A quelques jours de l'Aid El Fitr les boutiques dans la capitale ne désemplissent pas. Malgré les prix exorbitants affichés cela n'a pas empêché les parents de se ruer vers les magasins pour effectuer les traditionnels achats de vêtements pour les petits et les ados. A quelques jours de l'Aid El Fitr les boutiques dans la capitale ne désemplissent pas. Malgré les prix exorbitants affichés cela n'a pas empêché les parents de se ruer vers les magasins pour effectuer les traditionnels achats de vêtements pour les petits et les ados. Cette année, comme les précédentes d'ailleurs, cela est une véritable saignée pour les parents qui ont dû faire face au Ramadhan avec les dépenses qu'il occasionne, d'une part, puis à la rentrée scolaire avec son lot d'achats de fournitures et livres, d'autre part. Voilà l'Aïd et les incontournables achats de vêtements qui, cette année ne sont pas donnés. Des prix exorbitants pour certains et un casse-tête pour les autres qui sont obligés de faire des calculs pour ne pas déroger à la tradition. Certaines familles sont contraintes, la mort dans l'âme, de se tourner vers la friperie pour contenter leur progéniture. D'autres mettent carrément au clou ou engagent au mont-de-piété leurs bijoux. C'est ce qu'on appelle l'amour filial. Malheureusement, au lieu que les commerçants optent pour les promotions ou a solder les prix, au contraire, ils profitent de la détresse de ces parents qui viennent pour la plupart de recevoir leur salaire du mois. Une virée dans les boutiques de la capitale donne le ton à ce que sera l'Aïd cette année, mais informe également sur la flambée des prix qui a touché ces produits très demandés en pareille période de l'année. Le made in China envahit le marché et le prêt-à-porter national est en voie de disparition. Quant aux produits européens, les prix sont tellement choquants que les boutiques sont désertées Beaucoup de personnes présentes dans cette boutique, regrettent néanmoins cette coïncidence qui a fait que les rentrées sociale, scolaire, le Ramadhan et l'Aïd tombent quasiment à la même période occasionnant un surplus de dépenses pour les familles. C'est ainsi que cette année, les producteurs algériens ont un peu tiré leur épingle du jeu, même si la domination chinoise est encore de mise. Il faut préciser qu'en plus des modèles locaux qui parviennent à se placer, les producteurs chinois sont talonnés cette année par les Turcs et les Syriens. Cependant, côté disponibilité, il a été relevé un large choix pour ce qui concerne les habits pour enfants, avec en plus une palette de prix assez large. El hadj Tahar Boulanouar, porte-parole de l'Union générale des commerçants et artisans algériens (UGCCA) a affirmé que l'importé est à hauteur de 80%, les prix des vêtements pour enfants cette année à l'occasion de l'Aïd El Fitr, attendu dans quelques jours, ont augmenté de 10 à 15% par rapport à l'année dernière pour la même circonstance. M. Boulanouar a fait savoir que 50% des vêtements pour enfants sont commercialisés à l'occasion de l'Aïd El Fitr et de la rentrée scolaire. Lors de ces deux occasions, poursuivra le conférencier, les familles algériennes débourseront environ 100 milliards DA dans les achats vestimentaires pour leur progéniture. Cette année, comme les précédentes d'ailleurs, cela est une véritable saignée pour les parents qui ont dû faire face au Ramadhan avec les dépenses qu'il occasionne, d'une part, puis à la rentrée scolaire avec son lot d'achats de fournitures et livres, d'autre part. Voilà l'Aïd et les incontournables achats de vêtements qui, cette année ne sont pas donnés. Des prix exorbitants pour certains et un casse-tête pour les autres qui sont obligés de faire des calculs pour ne pas déroger à la tradition. Certaines familles sont contraintes, la mort dans l'âme, de se tourner vers la friperie pour contenter leur progéniture. D'autres mettent carrément au clou ou engagent au mont-de-piété leurs bijoux. C'est ce qu'on appelle l'amour filial. Malheureusement, au lieu que les commerçants optent pour les promotions ou a solder les prix, au contraire, ils profitent de la détresse de ces parents qui viennent pour la plupart de recevoir leur salaire du mois. Une virée dans les boutiques de la capitale donne le ton à ce que sera l'Aïd cette année, mais informe également sur la flambée des prix qui a touché ces produits très demandés en pareille période de l'année. Le made in China envahit le marché et le prêt-à-porter national est en voie de disparition. Quant aux produits européens, les prix sont tellement choquants que les boutiques sont désertées Beaucoup de personnes présentes dans cette boutique, regrettent néanmoins cette coïncidence qui a fait que les rentrées sociale, scolaire, le Ramadhan et l'Aïd tombent quasiment à la même période occasionnant un surplus de dépenses pour les familles. C'est ainsi que cette année, les producteurs algériens ont un peu tiré leur épingle du jeu, même si la domination chinoise est encore de mise. Il faut préciser qu'en plus des modèles locaux qui parviennent à se placer, les producteurs chinois sont talonnés cette année par les Turcs et les Syriens. Cependant, côté disponibilité, il a été relevé un large choix pour ce qui concerne les habits pour enfants, avec en plus une palette de prix assez large. El hadj Tahar Boulanouar, porte-parole de l'Union générale des commerçants et artisans algériens (UGCCA) a affirmé que l'importé est à hauteur de 80%, les prix des vêtements pour enfants cette année à l'occasion de l'Aïd El Fitr, attendu dans quelques jours, ont augmenté de 10 à 15% par rapport à l'année dernière pour la même circonstance. M. Boulanouar a fait savoir que 50% des vêtements pour enfants sont commercialisés à l'occasion de l'Aïd El Fitr et de la rentrée scolaire. Lors de ces deux occasions, poursuivra le conférencier, les familles algériennes débourseront environ 100 milliards DA dans les achats vestimentaires pour leur progéniture.