Décédé avant-hier à l'aube, le conseiller à la présidence de la République, Kamel Rezzag Bara, a été inhumée hier au cimetière d'El- Alia à Alger, en présence du président de l'Assemblée populaire nationale (APN), Saïd Bouhadja, du Premier ministre, Abdelmadjid Tebboune et du président du Conseil constitutionnel, Mourad Medelci. Le ministre d'Etat, directeur de cabinet à la présidence de la République, Ahmed Ouyahia, le ministre d'Etat, conseiller spécial du président de la République, Tayeb Belaïz, le conseiller auprès de la présidence de la République, Saïd Bouteflika, le ministre de la Justice, garde des Sceaux, Tayeb Louh, le ministre de l'Intérieur, des Collectivités locales et de l'Aménagement du territoire, Nouredine Bedoui, ainsi que d'autres membres du gouvernement, le commandant de la Gendarmerie nationale, le général-major Menad Nouba, le secrétaire général de l'Union générale des travailleurs algériens (UGTA), Abdelmadjid Sidi Saïd, le secrétaire bgénéral de l'Organisation nationale des moudjahidine (ONM), Saïd Abadou, des chefs de partis politiques, des représentants de la société civile, d'anciens ministres, la famille du défunt ainsi que de nombreux citoyens ont assisté aux obsèques de Kamel Rezzag Bara. Dans son oraison funèbre, l'imam de la mosquée d'Al- Qods de Hydra a souligné que le défunt "a servi son pays avec dévouement et l'a soutenu en toutes circonstances". Dans une déclaration à la presse, le ministre de la Culture, Azeddine Mihoubi, a mis en exergue les qualités du défunt,soulignant qu'il était connu pour "sa profondeur d'analyse et sa culture riche etdiversifiée et qu'il défendait les intérêts del'Algérie concernant des questions sensibles,à l'instar de la lutte antiterroriste" .Né en janvier 1948 à Aïn-Beïda, dans lawilaya d'Oum-El-Bouagui, le défunt, avocatde formation, a occupé plusieurs fonctionset responsabilités au sein des institutions de l'Etat dont notamment celles deprésident de l'Observatoire national des droits de l'Homme (ONDH-1992) et de conseiller des droits de l'Homme auprès del'ex-président de la République LiamineZeroual.Il était aussi membre de la Commissionafricaine des droits de l'Homme et despeuples (avril 1998), président du groupede travail sur les populations/ communautés autochtones et chef demission auprès de l'Union africaine (UA).Durant sa carrière, Rezzag Bara a assuméégalement le poste d'ambassadeurd'Algérie à Tripoli de 2001 à 2004, avantd'être désigné conseiller auprès du présidentde la République chargé des questionssécuritaires en 2005. Le défunt intervenaitsouvent sur les questions liées à la paix, àla sécurité et à la lutte contre le terrorisme et l'extrémisme violent dans des séminaires et conférences sur ces thèmes. Décédé avant-hier à l'aube, le conseiller à la présidence de la République, Kamel Rezzag Bara, a été inhumée hier au cimetière d'El- Alia à Alger, en présence du président de l'Assemblée populaire nationale (APN), Saïd Bouhadja, du Premier ministre, Abdelmadjid Tebboune et du président du Conseil constitutionnel, Mourad Medelci. Le ministre d'Etat, directeur de cabinet à la présidence de la République, Ahmed Ouyahia, le ministre d'Etat, conseiller spécial du président de la République, Tayeb Belaïz, le conseiller auprès de la présidence de la République, Saïd Bouteflika, le ministre de la Justice, garde des Sceaux, Tayeb Louh, le ministre de l'Intérieur, des Collectivités locales et de l'Aménagement du territoire, Nouredine Bedoui, ainsi que d'autres membres du gouvernement, le commandant de la Gendarmerie nationale, le général-major Menad Nouba, le secrétaire général de l'Union générale des travailleurs algériens (UGTA), Abdelmadjid Sidi Saïd, le secrétaire bgénéral de l'Organisation nationale des moudjahidine (ONM), Saïd Abadou, des chefs de partis politiques, des représentants de la société civile, d'anciens ministres, la famille du défunt ainsi que de nombreux citoyens ont assisté aux obsèques de Kamel Rezzag Bara. Dans son oraison funèbre, l'imam de la mosquée d'Al- Qods de Hydra a souligné que le défunt "a servi son pays avec dévouement et l'a soutenu en toutes circonstances". Dans une déclaration à la presse, le ministre de la Culture, Azeddine Mihoubi, a mis en exergue les qualités du défunt,soulignant qu'il était connu pour "sa profondeur d'analyse et sa culture riche etdiversifiée et qu'il défendait les intérêts del'Algérie concernant des questions sensibles,à l'instar de la lutte antiterroriste" .Né en janvier 1948 à Aïn-Beïda, dans lawilaya d'Oum-El-Bouagui, le défunt, avocatde formation, a occupé plusieurs fonctionset responsabilités au sein des institutions de l'Etat dont notamment celles deprésident de l'Observatoire national des droits de l'Homme (ONDH-1992) et de conseiller des droits de l'Homme auprès del'ex-président de la République LiamineZeroual.Il était aussi membre de la Commissionafricaine des droits de l'Homme et despeuples (avril 1998), président du groupede travail sur les populations/ communautés autochtones et chef demission auprès de l'Union africaine (UA).Durant sa carrière, Rezzag Bara a assuméégalement le poste d'ambassadeurd'Algérie à Tripoli de 2001 à 2004, avantd'être désigné conseiller auprès du présidentde la République chargé des questionssécuritaires en 2005. Le défunt intervenaitsouvent sur les questions liées à la paix, àla sécurité et à la lutte contre le terrorisme et l'extrémisme violent dans des séminaires et conférences sur ces thèmes.