Le ministre de la Communication, Hamid Grine, a considéré, à Constantine, que le journalisme était "pratiqué en Algérie sans aucune pression". Le ministre de la Communication, Hamid Grine, a considéré, à Constantine, que le journalisme était "pratiqué en Algérie sans aucune pression". Au cours d'une conférence de presse, organisée dans le cadre de la célébration officielle de la journée internationale de la liberté d'expression, M. Grine a ajouté que lui-même et de hauts responsables de l'Etat "ont été diffamés, parfois insultés dans des titres de presse sans qu'aucun journaliste n'ait été traduit en justice ou condamné à verser des réparations financières comme c'est le cas sous d'autres cieux où l'on dit défendre la liberté d'expression". Le ministre a cependant admis que le journaliste était "parfois malheureux en Algérie" car "n'ayant pas toujours les conditions de travail nécessaires pour mieux exercer ses missions (...)". M. Grine a mis l'accent, dans ce contexte, sur "l'importance d'améliorer les conditions socioprofessionnelles des journalistes". Rappelant que son département "ne s'ingère nullement dans la gestion interne des organes de presse", le ministre a indiqué que le journaliste "doit être bien payé et bien équipé en moyens technologiques pour un meilleur rendement professionnel". M.Grine a affirmé que la presse algérienne était "professionnelle" et "saine". "La liberté de la presse "existe en Algérie et sera progressivement consolidée à la faveur du professionnalisme et du respect de la déontologie", a souligné le ministre de la Communication, qui s'est attardé sur "les avantages du pluralisme dans le domaine de la presse et son impact dans la promotion de ce métier". Les quelques dépassements observés, en l'occurrence la publication de propos pouvant être considérés comme injurieux, où autres attaques constatées, sont des "déviations qui ne sont pas propres à toute la presse algérienne", a considéré M. Grine, rappelant que les 360 titres de presse écrite algérienne ont toute liberté pour s'exprimer. Insistant sur l'importance de "moraliser la vie publique", le ministre a rappelé la "règle d'or" qui veut que "dans le doute, il faut s'abstenir" et qui doit animer l'esprit des journalistes dont la mission principale est "d'informer et non pas de diffamer ou d'attaquer". La déontologie commence par soi-même, a estimé le ministre, encourageant les journalistes à retirer leurs cartes professionnelles pour permettre l'élection du Conseil de déontologie. Le ministre a indiqué, dans ce contexte, que l'élection de l'Autorité de régulation de la presse écrite qui s'occupera, entre autres, de la publicité, sera "peut-être élue avant l'été prochain", parallèlement au Conseil de déontologie qui "canalisera et maîtrisera les quelques déviations constatées". L'accès aux sources d'information est "certes dur, parfois, pour les journalistes", a en outre estimé le ministre, précisant que son département avait déjà lancé une vaste campagne de sensibilisation auprès des différentes Institutions à l'effet de "les encourager à communiquer et à permettre aux professionnels des médias d'avoir accès aux informations demandées". Réitérant sa solidarité avec les correspondants permanents de presse, vivant de ce métier mais ne possédant ni contrat de travail ni couverture sociale, M. Grine a indiqué "ne ménager aucun effort pour intervenir en faveur de ces correspondants, chaque fois qu'(il) était interpellé lors de déplacements dans les wilayas du pays". Des inspections sont dépêchées par le ministère du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale dans les rédactions pour s'enquérir des conditions de travail des journalistes et intervenir en cas de dépassements, a souligné le ministre. Le combat que doivent mener les journalistes "est celui de l'amélioration de leurs conditions socioprofessionnelles qui sont parfois dures", a souligné M. Grine, estimant que le "pluralisme dans le domaine de la presse constitue un acquis à préserver+par le professionnalisme+". "On est dans un pays de la liberté de la presse. Une liberté que beaucoup de ministres de la Communication de pays musulmans ont salué lors de la conférence sur +les jeunes et la presse dans les pays musulmans+", organisée récemment au Sénégal", a affirmé le ministre. Au cours d'une conférence de presse, organisée dans le cadre de la célébration officielle de la journée internationale de la liberté d'expression, M. Grine a ajouté que lui-même et de hauts responsables de l'Etat "ont été diffamés, parfois insultés dans des titres de presse sans qu'aucun journaliste n'ait été traduit en justice ou condamné à verser des réparations financières comme c'est le cas sous d'autres cieux où l'on dit défendre la liberté d'expression". Le ministre a cependant admis que le journaliste était "parfois malheureux en Algérie" car "n'ayant pas toujours les conditions de travail nécessaires pour mieux exercer ses missions (...)". M. Grine a mis l'accent, dans ce contexte, sur "l'importance d'améliorer les conditions socioprofessionnelles des journalistes". Rappelant que son département "ne s'ingère nullement dans la gestion interne des organes de presse", le ministre a indiqué que le journaliste "doit être bien payé et bien équipé en moyens technologiques pour un meilleur rendement professionnel". M.Grine a affirmé que la presse algérienne était "professionnelle" et "saine". "La liberté de la presse "existe en Algérie et sera progressivement consolidée à la faveur du professionnalisme et du respect de la déontologie", a souligné le ministre de la Communication, qui s'est attardé sur "les avantages du pluralisme dans le domaine de la presse et son impact dans la promotion de ce métier". Les quelques dépassements observés, en l'occurrence la publication de propos pouvant être considérés comme injurieux, où autres attaques constatées, sont des "déviations qui ne sont pas propres à toute la presse algérienne", a considéré M. Grine, rappelant que les 360 titres de presse écrite algérienne ont toute liberté pour s'exprimer. Insistant sur l'importance de "moraliser la vie publique", le ministre a rappelé la "règle d'or" qui veut que "dans le doute, il faut s'abstenir" et qui doit animer l'esprit des journalistes dont la mission principale est "d'informer et non pas de diffamer ou d'attaquer". La déontologie commence par soi-même, a estimé le ministre, encourageant les journalistes à retirer leurs cartes professionnelles pour permettre l'élection du Conseil de déontologie. Le ministre a indiqué, dans ce contexte, que l'élection de l'Autorité de régulation de la presse écrite qui s'occupera, entre autres, de la publicité, sera "peut-être élue avant l'été prochain", parallèlement au Conseil de déontologie qui "canalisera et maîtrisera les quelques déviations constatées". L'accès aux sources d'information est "certes dur, parfois, pour les journalistes", a en outre estimé le ministre, précisant que son département avait déjà lancé une vaste campagne de sensibilisation auprès des différentes Institutions à l'effet de "les encourager à communiquer et à permettre aux professionnels des médias d'avoir accès aux informations demandées". Réitérant sa solidarité avec les correspondants permanents de presse, vivant de ce métier mais ne possédant ni contrat de travail ni couverture sociale, M. Grine a indiqué "ne ménager aucun effort pour intervenir en faveur de ces correspondants, chaque fois qu'(il) était interpellé lors de déplacements dans les wilayas du pays". Des inspections sont dépêchées par le ministère du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale dans les rédactions pour s'enquérir des conditions de travail des journalistes et intervenir en cas de dépassements, a souligné le ministre. Le combat que doivent mener les journalistes "est celui de l'amélioration de leurs conditions socioprofessionnelles qui sont parfois dures", a souligné M. Grine, estimant que le "pluralisme dans le domaine de la presse constitue un acquis à préserver+par le professionnalisme+". "On est dans un pays de la liberté de la presse. Une liberté que beaucoup de ministres de la Communication de pays musulmans ont salué lors de la conférence sur +les jeunes et la presse dans les pays musulmans+", organisée récemment au Sénégal", a affirmé le ministre.