La cérémonie de clôture a été mise à profit pour honorer également plusieurs figures de l'art algérien, à l'image des artistes Hadj Smaïl, Abdelhamid Habati, Antar Hellal et Aziz Adjabi. La représentation arabe était très présente à ce festival. La cérémonie de clôture a été mise à profit pour honorer également plusieurs figures de l'art algérien, à l'image des artistes Hadj Smaïl, Abdelhamid Habati, Antar Hellal et Aziz Adjabi. La représentation arabe était très présente à ce festival. Le 11e Festival national du théâtre universitaire s'est clôturé mercredi dernier dans la soirée au théâtre régional de Constantine devant un public venu nombreux. Organisé par l'Office national des oeuvres universitaire sur le thème "Le théâtre universitaire, des planches ouvertes sur la créativité arabe", du 13 au 21 mai à Constantine, l'ultime soirée de cet événement théâtral universitaire était spéciale pour les organisateurs. Son animation a été dédiée à une cérémonie de distribution de prix très attendue par les participants. D'ailleurs, le jury ne s'est pas fait prier pour annoncer les heureux élus. A ce titre le Grand prix a été attribué à la troupe de l'université de Sétif pour son excellente interprétation de la pièce Banat El Khawaja. Le prix de la meilleure scénographie est revenu à la pièce Youghourta de Sétif et Etalata d'Arabie saoudite, alors que le premier prix de la mise en scène théâtrale a été décerné à Noureddine Kouider de l'université de Tébessa. Le prix du meilleur rôle féminin revient de droit à Chafia Raâb de l'université de Tizi-Ouzou et à une étudiante de la Tunisie, tandis que le titre de meilleur rôle masculin est revenu à Smaïl Zine et Mohamed Kaci de Jijel. Ces prix ont étéattribués à l'issue de joutes dans lesquelles ont rivalisé 18 pièces théâtrales dont 9 produites par des universités algériennes, organisées dans le cadre de ce festival national, élargi pour la première fois à l'occasion de la manifestation Constantine capitale de la culture arabe 2015, aux universités de pays arabes. Le jury a décerné le premier prix du talent prometteur à Ahmed Gaïd de l'université de Boumerdès pour son rôle jugé "parfait" dans la pièce "appel de l'avenir". Pour les organisateurs, cette édition aura connu une participation record. Les participants ont particulièrement apprécié l'initiative en particulier et le cadre de son organisation en général, en présence d'un public aussi nombreux que connaisseur. La cérémonie de clôture de cette rencontre du théâtre universitaire a été mise à profit pour honorer aussi plusieurs figures de l'art algérien, à l'image des artistes Hadj Smaïl, Abdelhamid Habati, Antar Hellal (plus connu sur le nom d'Aïssa Story) et Aziz Adjabi. La représentation arabe présente à ce festival (Tunisie, Soudan, Egypte, Sultanat Oman, l'Arabie saoudite, la Jordanie et la Palestine) ont été honorée à la clôture de cette manifestation qui se veut un espace pour renforcer les liens et affermir les convictions sur les questions en rapport avec le devenir de la nation arabe, ont estimé les organisateurs. Le théâtre constitue une "école pour apprendre la langue", ont indiqué les membres du jury qui ont souligné le dilemme qui s'est imposé lors de la sélection des lauréats, tant le niveau des étudiants était bon Le 11e Festival national du théâtre universitaire s'est clôturé mercredi dernier dans la soirée au théâtre régional de Constantine devant un public venu nombreux. Organisé par l'Office national des oeuvres universitaire sur le thème "Le théâtre universitaire, des planches ouvertes sur la créativité arabe", du 13 au 21 mai à Constantine, l'ultime soirée de cet événement théâtral universitaire était spéciale pour les organisateurs. Son animation a été dédiée à une cérémonie de distribution de prix très attendue par les participants. D'ailleurs, le jury ne s'est pas fait prier pour annoncer les heureux élus. A ce titre le Grand prix a été attribué à la troupe de l'université de Sétif pour son excellente interprétation de la pièce Banat El Khawaja. Le prix de la meilleure scénographie est revenu à la pièce Youghourta de Sétif et Etalata d'Arabie saoudite, alors que le premier prix de la mise en scène théâtrale a été décerné à Noureddine Kouider de l'université de Tébessa. Le prix du meilleur rôle féminin revient de droit à Chafia Raâb de l'université de Tizi-Ouzou et à une étudiante de la Tunisie, tandis que le titre de meilleur rôle masculin est revenu à Smaïl Zine et Mohamed Kaci de Jijel. Ces prix ont étéattribués à l'issue de joutes dans lesquelles ont rivalisé 18 pièces théâtrales dont 9 produites par des universités algériennes, organisées dans le cadre de ce festival national, élargi pour la première fois à l'occasion de la manifestation Constantine capitale de la culture arabe 2015, aux universités de pays arabes. Le jury a décerné le premier prix du talent prometteur à Ahmed Gaïd de l'université de Boumerdès pour son rôle jugé "parfait" dans la pièce "appel de l'avenir". Pour les organisateurs, cette édition aura connu une participation record. Les participants ont particulièrement apprécié l'initiative en particulier et le cadre de son organisation en général, en présence d'un public aussi nombreux que connaisseur. La cérémonie de clôture de cette rencontre du théâtre universitaire a été mise à profit pour honorer aussi plusieurs figures de l'art algérien, à l'image des artistes Hadj Smaïl, Abdelhamid Habati, Antar Hellal (plus connu sur le nom d'Aïssa Story) et Aziz Adjabi. La représentation arabe présente à ce festival (Tunisie, Soudan, Egypte, Sultanat Oman, l'Arabie saoudite, la Jordanie et la Palestine) ont été honorée à la clôture de cette manifestation qui se veut un espace pour renforcer les liens et affermir les convictions sur les questions en rapport avec le devenir de la nation arabe, ont estimé les organisateurs. Le théâtre constitue une "école pour apprendre la langue", ont indiqué les membres du jury qui ont souligné le dilemme qui s'est imposé lors de la sélection des lauréats, tant le niveau des étudiants était bon