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La malédiction du FLN
PRESQUE TOUS LES DIRIGEANTS ONT CONNU UNE FIN TRAGIQUE
Publié dans L'Expression le 30 - 08 - 2014


Mohamed Khider Kaïd Ahmed Mohamed Chérif Messadia
Il n'est un secret pour personne que depuis l'indépendance, voilà bientôt cinquante-trois ans, et à une exception près, aucun premier responsable du FLN n'a été remplacé de manière normale.
La disgrâce dans laquelle est tombé Belkhadem depuis quelques jours n'est pas sans susciter quelques questions sérieuses à propos de son parti, son ex-parti devrions-nous dire. Et la plus intéressante, nous semble-t-il, est certainement la question qui consiste à se demander pourquoi est-ce que la sortie des responsables du FLN est-elle toujours «étrange» et «douteuse», sinon «anormale», voire parfois, «violente»?
Parce qu'il n'est pas aisé de passer, en un clin d'oeil, d'un poste qui assure tous les privilèges et tout le respect, à celui de persona non grata, il est difficile de savoir ce que ressentent ou ont ressenti ces hommes qui se sont succédé à la tête du vieux parti depuis l'indépendance et qui en ont été débarqués, souvent avec beaucoup de bruit et toujours sans ménagement. Pourtant, parmi ces hommes, certains ont beaucoup donné au pays. Qui prend le temps de regarder de près l'histoire des dirigeants du FLN depuis l'indépendance, s'aperçoit finalement que quelque chose ne va pas. Quelque chose n'allait pas dès le début. Est-ce une simple poisse qui frappe tous ceux qui osent prendre les commandes de ce parti ou alors est-ce une véritable malédiction qui les poursuit jusqu'à la fin de leurs jours?
Tous les changements à la tête du FLN ont été anormaux
En effet, il n'est un secret pour personne que depuis l'indépendance, voilà bientôt cinquante-trois ans, et à une exception près, aucun premier responsable du FLN n'a été remplacé de manière normale. A part Chérif Belkacem qui a été remplacé en 1967 par Kaïd Ahmed pour se consacrer à d'autres fonctions, tous les autres, depuis Mohamed Khider jusqu'à Abdelaziz Belkhadem, ont tous été, purement et simplement, éjectés de la responsabilité du vieux parti. Certes, cela s'est fait tantôt directement par les tenants du pouvoir, tantôt par l'intermédiaire des militants eux-mêmes, mais, en fin de compte, quelle triste histoire que celle des dirigeants du FLN que, lorsqu'on a envie de la raconter, on ne sait vraiment pas par où commencer.
Mohamed Khider et Kaïd Ahmed avaient été contraints à prendre le chemin de l'exil, Ben Bella avait été déposé par un coup d'Etat, Yahiaoui avait été écarté par Chadli puis laissé dans l'obscurité de l'oubli, Messadia avait été lâché sous la pression de la rue, Mehri, Benhamouda, Benflis et Belkhadem avaient tous été renversés par leurs camarades de la direction du FLN. Avouons qu'être secrétaire général ou coordinateur (comme on l'appelait autrefois) du FLN n'est pas une fonction heureuse. En tout cas, ce n'est pas une fonction à la heureuse. Et du coup, il devient inévitable de se poser certaines questions.
Nous nous sommes penchés sur l'histoire des dirigeants du FLN. Nous avons alors compté que ce parti a eu, en tout, 11 responsables depuis l'indépendance. Six d'entre eux sont morts (Mohamed Khider, Ahmed Ben Bella, Chérif Belkacem, Kaïd Ahmed, Mohamed Chérif Messadia et Abdelhamid Mehri). Que Dieu ait leur âme! Parmi les autres, c'est-à-dire parmi les cinq restants, quatre ont été écartés de la vie politique (Mohamed Salah Yahiaoui, Boualem Benhamouda, Ali Benflis et Abdelaziz Belkhadem) et le seul qui ne l'a pas encore été, c'est celui actuellement en poste. Il n'y est que depuis quelques mois, de toute façon. Lorsque nous avons essayé de regarder de plus près cette histoire des dirigeants du FLN, nous avons constaté que finalement, en fonction de la manière dont ils ont été débarqués, leur histoire peut être racontée en deux périodes bien distinctes. La première va de l'indépendance à 1988 alors que la seconde période s'étale de 1988 à nos jours.
En effet, depuis l'indépendance jusqu'à 1988, et malgré les différentes sorties qu'ils ont connues, les dirigeants du FLN ont ceci de commun qu'ils ont été écartés directement par le pouvoir en place. Mais, depuis 1988, le changement du premier responsable a changé de nature. Ce n'est plus le pouvoir en place qui intervient directement pour écarter, c'est une partie des militants qui, au nom d'un certain «redressement» qu'ils ne se cachent jamais de vouloir mener ou d'avoir effectivement mené, destituent le chef en place et le remplacent par quelqu'un qu'ils reviendront, quelque temps plus tard, destituer de la même manière.
Cette manière de procéder est relativement récente. Elle date de l'ouverture politique, c'est-à-dire à partir du moment où, pour sauver la face d'une certaine démocratie, le pouvoir n'intervient plus directement et de manière visible, mais ce sont certains responsables du parti qui s'en occupent.
En ce qui suit, nous allons retracer rapidement la chronologie des différents chefs du FLN avant de poser quelques questions.
Première période: de l'indépendance à 1988
Le premier secrétaire général du FLN, Mohamed Khider ne dirigea que durant une année (1962-1963) avant d'être contraint à l'exil suite à ses divergences, dit-on, avec Ben Bella. Il s'exila en Espagne d'où il déclara son opposition au coup d'Etat de 1965. Il mourut en exil, un 4 janvier 1967, à Madrid plus précisément. Son successeur, Ahmed Ben Bella dirigea, quant à lui, le FLN durant deux années (de 1963 à 1965) avant d'être écarté à son tour suite au coup d'Etat qui fut mené contre lui par Boumediene.
Chérif Belkacem succéda à Ben Bella à la tête du vieux parti mais au bout de deux années (1965-1967), il fut remplacé par Kaïd Ahmed. C'était le seul changement normal, avons-nous mentionné plus haut, car Chérif Belkacem resta au pouvoir où il exerça comme ministre des Finances (1968-1969). Mais, étant proche de Boumediene, il disparaîtra quand même de l'arène politique à la mort de celui-ci et ce, jusqu'à son décès en 2009, à Paris.
Kaïd Ahmed dirigea plus longuement que tous ses prédécesseurs (1967-1972) avant d'être écarté un 20 décembre 1972 par Boumediene pour incompatibilité de vue. Kaïd Ahmed choisira, lui aussi, l'exil. Il ira au Maroc où il décèdera le 5 mars 1978 à Rabat.
Yahiaoui fut appelé pour remplacer Kaïd Ahmed. Il mena les rênes du FLN durant sept longues années (1973-1980) mais, en 1980, il fut débarqué.
Il était clair qu'il avait fait les frais de son ambition, une année plus tôt, lorsqu'il voulait briguer le poste de président de la République suite au décès de Boumediene.
Celui qui lui succéda, Messadia, prit les commandes plus longuement encore car il dirigera le FLN durant huit années successives avant d'être brutalement lâché par Chadli suite aux événements d'Octobre 1988, sous la pression de la rue qui accusait alors le FLN de tous ses malheurs. Yahiaoui et Messadia, tout en restant en Algérie, se retirèrent de la politique et si Messadia revint pour présider le Sénat sous Bouteflika, Yahiaoui, quant à lui, ne refit plus jamais surface si l'on excepte les très rares déclarations qu'il fit.
Nous avons, dans un chapitre précédent retracé l'histoire des responsables du FLN depuis l'indépendance et nous avons mentionné que cette histoire s'étale en fait sur deux périodes distinctes.
Seconde période: de 1988 à nos jours
A partir de 1988, la manière avec laquelle est mené le changement à la tête du FLN change. Le premier à subir la nouvelle méthode fut Abdelhamid Mehri. Porté à la tête du parti, suite à la colère de la rue de 1988, Mehri arriva à ce poste dans un moment des plus délicats. Il dirigea le FLN dans le nouveau paysage politique qui vit pousser d'innombrables partis (qu'on appelait à l'époque des associations à caractère politique).
Par ailleurs, étant à la tête du parti de 1988 à 1996, Mehri eut aussi la charge de gérer ce parti dans le contexte sécuritaire que l'on sait.
Le FLN était-il toujours le parti au pouvoir ou bien était-il devenu un parti de l'opposition? Pour Abdelhamid Mehri c'est la seconde réponse qui était correcte et il agit en conséquence.
Ceci le mènera à siéger, à Sant'Egidio, avec les autres partis du «Contrat de Rome» et c'est ce qui lui coûta d'être évincé simplement de son poste.
Il circulait alors «à l'époque, des pétitions signées par les membres du comité pour lui retirer leur confiance et l'écarter» (1). C'est ce qui est connu comme le «coup d'Etat scientifique» mené alors par «Abdelkader Hadjar et Boualem Benhamouda (auxquels d'autres sources ajoutent aussi Abderrahmane Belayat») (2).
Abdelhamid Mehri affirmait alors dans son dernier discours au parti avoir été informé «de réunions qui se tenaient hors du siège et avec des gens qui n'avaient aucun lien avec la responsabilité» et que «des parties étrangères agissaient au nom du pouvoir»(3). Les observateurs auront certainement remarqué que ceci n'est pas sans rappeler certaines choses d'un vécu pas trop lointain.
Abdelhamid Mehri, en sortant du FLN, ne quitta pas l'Algérie et mourut à Aïn Naâdja, à l'âge de 85 ans, un lundi 30 janvier 2012.
Pour le remplacer, le choix fut porté sur Boualem Benhamouda, membre actif de la destitution de Mehri. Celui-ci dirigea pendant cinq années (1996-2001) avant d'être à son tour descendu par ses compagnons d'hier, les désormais fameux redresseurs.
L'éjection de Benhamouda au début ne paraissait pas facile. «L ́affaire ne semble pas être réglée tel du papier à musique, comme ce fut le cas du tandem Benhamouda-Belayat, qui avait fomenté et réussi l ́éjection fulgurante de Abdelhamid Mehri en 1996» écrivit alors Rafik Mokrani dans L'Expression du 27 août 2001 (4), mais il ne pouvait tenir longtemps de toute façon car, justifiera Belayat, des années plus tard, Benhamouda «ne convenait plus au système» (5).
Son remplaçant, Ali Benflis, présida alors aux destinées du FLN durant trois années (2001-2004), mais, dès 2003, le mouvement de redressement s'était mis à l'oeuvre pour le descendre lui aussi. La raison? Officiellement, on avançait des problèmes organiques et des problèmes politiques au parti, mais à vrai dire, les ambitions présidentielles de Benflis étaient clairement affichées et, à partir du moment où il décida de se porter candidat, il fut attaqué de toutes parts et débarqué de la chefferie du gouvernement, puis de la direction du vieux parti. Boualem Benhamouda n'hésita pas alors à tirer sur le mouvement de redressement dans un communiqué qu'il rendit public. Il y fustige le «mouvement de ́ ́redressement ́ ́ et considère que dans tous les pays du monde ceux qui ne sont pas d'accord avec leur direction créent un autre parti». Il ajouta qu' «un congrès parallèle est inconcevable dans n'importe quel pays du monde et laisserait des séquelles définitives» (6).
Benflis, largement battu en 2004, se retira de la vie politique pendant dix ans, il garda le silence jusqu'à la dernière élection (2014) où il fit sa réapparition comme candidat, mais pour la seconde fois, il ne réussit pas à passer.
Au départ de Benflis, on assista à l'arrivée de celui qui allait, malgré tout, être le patron au siège de Hydra, plus longtemps que tous les autres secrétaires généraux du FLN. Belkhadem dirigea le vieux parti pendant neuf années successives (de 2004 à 2013) avant d'être éjecté, lui aussi, à son tour, par ses propres camarades, les fameux redresseurs qui avaient destitué Benflis, Benhamouda et Mehri. Il laissa alors sa place à Saâdani, l'actuel patron de Hydra.
Mardi dernier, un décret présidentiel a effacé Belkhadem des affaires de l'Etat et, semble-t-il, une décision du parti ne tardera pas à venir l'effacer définitivement de la vie politique. Certaines sources disent déjà que les préparations vont bon train pour que la commission de discipline se réunisse au plus tôt.
Quelques questions
Lorsqu'on regarde cette histoire des dirigeants de l'ex-parti unique, on ne peut s'empêcher de se demander pourquoi ont-ils eu cette fin tragique qui consiste à disparaître définitivement de la vie politique. Est-ce une damnation qui frappe tous ceux qui grimpent jusqu'au fauteuil de leader de ce parti? Ou bien est-ce un mauvais oeil qui les atteint immédiatement? Oui, pourquoi?
Pour comprendre ces «mini-révolutions» de palais, on est obligé de rappeler combien la vie du parti FLN est mêlée à celle du pays. En effet, jusqu'à l'avènement du multipartisme, c'est le FLN qui a toujours dirigé le pays. C'est lui qui a donné au pays et à ses institutions leurs responsables.
Les choses étaient faites de manière à ce que cela fût ainsi du moment qu'un parti unique ne peut que fournir le gouvernement et le pays en responsables, c'est tout à fait clair. Il y eut une courte période de flottement pour ce parti depuis la révolte d'Octobre 1988 et lors de la période du terrorisme, mais ensuite, avec l'arrivée de Bouteflika, le vieux parti est replacé au-devant de la scène nationale.
En tout cas, il est une chose qui mérite d'être soulignée, au FLN, les secrétaires généraux semblent interdits de l'ambition de se porter candidats à la présidentielle. Ceci est évidemment contraire à ce qui se passe ailleurs et pour les autres partis du monde où les partis proposent, généralement, leurs responsables à la candidature pour la présidence du pays. Est-ce dû à une incapacité du parti à gérer qui se traduirait par l'incapacité de ses responsables à briguer le poste de président de la République? Lorsqu'on rappelle qu'un Yahiaoui (1979), un Benflis (2004) ou encore un Benhamouda (1999) avaient soit postulé directement, soit eu l'envie de le faire, on est bien obligé de répondre par la négative.
Est-ce alors une stratégie du vieux parti qui ne veut pas aller sous les projecteurs, mais veut continuer à diriger le pays depuis les coulisses? Peut-être. Est-ce un réflexe dont le parti ne peut plus se séparer?
Ou bien est-ce dû à une culture interne du parti qui ferait que ses dirigeants se gênent et s'empêchent mutuellement de postuler à la présidence? On est tenté de le croire. Surtout lorsqu'on rappelle que aussi bien Yahiaoui, que Benflis, avaient été écartés parce qu'ils avaient émis le voeu interdit et que Belkhadem s'est beaucoup vu reprocher le fait qu'il nourrissait un espoir de monter un jour les marches d'El Mouradia.
Dans ce cas, ne serait-il pas juste de dire que l'ambition de devenir, un jour, président est un pêché capital au sein du plus vieux parti de chez nous? Un pêché qui vous met sur le siège éjectable et n'est-ce pas ce qui est arrivé à Yahiaoui, Benflis et Belkhadem et même, à en croire certaines rumeurs, Benhamouda?
Et pourquoi, comme l'avait dit Belayat, Benhamouda ne convenait-il plus au système? Est-ce parce qu'il voulait tenter la présidentielle?
Beaucoup de questions se posent à propos de ce qui a jalonné l'histoire de ce grand parti., beaucoup!
Références
(1) http://algeronline.com/ actualites/mehri-devoile-les-raisons-de-son-eviction-du-fln
(2) http://www.lexpressiondz. com/actualite/273-fin-de-regne-pour-benhamouda.html
(3) http://www.algeria-isp.com/actualites/ politique-/201011-A1960/mehri-devoile-les-raisons-son-eviction-fln.html
(4) http://www.lexpressiondz. com/actualite/273-fin-de-regne-pour-benhamouda.html
(5) http://www.leconews.com /fr/politique/politique-national/activite-partisane/le-fln-risque-la-disparition-14-12-2013-166612_367.php
(6) http://www.djazairess.com/fr/liberte/19145


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