L'Algérie ne participera pas aux opérations militaires directes menée par plusieurs pays contre Daech. Mais le gouvernement algérien soutient la lutte contre le terrorisme dans ces régions. L'Algérie ne participera pas aux opérations militaires directes menée par plusieurs pays contre Daech. Mais le gouvernement algérien soutient la lutte contre le terrorisme dans ces régions. « Le principe reste intangible pour l'Algérie » explique le ministre algérien des Affaires étrangères Ramtane Lamamra qui indique « le soutien de l'Algérie à la coalition internationale contre l'Etat islamique tout en excluant toute participation aux opérations en cours en Irak et en Syrie ». « Notre doctrine de non-alignement ne nous autorise ni à recevoir des bases étrangères sur notre territoire ni à faire sortir nos troupes dans des missions en dehors de nos frontières » ajoute-t-il. L'Algérie, qui dispose d'une grande expérience en matière de lutte anti-terroriste, soutient néanmoins la coalition des pays menant depuis quelques semaines des raids aériens dans des régions où sévit Daech. Que ce soit en Irak ou en Syrie, l'Algérie rejette toute intervention militaire directe de peur que cette intervention ne « se transforme en catastrophe humanitaire pour les populations, ce qui les pousserait à voir dans le terrorisme un moindre mal comparativement aux bombardements de la coalition internationale ». Daech, qui commence à prendre des proportions alarmantes dans ces pays, tente de percer les frontières des pays du Maghreb mais sans grande incidence. Les groupes les plus virulents n'arrivent pas à faire face aux éléments de l'ANP ni à établir une quelconque base. Cela reste au stade de menace seulement. La prudence est donc de mise, de même que la diplomatie algérienne avait signifié son refus de voir la Libye se transformer en champ de bataille. Le chef de la diplomatie algérienne arrive à établir une nuance de taille entre combattre le terrorisme et intervenir par un arsenal de guerre dans un pays étranger. Pour le ministre des AE, la plus grande victoire est d'avoir trouvé un consensus entre les pays pour « interdire le paiement des rançons aux groupes terroristes où qu'ils soient ». Ramtane Lamamra n'a eu de cesse de clamer à la dernière assemblée générale de l'Onu que « l'assèchement des sources de financement est plus important que la mobilisation des troupes militaires dans la lutte anti-terroriste. L'Algérie est à l'avant-garde de la lutte contre le terrorisme. Elle a joué un rôle clé au niveau de l'assemblée générale des Nations unies et au Conseil de sécurité pour l'élaboration des textes qui structurent la coopération internationale contre le terrorisme ». L'Algérie, qui dispose d'un plan global de vigilance et de sécurité au niveau de ses frontières, est prise actuellement comme le modèle à suivre en matière de résultats obtenus dans la lutte antiterroriste et la neutralisation des groupes les plus dangereux qui tentaient de la déstabiliser pendant des années. « Le principe reste intangible pour l'Algérie » explique le ministre algérien des Affaires étrangères Ramtane Lamamra qui indique « le soutien de l'Algérie à la coalition internationale contre l'Etat islamique tout en excluant toute participation aux opérations en cours en Irak et en Syrie ». « Notre doctrine de non-alignement ne nous autorise ni à recevoir des bases étrangères sur notre territoire ni à faire sortir nos troupes dans des missions en dehors de nos frontières » ajoute-t-il. L'Algérie, qui dispose d'une grande expérience en matière de lutte anti-terroriste, soutient néanmoins la coalition des pays menant depuis quelques semaines des raids aériens dans des régions où sévit Daech. Que ce soit en Irak ou en Syrie, l'Algérie rejette toute intervention militaire directe de peur que cette intervention ne « se transforme en catastrophe humanitaire pour les populations, ce qui les pousserait à voir dans le terrorisme un moindre mal comparativement aux bombardements de la coalition internationale ». Daech, qui commence à prendre des proportions alarmantes dans ces pays, tente de percer les frontières des pays du Maghreb mais sans grande incidence. Les groupes les plus virulents n'arrivent pas à faire face aux éléments de l'ANP ni à établir une quelconque base. Cela reste au stade de menace seulement. La prudence est donc de mise, de même que la diplomatie algérienne avait signifié son refus de voir la Libye se transformer en champ de bataille. Le chef de la diplomatie algérienne arrive à établir une nuance de taille entre combattre le terrorisme et intervenir par un arsenal de guerre dans un pays étranger. Pour le ministre des AE, la plus grande victoire est d'avoir trouvé un consensus entre les pays pour « interdire le paiement des rançons aux groupes terroristes où qu'ils soient ». Ramtane Lamamra n'a eu de cesse de clamer à la dernière assemblée générale de l'Onu que « l'assèchement des sources de financement est plus important que la mobilisation des troupes militaires dans la lutte anti-terroriste. L'Algérie est à l'avant-garde de la lutte contre le terrorisme. Elle a joué un rôle clé au niveau de l'assemblée générale des Nations unies et au Conseil de sécurité pour l'élaboration des textes qui structurent la coopération internationale contre le terrorisme ». L'Algérie, qui dispose d'un plan global de vigilance et de sécurité au niveau de ses frontières, est prise actuellement comme le modèle à suivre en matière de résultats obtenus dans la lutte antiterroriste et la neutralisation des groupes les plus dangereux qui tentaient de la déstabiliser pendant des années.