Le harcèlement sexuel et moral est un phénomène effrayant qui prend de plus en plus d'ampleur, des milliers de femmes le subissent en silence, par crainte des jugements. En juin de l'an dernier, une enquête nationale a révélé que 66 % des employées du secteur public sont victimes de harcèlement sexuel en Algérie. Le harcèlement sexuel et moral est un phénomène effrayant qui prend de plus en plus d'ampleur, des milliers de femmes le subissent en silence, par crainte des jugements. En juin de l'an dernier, une enquête nationale a révélé que 66 % des employées du secteur public sont victimes de harcèlement sexuel en Algérie. Le harcèlement a eu lieu,selon 30 % des femmes, dans le bureau du directeur tandis que 23 % évoquent des lieux divers au sein de leur établissement. 50 % de ces femmes ont fait des récits personnels des épreuves subies et considèrent que le harcèlement est devenu un véritable "cauchemar" poussant de nombreuses femmes à démissionner. C'est ce qui se passe à l'Office de promotion et de gestion immobilière de Blida : une fonctionnaire a osé dénoncer son responsable en le filmant dans son bureau, dans lequel il va jusqu'à se dénuder. Le responsable mis en cause serait le directeur adjoint de l'établissement. La victime a déposé plainte en présentant la vidéo, mais la justice ne bouge pas en la laissant seule face à l'acharnement de son responsable et les pressions exercées sur elles par ses supérieurs pour quitter son poste. Le harcèlement a eu lieu,selon 30 % des femmes, dans le bureau du directeur tandis que 23 % évoquent des lieux divers au sein de leur établissement. 50 % de ces femmes ont fait des récits personnels des épreuves subies et considèrent que le harcèlement est devenu un véritable "cauchemar" poussant de nombreuses femmes à démissionner. C'est ce qui se passe à l'Office de promotion et de gestion immobilière de Blida : une fonctionnaire a osé dénoncer son responsable en le filmant dans son bureau, dans lequel il va jusqu'à se dénuder. Le responsable mis en cause serait le directeur adjoint de l'établissement. La victime a déposé plainte en présentant la vidéo, mais la justice ne bouge pas en la laissant seule face à l'acharnement de son responsable et les pressions exercées sur elles par ses supérieurs pour quitter son poste.