Alors que le Kremlin a indiqué hier qu'aucune rencontre n'est prévue à Paris entre le président russe et son homologue turc, malgré la demande d'entretien "en face à face" d'Ankara, le Premier ministre turc Ahmet Davutoglu a refusé de s'excuser pour avoir abattu un bombardier russe à la frontière syrienne la semaine dernière, comme le réclame Moscou, tout en demandant à la Russie de reconsidérer ses sanctions économiques adoptées à la suite de cet incident. R. I./Agences