L'autoroute Est-Ouest souffre de l'absence d'aires de repos et desstations d'essence. Ces projets promis ne voient pas le jour au moment où l'on parle de péage autoroutier. L'autoroute Est-Ouest souffre de l'absence d'aires de repos et desstations d'essence. Ces projets promis ne voient pas le jour au moment où l'on parle de péage autoroutier. C 'est un véritable calvaire pour les automobilistes qui sillonnent l'autoroute sans trouver des aires de repos et sont obligés de faire le plein en carburants dans des stations plus éloignées de l'axe autoroutier. Au décompte, seules quelques stations d'essence existent mais sont situées soit au centre-ville des agglomérations soit à la périphérie, ce qui oblige les usagers à faire de grands détours pour se procurer le carburant. Le ministère des Travaux publics dont la responsabilité incombe pour réaliser ces projets n'a pas encore concrétisé sur le terrain ces infrastructures. Il devait y avoir sur les grands axes de l'autoroute plusieurs stations de carburants en partenariat avec Naftal et simultanément des aires de repos espacées ayant toutes les commodités pour ceux qui empruntent les voies routières et l'autoroute. Jusque-là, très peu de choses ont été réalisées si ce n'est une station d'essence à Bordj Bou Arreridj et une autre prés de la wilaya d'El Tarf. Al'ouest, rien de nouveau avec un asphalte continuellement plat et sans éclat. Le ministre actuel des Travaux publics Abdelkader Kadi est sorti de son mutisme pour parler de kiosques qui offriraient des prestations aux automobilistes. Il a à cet effet appelé les directeurs des travaux publics de toutes les wilayas à se mettre en partenaires avec les communes pour réaliser ces infrastructures. Selon le ministre, ces kiosques permettraient de créer autant d'emplois dans la plupart des régions proches de l'axe autoroutier. De plus, le ministre a montré de l'utilité en indiquant à ces responsables « la valorisation des dimensions esthétiques et économiques des routes et ouvrages d'art » en soulignant fortement que ces dimensions « contribueraient à servir le tourisme qui ne peut s'accommoder de routes en mauvais état ou mal exécutées ». De même que le premier responsable du secteur s'est montré ferme à l'endroit des responsables pour « traiter les bordures de chaussées en y plantant des arbustes et veiller à leur entretien". Un tel travail devait en fait se réaliser dès la mise en fonction de l'autoroute Est-Ouest. Dès lors, on s'interroge sur le retard pris sur ces projets pour lesquels le financement ne manque pas. Il est à préciser qu'une enveloppe conséquente d'un montant de 30 milliards de DA pour soutenir davantage les maisons cantonnières et de les équiper. Il s'agit d'un aspect important de l'entretien et la maintenance routière ou autoroutière. Tout comme le projet de doublement des voies en raison des flux importants du trafic routier qui reste à mettre en place. Le ministre qui tient toujours à rassurer les usagers, estime qu'une partie de ces infrastructures sera achevée avant la fin de l'année. C 'est un véritable calvaire pour les automobilistes qui sillonnent l'autoroute sans trouver des aires de repos et sont obligés de faire le plein en carburants dans des stations plus éloignées de l'axe autoroutier. Au décompte, seules quelques stations d'essence existent mais sont situées soit au centre-ville des agglomérations soit à la périphérie, ce qui oblige les usagers à faire de grands détours pour se procurer le carburant. Le ministère des Travaux publics dont la responsabilité incombe pour réaliser ces projets n'a pas encore concrétisé sur le terrain ces infrastructures. Il devait y avoir sur les grands axes de l'autoroute plusieurs stations de carburants en partenariat avec Naftal et simultanément des aires de repos espacées ayant toutes les commodités pour ceux qui empruntent les voies routières et l'autoroute. Jusque-là, très peu de choses ont été réalisées si ce n'est une station d'essence à Bordj Bou Arreridj et une autre prés de la wilaya d'El Tarf. Al'ouest, rien de nouveau avec un asphalte continuellement plat et sans éclat. Le ministre actuel des Travaux publics Abdelkader Kadi est sorti de son mutisme pour parler de kiosques qui offriraient des prestations aux automobilistes. Il a à cet effet appelé les directeurs des travaux publics de toutes les wilayas à se mettre en partenaires avec les communes pour réaliser ces infrastructures. Selon le ministre, ces kiosques permettraient de créer autant d'emplois dans la plupart des régions proches de l'axe autoroutier. De plus, le ministre a montré de l'utilité en indiquant à ces responsables « la valorisation des dimensions esthétiques et économiques des routes et ouvrages d'art » en soulignant fortement que ces dimensions « contribueraient à servir le tourisme qui ne peut s'accommoder de routes en mauvais état ou mal exécutées ». De même que le premier responsable du secteur s'est montré ferme à l'endroit des responsables pour « traiter les bordures de chaussées en y plantant des arbustes et veiller à leur entretien". Un tel travail devait en fait se réaliser dès la mise en fonction de l'autoroute Est-Ouest. Dès lors, on s'interroge sur le retard pris sur ces projets pour lesquels le financement ne manque pas. Il est à préciser qu'une enveloppe conséquente d'un montant de 30 milliards de DA pour soutenir davantage les maisons cantonnières et de les équiper. Il s'agit d'un aspect important de l'entretien et la maintenance routière ou autoroutière. Tout comme le projet de doublement des voies en raison des flux importants du trafic routier qui reste à mettre en place. Le ministre qui tient toujours à rassurer les usagers, estime qu'une partie de ces infrastructures sera achevée avant la fin de l'année.
