Les conséquences de l'exacerbation des tensions que connait la scène politicomédiatique nationale depuis quelques temps, semblent susciter des appréhensions chez les autorités. Les conséquences de l'exacerbation des tensions que connait la scène politicomédiatique nationale depuis quelques temps, semblent susciter des appréhensions chez les autorités. Preuve en est cette montée au créneau du ministre de la Justice, garde des Sceaux, Tayeb Louh. Ce dernier vient en effet de lancer un appel "au calme". "Je demande à tous de rester calmes et de laisser la justice faire son travail" a, en effet souligné hier le ministre de la Justice en marge d'une séance plénière inédite à l'APN consacrée à l'adoption de pas moins de six projets de loi. Car pour Tayeb Louh "toute personne qui s'estime lésée par une décision de justice a le droit de faire appel aux procédures légales". Le représentant du gouvernement n'a pas certes précisé ce à quoi il faisait allusion, mais tout porte à croire que c'est l'affaire du rachat du journal El Khabar en général et de celle de la chaîne de télévision de télévision KBC en particulier qui sont certainement à l'origine de cette déclaration qui à l'allure d'une mise au point. Ces deux affaires, notamment celle de KBC, ont fait couler beaucoup d'encre, ce d'autant que des responsables de cette chaîne de télévision et une directrice centrale au ministère de la Culture sont actuellement placés sous mandat de dépôt par la justice. "Il faut s'éloigner de toute violence verbale" a aussi indiqué le ministre qui fait allusion aux polémique nées de cette affaire. Des joutes oratoires entre opposants et partisans de cette action en justice battent leur plein. Des partis politiques sont aussi entrés en scène. Sur ce registre les partis d'opposition accusent le pouvoir de vouloir resserrer l'étau sur la liberté d'expression alors que leurs détracteurs soutiennent le contraire puisque, selon eux, il ne s'agit nullement d'une affaire politique mais d'une question relevant exclusivement de la justice et du droit. "La justice est indivisible. Les droits de l'Homme et l'Etat de droit sont indivisibles" a soutenu Tayeb Louh comme pour dire que la justice est loin d'être instrumentalisée qu'elle est indépendante et qu'elle s'applique à tous. En outre le ministre a fait savoir que "les Algériens ont besoin de calme, de sérénité et de sécurité". De ce fait il a sollicité la presse pour oeuvrer dans le sens de l'apaisement. "je compte sur la presse pour atteindre cet objectif" dira-t-il en effet. Preuve en est cette montée au créneau du ministre de la Justice, garde des Sceaux, Tayeb Louh. Ce dernier vient en effet de lancer un appel "au calme". "Je demande à tous de rester calmes et de laisser la justice faire son travail" a, en effet souligné hier le ministre de la Justice en marge d'une séance plénière inédite à l'APN consacrée à l'adoption de pas moins de six projets de loi. Car pour Tayeb Louh "toute personne qui s'estime lésée par une décision de justice a le droit de faire appel aux procédures légales". Le représentant du gouvernement n'a pas certes précisé ce à quoi il faisait allusion, mais tout porte à croire que c'est l'affaire du rachat du journal El Khabar en général et de celle de la chaîne de télévision de télévision KBC en particulier qui sont certainement à l'origine de cette déclaration qui à l'allure d'une mise au point. Ces deux affaires, notamment celle de KBC, ont fait couler beaucoup d'encre, ce d'autant que des responsables de cette chaîne de télévision et une directrice centrale au ministère de la Culture sont actuellement placés sous mandat de dépôt par la justice. "Il faut s'éloigner de toute violence verbale" a aussi indiqué le ministre qui fait allusion aux polémique nées de cette affaire. Des joutes oratoires entre opposants et partisans de cette action en justice battent leur plein. Des partis politiques sont aussi entrés en scène. Sur ce registre les partis d'opposition accusent le pouvoir de vouloir resserrer l'étau sur la liberté d'expression alors que leurs détracteurs soutiennent le contraire puisque, selon eux, il ne s'agit nullement d'une affaire politique mais d'une question relevant exclusivement de la justice et du droit. "La justice est indivisible. Les droits de l'Homme et l'Etat de droit sont indivisibles" a soutenu Tayeb Louh comme pour dire que la justice est loin d'être instrumentalisée qu'elle est indépendante et qu'elle s'applique à tous. En outre le ministre a fait savoir que "les Algériens ont besoin de calme, de sérénité et de sécurité". De ce fait il a sollicité la presse pour oeuvrer dans le sens de l'apaisement. "je compte sur la presse pour atteindre cet objectif" dira-t-il en effet.