Une fois encore le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, reconnait que la situation financière du pays est peu reluisante. Lors de la réunion d'avant-hier, du Conseil des ministres, il a invité tous les responsables à dire la vérité aux citoyens sur cette difficile situation. Une fois encore le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, reconnait que la situation financière du pays est peu reluisante. Lors de la réunion d'avant-hier, du Conseil des ministres, il a invité tous les responsables à dire la vérité aux citoyens sur cette difficile situation. Mieux informés, "les citoyens seront moins exposés aux discours nihilistes, et seront également davantage mobilisés pour l'effort et la solidarité en vue de faire face à la conjoncture financière difficile actuelle" dira, en effet, le président Bouteflika. Estce à dire que les responsables n'ont pas jusqu'à présent dit toute la vérité sur cette situation par trop difficile ? C'est possible mais le président de la République vise, à travers cette invite, à priver tous ceux qui attaquent le gouvernement sur ce plan à séduire les Algériens et les retourner contre les gouvernants. Il s'agit bel et bien, dans ce cas précis, des partis de l'opposition. Ces derniers ne cessent en effet d'attaquer le gouvernement sur son incapacité à gérer cette difficile situation financière, qu'il n'a pas du reste vu venir, et, surtout, à cacher la vérité aux Algériens. Il faut dire que ce n'est que récemment, et alors que la crise est là depuis deux années maintenant, que le gouvernement a commencé à admettre que la situation est effectivement par trop difficile. Car auparavant le discours était empreint d'optimisme alors que le baril du pétrole chutait à son plus bas niveau et que les finances du pays s'amenuisaient de plus en plus. D'ailleurs c'est le chef de l'Etat en personne qui a été le premier à reconnaître que cette situation est très préoccupante. Le chef de l'Etat reproche donc à l'opposition de tenir des "discours nihilistes". Ce n'est pas la première fois que le président tacle ainsi l'opposition alors que cette dernière ne rate aucune occasion pour mettre en avant "l'incompétence" du gouvernement. Mais cela dit, le président Bouteflika a relevé que "malgré les tensions qui pèsent actuellement sur les recettes publiques, l'Etat n'a pas changé d'un iota sa politique puisqu'il a maintenu les avantages octroyés aux investissements". Mais en contrepartie de cette démarche, a encore précisé le chef de l'Etat, "la nation attend des opérateurs économiques plus de dynamisme dans l'investissement, la création d'emplois, et la conquête de parts sur les marchés extérieurs". Le président confirme ainsi la volonté de l'Etat à affiner sa politique de justice sociale. "C'est là la signification et l'objectif des projets de loi sur les retraites et sur les petites et moyennes entreprises, ainsi que du nouveau modèle de croissance économique que nous venons d'adopter aujourd'hui", a-t-il encore souligné. Pour ce faire il a invité tous les partenaires, y compris donc le gouvernement, à poursuivre et à élargir la concertation pour bâtir des consensus autour des réformes et des mutations qui devront être menées dans le domaine social, d'autant que ces réformes et ces mutations ne remettront pas en cause les principes de justice sociale et de solidarité nationale consacrés dans notre pays. Mieux informés, "les citoyens seront moins exposés aux discours nihilistes, et seront également davantage mobilisés pour l'effort et la solidarité en vue de faire face à la conjoncture financière difficile actuelle" dira, en effet, le président Bouteflika. Estce à dire que les responsables n'ont pas jusqu'à présent dit toute la vérité sur cette situation par trop difficile ? C'est possible mais le président de la République vise, à travers cette invite, à priver tous ceux qui attaquent le gouvernement sur ce plan à séduire les Algériens et les retourner contre les gouvernants. Il s'agit bel et bien, dans ce cas précis, des partis de l'opposition. Ces derniers ne cessent en effet d'attaquer le gouvernement sur son incapacité à gérer cette difficile situation financière, qu'il n'a pas du reste vu venir, et, surtout, à cacher la vérité aux Algériens. Il faut dire que ce n'est que récemment, et alors que la crise est là depuis deux années maintenant, que le gouvernement a commencé à admettre que la situation est effectivement par trop difficile. Car auparavant le discours était empreint d'optimisme alors que le baril du pétrole chutait à son plus bas niveau et que les finances du pays s'amenuisaient de plus en plus. D'ailleurs c'est le chef de l'Etat en personne qui a été le premier à reconnaître que cette situation est très préoccupante. Le chef de l'Etat reproche donc à l'opposition de tenir des "discours nihilistes". Ce n'est pas la première fois que le président tacle ainsi l'opposition alors que cette dernière ne rate aucune occasion pour mettre en avant "l'incompétence" du gouvernement. Mais cela dit, le président Bouteflika a relevé que "malgré les tensions qui pèsent actuellement sur les recettes publiques, l'Etat n'a pas changé d'un iota sa politique puisqu'il a maintenu les avantages octroyés aux investissements". Mais en contrepartie de cette démarche, a encore précisé le chef de l'Etat, "la nation attend des opérateurs économiques plus de dynamisme dans l'investissement, la création d'emplois, et la conquête de parts sur les marchés extérieurs". Le président confirme ainsi la volonté de l'Etat à affiner sa politique de justice sociale. "C'est là la signification et l'objectif des projets de loi sur les retraites et sur les petites et moyennes entreprises, ainsi que du nouveau modèle de croissance économique que nous venons d'adopter aujourd'hui", a-t-il encore souligné. Pour ce faire il a invité tous les partenaires, y compris donc le gouvernement, à poursuivre et à élargir la concertation pour bâtir des consensus autour des réformes et des mutations qui devront être menées dans le domaine social, d'autant que ces réformes et ces mutations ne remettront pas en cause les principes de justice sociale et de solidarité nationale consacrés dans notre pays.