«Depuis qu'internet a fait son apparition dans notre foyer, mon fils âgé de 16 ans ne se détache plus de son micro. Au début, je croyais qu'il s'adonnait à des jeux en réseaux. Je pensais que cela était très normal quoi que, connaissant les effets nuisibles de la dépendance à ce genre de pratique, je craignais pour sa santé. Ce que j'ai découvert fut pire. Mon enfant se connectait la nuit sur des sites érotiques où des obscénités inouïes étaient diffusées. Je suis choquée et confuse à la fois. Que faire ?» Mme Fouzia n'est pas la seule mère à se plaindre de l'attitude dépendante que développe son fils ado face au micro. Seulement, ici il ne s'agit pas simplement d'une dépendance aux jeux en réseau, mais aux sites érotiques qui commercialisent la violence à travers une sexualité permissive. Il est à noter que l'un des phénomènes alarmant de notre époque est la diffusion de plus en plus étendue de la violence généralisée à travers les média y compris celle liée à la sexualité permissive véhiculée par le cinéma, la télévision, les vidéocassettes et encore plus internet. Ces moyens offrent souvent aux jeunes des scènes de violence ou d'intimité crue qui arrivent au seuil de la pornographie ou qui sont moralement inacceptables. Peut-on dire pour autant que ces images transforment d'innocents adolescents en bêtes lubriques ? Existe-t-il un lien entre la pornographie et la médiatisation croissante des crimes sexuels ? Les résultats d'une enquête européenne récemment effectuée peuvent démontrer le lien. En effet, cette étude souligne un lien étonnant. Le visionnage de films X est intimement lié à des conduites à risques : des actes de violence, des fugues, l'usage de drogues, la consommation d'alcool et de tabac, mais aussi des tentatives de suicide plus fréquentes chez les filles et les garçons. Mais ces données se limitent à la simple constatation d'une corrélation statistique et ne permettent pas de juger d'une éventuelle relation de cause à effet. Nul ne peut nier les effets dramatiques de la violence associée à la pornographie. Les enfants et les jeunes sont particulièrement vulnérables et spécialement exposés à en devenir les victimes. La pornographie et la violence sadique déprécient la sexualité, pervertissent les relations humaines, asservissent les relations entre individus - en particulier les enfants et les femmes-, détruisent le mariage et la vie de famille, inspirent des attitudes antisociales et affaiblissent la fibre morale de la société. Une fréquente exposition des jeunes enfants au contexte de violence dans les média peut être troublante pour ceux-ci, encore incapable de distinguer nettement entre imagination et réalité. Successivement, la violence sadique au sein des média peut conditionner les personnes impressionnables, surtout les jeunes, au point qu'ils la considèrent acceptable, normale et digne d'être imitée. Nous nous retrouverons, par conséquent, face aux crimes liés à la sexualité, particulièrement les agressions sexuelles, la pédophilie, les viols et bien d'autres maux. Les parents ne doivent pas négliger le changement de comportement de leur fils ado, notamment s'il passe plus de temps face à la télévision ou à Internet. Leur rôle est de contrôler et de suivre de près l'évolution de leur enfant tout en détectant tout signe de changement quel qu'il soit banal à leur sens. La violence en général et celle liée à la sexualité en particulier porte atteinte à l'équilibre de votre enfant qui risque de développer des comportements à risque. Alors parents, soyez attentifs! «Depuis qu'internet a fait son apparition dans notre foyer, mon fils âgé de 16 ans ne se détache plus de son micro. Au début, je croyais qu'il s'adonnait à des jeux en réseaux. Je pensais que cela était très normal quoi que, connaissant les effets nuisibles de la dépendance à ce genre de pratique, je craignais pour sa santé. Ce que j'ai découvert fut pire. Mon enfant se connectait la nuit sur des sites érotiques où des obscénités inouïes étaient diffusées. Je suis choquée et confuse à la fois. Que faire ?» Mme Fouzia n'est pas la seule mère à se plaindre de l'attitude dépendante que développe son fils ado face au micro. Seulement, ici il ne s'agit pas simplement d'une dépendance aux jeux en réseau, mais aux sites érotiques qui commercialisent la violence à travers une sexualité permissive. Il est à noter que l'un des phénomènes alarmant de notre époque est la diffusion de plus en plus étendue de la violence généralisée à travers les média y compris celle liée à la sexualité permissive véhiculée par le cinéma, la télévision, les vidéocassettes et encore plus internet. Ces moyens offrent souvent aux jeunes des scènes de violence ou d'intimité crue qui arrivent au seuil de la pornographie ou qui sont moralement inacceptables. Peut-on dire pour autant que ces images transforment d'innocents adolescents en bêtes lubriques ? Existe-t-il un lien entre la pornographie et la médiatisation croissante des crimes sexuels ? Les résultats d'une enquête européenne récemment effectuée peuvent démontrer le lien. En effet, cette étude souligne un lien étonnant. Le visionnage de films X est intimement lié à des conduites à risques : des actes de violence, des fugues, l'usage de drogues, la consommation d'alcool et de tabac, mais aussi des tentatives de suicide plus fréquentes chez les filles et les garçons. Mais ces données se limitent à la simple constatation d'une corrélation statistique et ne permettent pas de juger d'une éventuelle relation de cause à effet. Nul ne peut nier les effets dramatiques de la violence associée à la pornographie. Les enfants et les jeunes sont particulièrement vulnérables et spécialement exposés à en devenir les victimes. La pornographie et la violence sadique déprécient la sexualité, pervertissent les relations humaines, asservissent les relations entre individus - en particulier les enfants et les femmes-, détruisent le mariage et la vie de famille, inspirent des attitudes antisociales et affaiblissent la fibre morale de la société. Une fréquente exposition des jeunes enfants au contexte de violence dans les média peut être troublante pour ceux-ci, encore incapable de distinguer nettement entre imagination et réalité. Successivement, la violence sadique au sein des média peut conditionner les personnes impressionnables, surtout les jeunes, au point qu'ils la considèrent acceptable, normale et digne d'être imitée. Nous nous retrouverons, par conséquent, face aux crimes liés à la sexualité, particulièrement les agressions sexuelles, la pédophilie, les viols et bien d'autres maux. Les parents ne doivent pas négliger le changement de comportement de leur fils ado, notamment s'il passe plus de temps face à la télévision ou à Internet. Leur rôle est de contrôler et de suivre de près l'évolution de leur enfant tout en détectant tout signe de changement quel qu'il soit banal à leur sens. La violence en général et celle liée à la sexualité en particulier porte atteinte à l'équilibre de votre enfant qui risque de développer des comportements à risque. Alors parents, soyez attentifs!