De l'argent pour les routes, il y en aura à gogo. Les tronçons défectueux de l'autoroute Est-Ouest seront pris en charge. Sur le plan formation, deux écoles de travaux publics verront le jour. Le secteur, à vrai dire, sera chamboulé. De l'argent pour les routes, il y en aura à gogo. Les tronçons défectueux de l'autoroute Est-Ouest seront pris en charge. Sur le plan formation, deux écoles de travaux publics verront le jour. Le secteur, à vrai dire, sera chamboulé. Voilà les grands axes sur lesquels le secteur des travaux publics travaillera à l'horizon 2019. Désormais l'état défectueux de nos routes et l'autoroute Est-Ouest sera remis à niveau. Pour le cas de l'autoroute dont beaucoup d'encre a coulé ces derniers temps « les travaux de mise à niveau sont en cours » a indiqué le ministre du secteur Abdelkader Kadi. Après avoir constaté que des tronçons sur plusieurs kilomètres, notamment à l'Est ont été dégradés, il « incombe aux entreprises réalisatrices de les prendre en charge » précise le ministre. Ce qui est effarant dans cette histoire, c'est que ces anomalies remontent à 6 ans alors que le diagnostic réalisé par le ministère font relever des erreurs de réalisations des études, obligeant les contractants à assumer leurs responsabilités. Pour les routes, de l'argent frais sera injecté dont le montant révélé est de 4.140 milliards de dinars. Une enveloppe conséquente pour réaliser de nouvelles routes et doubler les autres voies de communication dans les régions qui en sont dépourvues. Un autre phénomène qu'il faudra circonscrire est celui des éboulements dans certaines localités. Le premier responsable du secteur explique que parmi les raisons de ces glissements est celui des intempéries. « Les pluies, les feux de forêts et les secousses telluriques » déploret- il en soutenant que les études en cours vont recenser toutes les données pour « éviter la reproduction de ces accidents » qui ont coûté des dizaines de vie au niveau de certains monts de Kabylie. Mais visiblement, les pouvoirs publics en charge de ce dossier veulent surtout investir sur les ressources humaines après avoir constaté qu'il existe un manque de techniciens et d'ingénieurs en travaux publics. Abdelkader Kadi regrette « qu'il n'y ait pas d'ingénieurs spécialisés dans les tunnels et les ponts » comme cela existe ailleurs. C'est la raison qui amène l'Etat à investir dans deux écoles de formation qui seront, à moyen terme, opérationnelles. De l'autre côté, les responsables du secteur affirment actuellement que les entreprises algériennes ont augmenté leur capacité à prendre en charge des travaux routiers dans l'ensemble du pays. Mais il faudra décidément compter sur l'assistance technique dans certains contrats attribués aux groupes étrangers qui doivent impérativement recruter les techniciens ou ingénieurs algériens. Ces multinationales préfèrent toujours faire travailler ces expatriés à des postes que les Algériens ont la capacité d'occuper. On pense notamment à faire des pressions sur ces cas. Voilà les grands axes sur lesquels le secteur des travaux publics travaillera à l'horizon 2019. Désormais l'état défectueux de nos routes et l'autoroute Est-Ouest sera remis à niveau. Pour le cas de l'autoroute dont beaucoup d'encre a coulé ces derniers temps « les travaux de mise à niveau sont en cours » a indiqué le ministre du secteur Abdelkader Kadi. Après avoir constaté que des tronçons sur plusieurs kilomètres, notamment à l'Est ont été dégradés, il « incombe aux entreprises réalisatrices de les prendre en charge » précise le ministre. Ce qui est effarant dans cette histoire, c'est que ces anomalies remontent à 6 ans alors que le diagnostic réalisé par le ministère font relever des erreurs de réalisations des études, obligeant les contractants à assumer leurs responsabilités. Pour les routes, de l'argent frais sera injecté dont le montant révélé est de 4.140 milliards de dinars. Une enveloppe conséquente pour réaliser de nouvelles routes et doubler les autres voies de communication dans les régions qui en sont dépourvues. Un autre phénomène qu'il faudra circonscrire est celui des éboulements dans certaines localités. Le premier responsable du secteur explique que parmi les raisons de ces glissements est celui des intempéries. « Les pluies, les feux de forêts et les secousses telluriques » déploret- il en soutenant que les études en cours vont recenser toutes les données pour « éviter la reproduction de ces accidents » qui ont coûté des dizaines de vie au niveau de certains monts de Kabylie. Mais visiblement, les pouvoirs publics en charge de ce dossier veulent surtout investir sur les ressources humaines après avoir constaté qu'il existe un manque de techniciens et d'ingénieurs en travaux publics. Abdelkader Kadi regrette « qu'il n'y ait pas d'ingénieurs spécialisés dans les tunnels et les ponts » comme cela existe ailleurs. C'est la raison qui amène l'Etat à investir dans deux écoles de formation qui seront, à moyen terme, opérationnelles. De l'autre côté, les responsables du secteur affirment actuellement que les entreprises algériennes ont augmenté leur capacité à prendre en charge des travaux routiers dans l'ensemble du pays. Mais il faudra décidément compter sur l'assistance technique dans certains contrats attribués aux groupes étrangers qui doivent impérativement recruter les techniciens ou ingénieurs algériens. Ces multinationales préfèrent toujours faire travailler ces expatriés à des postes que les Algériens ont la capacité d'occuper. On pense notamment à faire des pressions sur ces cas.