Le nouveau siège du journal francophone El Watan, à Alger, est encerclé depuis avant-hier soir par un important dispositif policier, annonce le journal sur son site internet. Le nouveau siège du journal francophone El Watan, à Alger, est encerclé depuis avant-hier soir par un important dispositif policier, annonce le journal sur son site internet. Le quotidien affirme que les forces de police ont fermé l'entrée et ont encerclé l'immeuble sans donner d'explications, se contentant de dire qu'ils "ont reçu des instructions". La rédaction d'El Watan a déménagé avant-hier dans son nouveau siège flambant neuf. Selon une source policière, les policiers se sont déplacés sur les lieux pour vérifier si le bâtiment possède le certificat de conformité pour permettre son exploitation. "Ce n'est pas un encerclement. Les policiers sont sur place pour vérifier si le bâtiment en question possède le certificat de conformité", affirme une source à TSA. Selon une source proche du dossier, la Direction de l'urbanisme, de la construction et de l'habitat (Duch) a refusé de délivrer un certificat de conformité de l'immeuble pour deux raisons : la construction de deux étages supplémentaires et une extension qui a "débordé sur un terrain appartenant à l'Etat". ... la Gendarmerie nationale arrête le tournage d'une émission satirique L'enquête préliminaire de la Gendarmerie nationale sur les autorisations de tournage de deux émissions de KBC, la chaîne de télévision du groupe El Khabar se poursuit. Des gendarmes ont fait avant-hier une descente dans le studio où se fait l'enregistrement de l'émission Nass Stah (ex- Jornane El Gosto) à Mahelma dans la banlieue ouest d'Alger. Ils ont ordonné l'arrêt de l'enregistrement de cette émission satirique, rapporte El Khabar sur son site internet. Des responsables de la chaîne et du groupe, dont le directeur de production ont été convoqués par la gendarmerie nationale. Placés en garde à vue la veille, le directeur de KBC et une directrice du ministère de la Culture devraient être présentés vendredi 24 juin devant le procureur de la République près du tribunal de Sidi M'hamed avec les autres personnes interrogées, selon une source sûre. L'enquête de la gendarmerie a commencé par l'affaire du bris de scellés des locaux où se faisait le tournage de l'émission Ki hna, ki nass qui a été ensuite suspendue. Le quotidien affirme que les forces de police ont fermé l'entrée et ont encerclé l'immeuble sans donner d'explications, se contentant de dire qu'ils "ont reçu des instructions". La rédaction d'El Watan a déménagé avant-hier dans son nouveau siège flambant neuf. Selon une source policière, les policiers se sont déplacés sur les lieux pour vérifier si le bâtiment possède le certificat de conformité pour permettre son exploitation. "Ce n'est pas un encerclement. Les policiers sont sur place pour vérifier si le bâtiment en question possède le certificat de conformité", affirme une source à TSA. Selon une source proche du dossier, la Direction de l'urbanisme, de la construction et de l'habitat (Duch) a refusé de délivrer un certificat de conformité de l'immeuble pour deux raisons : la construction de deux étages supplémentaires et une extension qui a "débordé sur un terrain appartenant à l'Etat". ... la Gendarmerie nationale arrête le tournage d'une émission satirique L'enquête préliminaire de la Gendarmerie nationale sur les autorisations de tournage de deux émissions de KBC, la chaîne de télévision du groupe El Khabar se poursuit. Des gendarmes ont fait avant-hier une descente dans le studio où se fait l'enregistrement de l'émission Nass Stah (ex- Jornane El Gosto) à Mahelma dans la banlieue ouest d'Alger. Ils ont ordonné l'arrêt de l'enregistrement de cette émission satirique, rapporte El Khabar sur son site internet. Des responsables de la chaîne et du groupe, dont le directeur de production ont été convoqués par la gendarmerie nationale. Placés en garde à vue la veille, le directeur de KBC et une directrice du ministère de la Culture devraient être présentés vendredi 24 juin devant le procureur de la République près du tribunal de Sidi M'hamed avec les autres personnes interrogées, selon une source sûre. L'enquête de la gendarmerie a commencé par l'affaire du bris de scellés des locaux où se faisait le tournage de l'émission Ki hna, ki nass qui a été ensuite suspendue.
