Le parquet général près le tribunal d'Aïn- Ouessara,Djelfa, a requis une peine de 2ans de prison femme assortied'une amende de 100.000 DA àl'encontre de la gynécologuepoursuivie dans l'affaire de la parturiente décédée récemment avec son bébé. Le parquet général près le tribunal d'Aïn- Ouessara,Djelfa, a requis une peine de 2ans de prison femme assortied'une amende de 100.000 DA àl'encontre de la gynécologuepoursuivie dans l'affaire de la parturiente décédée récemment avec son bébé. D'autres peines d'une année de prison ferme ont été requises à l'encontre de chacune des autres personnes arrêtées dans cette même affaire, soit trois sages-femmes, un directeur de permanence et un contrôleur médical. Lors de cette même audience qui a duré près de 24 heures, le parquet a, aussi, requis deux mois de prison ferme assortie d'une amende de 20.000 DA à l'encontre du staff chargé de la morgue de l'hôpital d'Aïn-Ouessara. Au terme de cette audience, qui a vu l'audition de tous les accusés, témoins et avocats des deux parties en cause, le président du tribunal a fixé la date du 27 septembre courant pour la prononciation du verdict dans cette affaire. Les faits remontent à la dernière semaine de juillet passé, lorsqu'une femme enceinte et son bébé ont trouvé la mort, suscitant une grande indignation de l'opinion publique. Suite à quoi le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière s'est constitué partie civile dans le procès intenté par la famille de la jeune maman décédée.Le ministère de tutelle a, également,indiqué avoir immédiatement, après la survenuedes faits, dépêché sur place unecommission d'enquête constituée de troisinspecteurs et d'un professeur en gynécoobstétriquechargés de faire toute lalumière sur tous les aspects administratifs,organisationnels et médicaux de cette affaire. Tout en présentant ses condoléances à la famille de la défunte, le ministère de laSanté a informé que "toute personne ayantfait preuve de négligence et de laisser-allerdans cette affaire sera sévèrement sanctionnéeà la lumière du rapport définitif queremettra la commission d'enquête, et ce,parallèlement à l'action en justice encours". Le Conseil national des droits de l'Homme(CNDH) avait, de son côté, indiqué qu'unedélégation s'est rendue dans la wilaya deDjelfa pour s'enquérir des circonstances dudécès d'une parturiente, soulignant qu'ilsuivait "avec intérêt" la situation sanitairedans le pays dans le cadre de sa mission entant qu'instance constitutionnelle nationale indépedante. D'autres peines d'une année de prison ferme ont été requises à l'encontre de chacune des autres personnes arrêtées dans cette même affaire, soit trois sages-femmes, un directeur de permanence et un contrôleur médical. Lors de cette même audience qui a duré près de 24 heures, le parquet a, aussi, requis deux mois de prison ferme assortie d'une amende de 20.000 DA à l'encontre du staff chargé de la morgue de l'hôpital d'Aïn-Ouessara. Au terme de cette audience, qui a vu l'audition de tous les accusés, témoins et avocats des deux parties en cause, le président du tribunal a fixé la date du 27 septembre courant pour la prononciation du verdict dans cette affaire. Les faits remontent à la dernière semaine de juillet passé, lorsqu'une femme enceinte et son bébé ont trouvé la mort, suscitant une grande indignation de l'opinion publique. Suite à quoi le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière s'est constitué partie civile dans le procès intenté par la famille de la jeune maman décédée.Le ministère de tutelle a, également,indiqué avoir immédiatement, après la survenuedes faits, dépêché sur place unecommission d'enquête constituée de troisinspecteurs et d'un professeur en gynécoobstétriquechargés de faire toute lalumière sur tous les aspects administratifs,organisationnels et médicaux de cette affaire. Tout en présentant ses condoléances à la famille de la défunte, le ministère de laSanté a informé que "toute personne ayantfait preuve de négligence et de laisser-allerdans cette affaire sera sévèrement sanctionnéeà la lumière du rapport définitif queremettra la commission d'enquête, et ce,parallèlement à l'action en justice encours". Le Conseil national des droits de l'Homme(CNDH) avait, de son côté, indiqué qu'unedélégation s'est rendue dans la wilaya deDjelfa pour s'enquérir des circonstances dudécès d'une parturiente, soulignant qu'ilsuivait "avec intérêt" la situation sanitairedans le pays dans le cadre de sa mission entant qu'instance constitutionnelle nationale indépedante.