Les candidats aux élections législatives ne laissent pas passer une occasion sans parler des femmes. Ils courtisent et mettent en avant les "valeurs et les prouesses" de la gent féminine. Les candidats aux élections législatives ne laissent pas passer une occasion sans parler des femmes. Ils courtisent et mettent en avant les "valeurs et les prouesses" de la gent féminine. A commencer par le SG du FLN Djamel Ould Abbès lequel dans un discours dans une localité de l'Ouest a voulu mettre en avant "le rôle des femmes durant la révolution de 1954 est complété aujourd'hui par sa participation au paysage politique dans toutes ces facettes". Pour le FLN "aucune élection ne peut se passer des femmes" tel est le slogan électoral du vieux parti qui n'hésite pas ces derniers temps de valoriser "la participation des femmes aux élections". Outre le FLN, le parti d'Ouyahia fait campagne enexhibant les photos des candidates et en promettant de "valoriser le statut des femmes dans la future assemblée". Il est à remarquer que ces deux partis ont mis au point une stratégie pour faire apparaître des femmes en tête de liste dans toutes les régions, y compris celles connues pour leur "conservatisme". Du côté FFS et RCD, le discours électoral se veut conciliant envers la participation féminine. Pour ces 2 partis, il ne suffit pas de promettre mais ils exhibent la carte de la parité entre hommes et femmes dans les luttes politiques. Ils promettent aussi dans leurs programmes "d'élargir la représentation féminine dans toutes les institutions" et de lutter contre "les violences faites aux femmes par de nouvelles lois". Voilà qui s'apparente comme un marketing électoral qui puise dans tous les symboles et dans tous les registres pour plaire et séduire la gent féminine. Les autres formations l'ont également compris. Le TAJ de Amar Ghoul a voulu innover en promettant de doubler les sièges pour les femmes une fois élu alors que de son côté Amara Benyounes rivalise en apportant son soutien aux femmes candidates en leur donnant les chances de bien parler de son parti. Moussa Touati du FNA a concoctéson programme autour des axes qui "mettent en valeur les statuts paritaire des femmes dans toutes les élections". Contrairement à l'édition de 2012, les femmes candidates sont plus nombreuses et exhibent des CV bien étoffés de leurs parcours et leurs expériences politiques. Elles mènent campagne dans une atmosphère politique où les citoyens ne paraissent pas emballés mais tentent de soigner discours et interventions publiques pour inviter à un vote massif. A commencer par le SG du FLN Djamel Ould Abbès lequel dans un discours dans une localité de l'Ouest a voulu mettre en avant "le rôle des femmes durant la révolution de 1954 est complété aujourd'hui par sa participation au paysage politique dans toutes ces facettes". Pour le FLN "aucune élection ne peut se passer des femmes" tel est le slogan électoral du vieux parti qui n'hésite pas ces derniers temps de valoriser "la participation des femmes aux élections". Outre le FLN, le parti d'Ouyahia fait campagne enexhibant les photos des candidates et en promettant de "valoriser le statut des femmes dans la future assemblée". Il est à remarquer que ces deux partis ont mis au point une stratégie pour faire apparaître des femmes en tête de liste dans toutes les régions, y compris celles connues pour leur "conservatisme". Du côté FFS et RCD, le discours électoral se veut conciliant envers la participation féminine. Pour ces 2 partis, il ne suffit pas de promettre mais ils exhibent la carte de la parité entre hommes et femmes dans les luttes politiques. Ils promettent aussi dans leurs programmes "d'élargir la représentation féminine dans toutes les institutions" et de lutter contre "les violences faites aux femmes par de nouvelles lois". Voilà qui s'apparente comme un marketing électoral qui puise dans tous les symboles et dans tous les registres pour plaire et séduire la gent féminine. Les autres formations l'ont également compris. Le TAJ de Amar Ghoul a voulu innover en promettant de doubler les sièges pour les femmes une fois élu alors que de son côté Amara Benyounes rivalise en apportant son soutien aux femmes candidates en leur donnant les chances de bien parler de son parti. Moussa Touati du FNA a concoctéson programme autour des axes qui "mettent en valeur les statuts paritaire des femmes dans toutes les élections". Contrairement à l'édition de 2012, les femmes candidates sont plus nombreuses et exhibent des CV bien étoffés de leurs parcours et leurs expériences politiques. Elles mènent campagne dans une atmosphère politique où les citoyens ne paraissent pas emballés mais tentent de soigner discours et interventions publiques pour inviter à un vote massif.
