Les présidents français et nigérien ont appelé hier les composantes de la Coordination des mouvements de l'Azawad (CMA), qui n'ont pas encore signé l'Accord de paix et de réconciliation nationale au Mali, issu du processus d'Alger, à le faire "sans délai", selon un communiqué de la présidence française. Les présidents français et nigérien ont appelé hier les composantes de la Coordination des mouvements de l'Azawad (CMA), qui n'ont pas encore signé l'Accord de paix et de réconciliation nationale au Mali, issu du processus d'Alger, à le faire "sans délai", selon un communiqué de la présidence française. Lors d'un entretien à Paris, François Hollande et Mahamadou Issoufou ont appelé les différents groupes qui ne l'ont pas encore fait "à signer, sans délai, l'accord d'Alger", selon le texte. L'Accord de paix et de réconciliation nationale au Mali a été signé le 15 mai courant par le gouvernement malien, les mouvements politico-militaires du nord du Mali engagés au sein de la Plateforme d'Alger et par l'équipe de la médiation internationale conduite par l'Algérie. "Il est important que des pressions puissent être menées sur ces acteurs pour qu'ils signent cet accord de paix afin de pouvoir isoler les terroristes" implantés dans le nord du Mali, a déclaré le président Issoufou à sa sortie de l'Elysée. Deux composantes sur cinq que compte la CMA, à savoir la Coordination pour le peuple de l'Azawad (CPA), la CM-FPR2 (Coordination des Mouvements et Fronts patriotiques de résistance) ont également signé l'accord. Samedi dernier, le chef de la délégation et représentant de la CMA, Bilal Ag Cherif s'est dit convaincu, que les efforts déployés par la médiation internationale menée par l'Algérie pour un règlement pacifique et permanent de la crise au Mali seront "couronnés de succès". Il a ajouté, dans une déclaration à la presse à l'issue de l'audience que lui a accordée le ministre d'Etat, ministre des Affaires étrangères et de la coopération internationale Ramtane Lamamra, que ces efforts permettront à "toutes les parties de parachever leur accord qui constitue la base de la stabilité, de la paix, de la justice et du développement au Mali", affirmant que la stabilité du Mali renforcera la sécurité et la stabilité dans toute la région. Lors d'un entretien à Paris, François Hollande et Mahamadou Issoufou ont appelé les différents groupes qui ne l'ont pas encore fait "à signer, sans délai, l'accord d'Alger", selon le texte. L'Accord de paix et de réconciliation nationale au Mali a été signé le 15 mai courant par le gouvernement malien, les mouvements politico-militaires du nord du Mali engagés au sein de la Plateforme d'Alger et par l'équipe de la médiation internationale conduite par l'Algérie. "Il est important que des pressions puissent être menées sur ces acteurs pour qu'ils signent cet accord de paix afin de pouvoir isoler les terroristes" implantés dans le nord du Mali, a déclaré le président Issoufou à sa sortie de l'Elysée. Deux composantes sur cinq que compte la CMA, à savoir la Coordination pour le peuple de l'Azawad (CPA), la CM-FPR2 (Coordination des Mouvements et Fronts patriotiques de résistance) ont également signé l'accord. Samedi dernier, le chef de la délégation et représentant de la CMA, Bilal Ag Cherif s'est dit convaincu, que les efforts déployés par la médiation internationale menée par l'Algérie pour un règlement pacifique et permanent de la crise au Mali seront "couronnés de succès". Il a ajouté, dans une déclaration à la presse à l'issue de l'audience que lui a accordée le ministre d'Etat, ministre des Affaires étrangères et de la coopération internationale Ramtane Lamamra, que ces efforts permettront à "toutes les parties de parachever leur accord qui constitue la base de la stabilité, de la paix, de la justice et du développement au Mali", affirmant que la stabilité du Mali renforcera la sécurité et la stabilité dans toute la région.