Lancée il y a plus d'un an, l'opération visant à ouvrir tous les commerces à Alger se poursuit. Malgré quelques défections, le bilan est relativement satisfaisant. Lancée il y a plus d'un an, l'opération visant à ouvrir tous les commerces à Alger se poursuit. Malgré quelques défections, le bilan est relativement satisfaisant. Les communes d'Alger et notamment celle d'Alger-Centre poursuivent toujours l'initiative dont le but était de faire ouvrir tous les magasins de la capitale. Une opération, qui rappelons-le, a été soigneusement entamée par les services de la wilaya. Le président de l'APC d'Alger-Centre avait évoqué dès cet été que « la plupart de ces commerces souffrent d'un problème d'héritage. Il y a des familles qui sont en justice depuis plus de vingt ans. Il faut imaginer un cadre juridique pour permettre leur réouverture d'autant qu'ils constituent un souci surtout en matière d'hygiène ». Si un premier bina a établit que 1258 commerces sont fermés avec ces motifs invoqués, il reste qu'un bonne partie selon la mairie d'Alger se sont conformés à la décision rendue publique et affichée partout dans les grandes artères. Une virée dans la capitale nous a permis de constater que les commerces entre cafés, magasins d'épiceries et restaurants ont affiché un nouveau look et ont procédé la plupart au réaménagement de leurs établissements commerciaux. Pour Alger-Centre, il faut obligatoirement que les devantures de ces magasins soient en noir et blanc et l'APC peut aider à la réalisation du devis pour n'importe quel commerçant. Dans les hauteurs d'Alger, les magasins High Tech où sur la même rue ou voie publique, les nouveaux magasins ont détrôné les anciens avec un design neuf, des couleurs chatoyantes et des enseignes lumineuses dignes de ce qu'on voit ailleurs. A El Biar et Telemly, les quartiers résidentiels ont innové leurs anciennes structures commerciales et de nouvelles boucheries, salons de thé qui ferment tardivement et les fast-foods ont remplacé graduellement des épiceries ternes et grises rappelant une époque révolue. Certains ont même voulu se rattraper en affichant l'écriteau « en travaux » pour embellir leurs magasins des années après. Mais il y a un hic dans cette histoire de faire baisser les rideaux avant l'heure pour les commerces situés dans les grandes artères. « On a rappelé constamment que les magasins surtout les cafés, les salons de glaces et superettes qu'ils doivent pas fermer avant 18 heures » nous explique un des responsables de la mairie d'Alger. Cependant, on constate qu'avec grands regrets que certains commerçants font fi de cette règle d'autant que l'été voit partout se déferler les consommateurs. La nuit, certains cafés et restaurant ferment à 20 heures, moment où la plupart des familles planifient d'aller faire des emplettes ou dîner dans des restaurants ou même remplir les pizzerias et autre fastfood. Le Wali d'Alger qui veut remettre de l'ordre dans ce dossier a installé une commission qui compte la plupart des 57 communes avec une primauté accordée pour trouver la solution à ces commerces qui ferment avant l'heure. Dans ce cadre, il faut rappeler que la réglementation prévoit des sanctions à tous ceux qui ne se conforment pas à ces décisions. Il reste que chaque commerçant ne semble pas comprendre les lois qui ont été mises en vigueur. Seuls les cybercafés ont compris l'enjeu en ne s'autorisant aucun répit même s'il y actuellement une baisse de clientèle. Les autorités de la ville sont également « irritées » par cette situation où probablement des mesures complémentaires seront prises. Les communes d'Alger et notamment celle d'Alger-Centre poursuivent toujours l'initiative dont le but était de faire ouvrir tous les magasins de la capitale. Une opération, qui rappelons-le, a été soigneusement entamée par les services de la wilaya. Le président de l'APC d'Alger-Centre avait évoqué dès cet été que « la plupart de ces commerces souffrent d'un problème d'héritage. Il y a des familles qui sont en justice depuis plus de vingt ans. Il faut imaginer un cadre juridique pour permettre leur réouverture d'autant qu'ils constituent un souci surtout en matière d'hygiène ». Si un premier bina a établit que 1258 commerces sont fermés avec ces motifs invoqués, il reste qu'un bonne partie selon la mairie d'Alger se sont conformés à la décision rendue publique et affichée partout dans les grandes artères. Une virée dans la capitale nous a permis de constater que les commerces entre cafés, magasins d'épiceries et restaurants ont affiché un nouveau look et ont procédé la plupart au réaménagement de leurs établissements commerciaux. Pour Alger-Centre, il faut obligatoirement que les devantures de ces magasins soient en noir et blanc et l'APC peut aider à la réalisation du devis pour n'importe quel commerçant. Dans les hauteurs d'Alger, les magasins High Tech où sur la même rue ou voie publique, les nouveaux magasins ont détrôné les anciens avec un design neuf, des couleurs chatoyantes et des enseignes lumineuses dignes de ce qu'on voit ailleurs. A El Biar et Telemly, les quartiers résidentiels ont innové leurs anciennes structures commerciales et de nouvelles boucheries, salons de thé qui ferment tardivement et les fast-foods ont remplacé graduellement des épiceries ternes et grises rappelant une époque révolue. Certains ont même voulu se rattraper en affichant l'écriteau « en travaux » pour embellir leurs magasins des années après. Mais il y a un hic dans cette histoire de faire baisser les rideaux avant l'heure pour les commerces situés dans les grandes artères. « On a rappelé constamment que les magasins surtout les cafés, les salons de glaces et superettes qu'ils doivent pas fermer avant 18 heures » nous explique un des responsables de la mairie d'Alger. Cependant, on constate qu'avec grands regrets que certains commerçants font fi de cette règle d'autant que l'été voit partout se déferler les consommateurs. La nuit, certains cafés et restaurant ferment à 20 heures, moment où la plupart des familles planifient d'aller faire des emplettes ou dîner dans des restaurants ou même remplir les pizzerias et autre fastfood. Le Wali d'Alger qui veut remettre de l'ordre dans ce dossier a installé une commission qui compte la plupart des 57 communes avec une primauté accordée pour trouver la solution à ces commerces qui ferment avant l'heure. Dans ce cadre, il faut rappeler que la réglementation prévoit des sanctions à tous ceux qui ne se conforment pas à ces décisions. Il reste que chaque commerçant ne semble pas comprendre les lois qui ont été mises en vigueur. Seuls les cybercafés ont compris l'enjeu en ne s'autorisant aucun répit même s'il y actuellement une baisse de clientèle. Les autorités de la ville sont également « irritées » par cette situation où probablement des mesures complémentaires seront prises.