À l'occasion de l'ouverture de la session de printemps du Parlement, Sellal avait annoncé la mise en place prochaine d'un nouveau modèle économique devant permettre au pays de faire face à la difficile conjoncture économique induite par la chute des prix du pétrole. À l'occasion de l'ouverture de la session de printemps du Parlement, Sellal avait annoncé la mise en place prochaine d'un nouveau modèle économique devant permettre au pays de faire face à la difficile conjoncture économique induite par la chute des prix du pétrole. Le gouvernement a choisi la veille du mois sacré du ramadhan pour se réunir avec ses partenaires sociaux dans le cadre de la tripartite. Cette rencontre tripartite, qui réunira le gouvernement, l'UGTA et les organisations patronales, aura lieu, en effet, le dimanche 5 juin prochain, a Alger contrairement à la 17e édition qui s'est tenue à Biskra au mois d'octobre de l'année passé. Rien n'a filtré sur les dossiers chauds qui seront traités par les trois partenaires sociaux, mais il est évident que ce sera l'opportunité, pour le gouvernement, de présenter son nouveau modèle économique. Ainsi, selon des sources concordantes, le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, dévoilera, à l'occasion, le nouveau modèle économique dont il a parlé il y a quelques mois maintenant. Au tout début du mois de mars, et à l'occasion de l'ouverture de la session de printemps du parlement, Sellal a annoncé la mise en place prochaine d'un nouveau modèle économique devant permettre au pays de faire face à la difficile conjoncture économique induite par la chute des prix du pétrole et l'amenuisement des ressources financières du pays. Un modèle qui aurait dû étre dévoilé au mois d'avril, comme annoncé alors par le Premier ministre, mais il n'en fut rien. Aucune explication n'a été avancée pour ce retard mais tout porte à croire que le groupe de travail chargé d'élaborer ce modèle économique n'avait pas achevé ses travaux. Ce nouveau plan, comme annoncé par le Premier ministre au mois de mars, s'étalera de 2016 à 2019. Un plan ambitieux à travers lequel l'exécutif compte juguler la crise qui frappe de plein fouet l'économie nationale. "On fait face à une situation économique difficile. Le prix du pétrole oscille entre 30 et 35 dollars le baril, alors que le prix référence du fonds de régulation des recettes est de 37 dollars. C'est ça le problème" dira à l'époque le Premier ministre qui a cependant tenu à rassurer que son gouvernement maîtrise les grands équilibres économiques et financiers du pays. Mais il a aussi plaidé en faveur de la nécessité d'apporter "des rectificatifs supplémentaires" afin de mieux maitriser la situation économique. On sait que, depuis, le gouvernement à lancé l'opération relative à l'emprunt obligataire avec un taux d'intérêt élevé de 5 % dans le but évident d'éviter autant se faire que peu l'endettement extérieur puisque le gouvernement compte d'abord sur la mobilisation des ressources financières internes. "Il y aura aussi d'autres mesures à prendre et il est possible de recourir à l'article 46 de la loi relative au crédit et à la monnaie. De plus le Trésor va bénéficier d'un crédit de la Banque d'Algérie. On va ainsi prendre de nombreuses décisions à l'avenir pour transcender cette conjoncture" a en outre précisé le Premier ministre. Le moment est donc venu pour le Premier ministre d'annoncer l'ensemble de ce dispositif afin de faire face au tarissement des ressources financières du pays puisque les rentrées d'argent n'arrivent plus à couvrir les faramineuses dépenses dont a besoin l'économie nationale. Face à cette donne le gouvernement a eu recours au Fonds de régulation des recettes et, au cours des deux premiers mois de l'année en cours seulement, 666 milliards de dinars ont été retirés de ce fonds dont les ressources, autrefois très importantes, sont en train de fondre à un rythme vertigineux. Les experts sont ainsi unanimes à prédire que ce fonds de régulation risque d'être "asséché avant même la fin de l'année". C'est dire que la situation est loin d'inciter à l'optimisme. D'ailleurs ne figure au menu de la tripartite aucun point relatif à une quelconque revalorisation salariale au profit des travailleurs du secteur économique ou aux fonctionnaires. C'est pourquoi le nouveau modèle économique, qui sera dévoilé lors de la tripartite, est attendu avec impatience. Le gouvernement a choisi la veille du mois sacré du ramadhan pour se réunir avec ses partenaires sociaux dans le cadre de la tripartite. Cette rencontre tripartite, qui réunira le gouvernement, l'UGTA et les organisations patronales, aura lieu, en effet, le dimanche 5 juin prochain, a Alger contrairement à la 17e édition qui s'est tenue à Biskra au mois d'octobre de l'année passé. Rien n'a filtré sur les dossiers chauds qui seront traités par les trois partenaires sociaux, mais il est évident que ce sera l'opportunité, pour le gouvernement, de présenter son nouveau modèle économique. Ainsi, selon des sources concordantes, le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, dévoilera, à l'occasion, le nouveau modèle économique dont il a parlé il y a quelques mois maintenant. Au tout début du mois de mars, et à l'occasion de l'ouverture de la session de printemps du parlement, Sellal a annoncé la mise en place prochaine d'un nouveau modèle économique devant permettre au pays de faire face à la difficile conjoncture économique induite par la chute des prix du pétrole et l'amenuisement des ressources financières du pays. Un modèle qui aurait dû étre dévoilé au mois d'avril, comme annoncé alors par le Premier ministre, mais il n'en fut rien. Aucune explication n'a été avancée pour ce retard mais tout porte à croire que le groupe de travail chargé d'élaborer ce modèle économique n'avait pas achevé ses travaux. Ce nouveau plan, comme annoncé par le Premier ministre au mois de mars, s'étalera de 2016 à 2019. Un plan ambitieux à travers lequel l'exécutif compte juguler la crise qui frappe de plein fouet l'économie nationale. "On fait face à une situation économique difficile. Le prix du pétrole oscille entre 30 et 35 dollars le baril, alors que le prix référence du fonds de régulation des recettes est de 37 dollars. C'est ça le problème" dira à l'époque le Premier ministre qui a cependant tenu à rassurer que son gouvernement maîtrise les grands équilibres économiques et financiers du pays. Mais il a aussi plaidé en faveur de la nécessité d'apporter "des rectificatifs supplémentaires" afin de mieux maitriser la situation économique. On sait que, depuis, le gouvernement à lancé l'opération relative à l'emprunt obligataire avec un taux d'intérêt élevé de 5 % dans le but évident d'éviter autant se faire que peu l'endettement extérieur puisque le gouvernement compte d'abord sur la mobilisation des ressources financières internes. "Il y aura aussi d'autres mesures à prendre et il est possible de recourir à l'article 46 de la loi relative au crédit et à la monnaie. De plus le Trésor va bénéficier d'un crédit de la Banque d'Algérie. On va ainsi prendre de nombreuses décisions à l'avenir pour transcender cette conjoncture" a en outre précisé le Premier ministre. Le moment est donc venu pour le Premier ministre d'annoncer l'ensemble de ce dispositif afin de faire face au tarissement des ressources financières du pays puisque les rentrées d'argent n'arrivent plus à couvrir les faramineuses dépenses dont a besoin l'économie nationale. Face à cette donne le gouvernement a eu recours au Fonds de régulation des recettes et, au cours des deux premiers mois de l'année en cours seulement, 666 milliards de dinars ont été retirés de ce fonds dont les ressources, autrefois très importantes, sont en train de fondre à un rythme vertigineux. Les experts sont ainsi unanimes à prédire que ce fonds de régulation risque d'être "asséché avant même la fin de l'année". C'est dire que la situation est loin d'inciter à l'optimisme. D'ailleurs ne figure au menu de la tripartite aucun point relatif à une quelconque revalorisation salariale au profit des travailleurs du secteur économique ou aux fonctionnaires. C'est pourquoi le nouveau modèle économique, qui sera dévoilé lors de la tripartite, est attendu avec impatience.