Les pluies diluviennes qui ont été enregistrées dans les régions de la steppe et les régions du Sud ont mis à nu les mécanismes de protection en cas de catastrophes naturelles. Ces régions sont déclarées sinistrées suite aux dégâts matériels et l'endommagement des habitations. Les pluies diluviennes qui ont été enregistrées dans les régions de la steppe et les régions du Sud ont mis à nu les mécanismes de protection en cas de catastrophes naturelles. Ces régions sont déclarées sinistrées suite aux dégâts matériels et l'endommagement des habitations. A Constantine, Guelma, Illizi et Tamanrasset, les pluies orageuses ont affecté un nombre d'habitatons classées comme précaires. Mais sérieusement endommagées, les maisons ne sont plus habitables. Le sinistre est déclaré par endroits et les services de La Protection civile ont pu intervenir à temps pour sauver des vies humaines de la catastrophe. Malgré les assurances des pouvoirs publics, la question de l'aménagement urbain reste toujours posée avec les failles et les erreurs dans les constructions et la mise en place de voiries. AConstantine, la crue qui s'est élevée à quelques mètres a emporté un îlot de construction en causant l'effondrement de certaines habitations dans la nouvelle ville de Ali Mendjeli censée être le nouveau réceptacle des nouveaux logements et infrastructures urbaines. Dans les villes du Sud comme Tamanrasset et Illizi, les périphéries ne sont pas indemnes de la menace des précipitations même durant les mois d'été. Les constructions qui ont été altérées ont été classées au rouge par les services du CTC qui ont été dépêchés sur les lieux. Le ministre de l'Intérieur Nouredine Bedoui, qui s'est déplacé dans ces lieux a mis en garde les autorités locales sur le « bâclage » de certains travaux et les erreurs relevées dans l'aménagement de certaines cités en les instruisant de se focaliser sur les PDAU et de se référer aux normes parasismiques. On apprend à juste titre que la question des nouvelles villes sera soumise prochainement dans l'agenda du gouvernement. En effet, l'on constate qu'à chaque moment de pluviosité, les cités urbaines n'échappent pas à la menace des eaux qui surgissent de partout étant donné la défectuosité des systèmes de voiries et des canalisations souterraines. Les APC sont les plus exposées à la critique et à la colère des citoyens qui constatent par endroits que ces canalisations sont mal nettoyées et presque rouillées. La réfection ne peut se faire en hiver alors qu'il est recommandé de revoir ces réseaux AEP au moins avant l'automne de chaque année. Mais à force que les incidents se répètent, les autorités locales sont acculées devant le fait que la responsabilité est partagée. Les réseaux de la voirie concernent une chaîne d'intervenants dûment mentionnés dans le schéma d'aménagement du territoire devenue une référence nationale en matière de prévention des risques de catastrophes et de perturbations atmosphériques ayant un impact sur les habitations urbaines. Les spécialistes de la question (architectes, urbanistes et experts en génie civil) s'accordent tous sur l'absence d'anticipation de ces risques pour lesquels pourtant les lois et les outils de prévention ne manquent pas. A Constantine, Guelma, Illizi et Tamanrasset, les pluies orageuses ont affecté un nombre d'habitatons classées comme précaires. Mais sérieusement endommagées, les maisons ne sont plus habitables. Le sinistre est déclaré par endroits et les services de La Protection civile ont pu intervenir à temps pour sauver des vies humaines de la catastrophe. Malgré les assurances des pouvoirs publics, la question de l'aménagement urbain reste toujours posée avec les failles et les erreurs dans les constructions et la mise en place de voiries. AConstantine, la crue qui s'est élevée à quelques mètres a emporté un îlot de construction en causant l'effondrement de certaines habitations dans la nouvelle ville de Ali Mendjeli censée être le nouveau réceptacle des nouveaux logements et infrastructures urbaines. Dans les villes du Sud comme Tamanrasset et Illizi, les périphéries ne sont pas indemnes de la menace des précipitations même durant les mois d'été. Les constructions qui ont été altérées ont été classées au rouge par les services du CTC qui ont été dépêchés sur les lieux. Le ministre de l'Intérieur Nouredine Bedoui, qui s'est déplacé dans ces lieux a mis en garde les autorités locales sur le « bâclage » de certains travaux et les erreurs relevées dans l'aménagement de certaines cités en les instruisant de se focaliser sur les PDAU et de se référer aux normes parasismiques. On apprend à juste titre que la question des nouvelles villes sera soumise prochainement dans l'agenda du gouvernement. En effet, l'on constate qu'à chaque moment de pluviosité, les cités urbaines n'échappent pas à la menace des eaux qui surgissent de partout étant donné la défectuosité des systèmes de voiries et des canalisations souterraines. Les APC sont les plus exposées à la critique et à la colère des citoyens qui constatent par endroits que ces canalisations sont mal nettoyées et presque rouillées. La réfection ne peut se faire en hiver alors qu'il est recommandé de revoir ces réseaux AEP au moins avant l'automne de chaque année. Mais à force que les incidents se répètent, les autorités locales sont acculées devant le fait que la responsabilité est partagée. Les réseaux de la voirie concernent une chaîne d'intervenants dûment mentionnés dans le schéma d'aménagement du territoire devenue une référence nationale en matière de prévention des risques de catastrophes et de perturbations atmosphériques ayant un impact sur les habitations urbaines. Les spécialistes de la question (architectes, urbanistes et experts en génie civil) s'accordent tous sur l'absence d'anticipation de ces risques pour lesquels pourtant les lois et les outils de prévention ne manquent pas.
