Le "dénouement" pour parvenir à un compromis sur le nucléaire iranien "commence", a indiqué hier le chef de la diplomatie allemande, Frank Walter Steinmeier, en arrivant à Lausanne, pour participer aux tractations internationales. Le "dénouement" pour parvenir à un compromis sur le nucléaire iranien "commence", a indiqué hier le chef de la diplomatie allemande, Frank Walter Steinmeier, en arrivant à Lausanne, pour participer aux tractations internationales. "Après presque douze ans de négociations avec l'Iran, le dénouement commence", a déclaré M. Steinmeier, arrivé en Suisse pour participer aux discussions entre Téhéran et les grandes puissances, censées aboutir à un accord avant le 31 mars. "Et ici, avec cette vue sur les montagnes suisses, je ne peux m'empêcher de penser que lorsqu'on aperçoit le sommet, les derniers mètres sont les plus difficiles mais aussi les plus décisifs", a ajouté le ministre. "C'est ce qui doit être fait dans les prochaines heures et les prochains jours. Je peux seulement espérer qu'au regard de ce qui a été fait au cours des douze derniers mois, les efforts pour (parvenir) à un accord final ne seront pas abandonnés". Un succès dans le dossier du nucléaire iranien "pourrait peut-être apporter un peu de calme" au Moyen-Orient, a-t-il estimé. Les Etats-Unis et l'Iran ont repris jeudi à Lausanne leurs discussions sur le nucléaire iranien, censées aboutir avant la fin du mois sur un accord de principe entre Téhéran et les grandes puissances. Après plus d'un an de discussions et un accord provisoire déjà prorogé deux fois, Téhéran et le groupe des grandes puissances P5+1 (Etats-Unis, Grande-Bretagne, France, Russie, Chine et Allemagne) sont censés conclure un accord politique avant la fin du mois. Les Occidentaux veulent des garanties pour que Téhéran ne se dote pas de l'arme atomique, en échange desquelles les sanctions contre l'Iran seraient graduellement levées. L'Iran a toujours démenti qu'il cherchait à maîtriser la technologie de fabrication des armes nucléaires, assurant que son programme n'avait que des objectifs civils et pacifiques. "Après presque douze ans de négociations avec l'Iran, le dénouement commence", a déclaré M. Steinmeier, arrivé en Suisse pour participer aux discussions entre Téhéran et les grandes puissances, censées aboutir à un accord avant le 31 mars. "Et ici, avec cette vue sur les montagnes suisses, je ne peux m'empêcher de penser que lorsqu'on aperçoit le sommet, les derniers mètres sont les plus difficiles mais aussi les plus décisifs", a ajouté le ministre. "C'est ce qui doit être fait dans les prochaines heures et les prochains jours. Je peux seulement espérer qu'au regard de ce qui a été fait au cours des douze derniers mois, les efforts pour (parvenir) à un accord final ne seront pas abandonnés". Un succès dans le dossier du nucléaire iranien "pourrait peut-être apporter un peu de calme" au Moyen-Orient, a-t-il estimé. Les Etats-Unis et l'Iran ont repris jeudi à Lausanne leurs discussions sur le nucléaire iranien, censées aboutir avant la fin du mois sur un accord de principe entre Téhéran et les grandes puissances. Après plus d'un an de discussions et un accord provisoire déjà prorogé deux fois, Téhéran et le groupe des grandes puissances P5+1 (Etats-Unis, Grande-Bretagne, France, Russie, Chine et Allemagne) sont censés conclure un accord politique avant la fin du mois. Les Occidentaux veulent des garanties pour que Téhéran ne se dote pas de l'arme atomique, en échange desquelles les sanctions contre l'Iran seraient graduellement levées. L'Iran a toujours démenti qu'il cherchait à maîtriser la technologie de fabrication des armes nucléaires, assurant que son programme n'avait que des objectifs civils et pacifiques.