupes terroristes d'Al Qaîda au Maghreb islamique (AQMI) et du Mouvement pour l'unité et le djihad en Afrique de l'Ouest (Mujao) demeurent toujours nuisibles. L'alerte informe les ressortissants américains que « des épisodes sporadiques de troubles civils ont été enregistrés, à l'image des émeutes d'Alger et dans de nombreuses autres villes ». A cet effet, la note conseille aux Américains d'« éviter les grandes foules et les manifestations, parce que même les manifestations destinées à être pacifiques peuvent devenir violentes et imprévisibles ». Malheureusement et à la veille de la saison touristique le Quai d'Orsay a également alerté ses ressortissants en Algérie ou prévoyant de s'y rendre en les appelant à «la plus grande prudence » et cela d'après leur communiqué «en raison de la persistance d'un risque terroriste élevé dans la région. « Les déplacements sont en particulier formellement déconseillés à nos ressortissants notamment au sud et à l'est de l'Algérie. Dans le contexte des troubles qui se poursuivent depuis plusieurs mois dans la ville et les environs de Ghardaïa, la plus grande prudence est de mise dans cette zone, où les déplacements sont déconseillés sauf raison impérative », ajoute le même communiqué.
