– Un wali délégué pour Bouinan Après sa promotion au rang de wilaya déléguée, Bouinan, située à l'est de la wilaya de Blida, vient d'avoir son propre wali-délégué. Il a été installé ,hier, par le wali de Blida. El Bar Ambarek, car c'est de lui qu'il s'agit, a travaillé en tant que SG de la wilaya de Sétif pendant plusieurs années, comme il a occupé la fonction de chef de daïra un peu partout dans le pays. Son défi attendu : accélérer la cadence des travaux concernant la ville nouvelle de Bouinan, dont les logements de type AADL sont très en retard. Le siège de la wilaya-déléguée de Bouinan est située provisoirement au siège de la wilaya de Blida, et ce, en attendant son transfert vers de nouveaux locaux à Bouinan. – Des psychotropes et des stupéfiants saisis Des psychotropes, des stupéfiants et des armes prohibées ont été saisis dans des opérations dans les wilayas d'Alger et de Aïn Témouchent, indique un communiqué de de la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN). A Alger, les forces de police de la sûreté de wilaya ont effectué des opérations dans plusieurs quartiers, lesquelles se sont soldées par la récupération de 2,94 kilogrammes de cannabis traité, 172 comprimés de psychotropes, 30 armes blanches et l'arrestation de 86 personnes impliquées dans ces délits. A Aïn Témouchent, les éléments de la police judiciaire relevant de la sûreté de wilaya d'Oran ont interpellé 3 présumés auteurs impliqués dans une affaire liée au trafic de drogue lors d'une perquisition dans la localité de Beni Saf, qui s'est soldée par la récupération de 7,2 kilogrammes de cannabis traité et 1400 comprimés de psychotropes. Par ailleurs, la police des frontières, en collaboration avec les services des Douanes, ont interpellé à l'aéroport international Houari-Boumediène (Alger) un présumé auteur, qui s'apprêtait à embarquer sur un vol à destination de Paris (France), en possession de 1323 comprimés de psychotropes. – L'aide humanitaire pourrait doubler d'ici 2050 Le nombre de personnes nécessitant chaque année une aide humanitaire du fait de catastrophes climatiques pourrait doubler d'ici à 2050, selon un rapport du plus vaste réseau humanitaire au monde, présenté jeudi à New York. Selon les estimations fournies dans cette étude intitulée «The cost of doing nothing» (Le coût de l'inaction), publiée par la Fédération internationale de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge, le nombre de personnes nécessitant une aide humanitaire du fait de tempêtes, de sécheresse et d'inondations pourrait grimper au-delà des 200 millions par an. Ce nombre est estimé actuellement à 108 millions de personnes. Le rapport estime, en outre, que cette hausse du coût humain s'accompagnerait d'un énorme fardeau financier, avec une envolée des coûts de l'aide humanitaire liée au climat, lesquels atteindraient les 20 milliards de dollars par an d'ici à 2030, selon le scénario le plus pessimiste. – Interdiction des cigarettes électroniques en Inde L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a félicité l'Inde, qui vient d'annoncer l'interdiction des cigarettes électroniques, ont rapporté des médias. Dans un tweet, le bureau de l'OMS pour l'Asie sur Sud-Est a relevé que l'Inde était le sixième pays dans la région à avoir interdit les cigarettes électroniques, après la Corée du Nord, le Népal, le Sri Lanka, la Thaïlande et le Timor-Est. Le gouvernement indien a annoncé, mercredi, l'interdiction de la production, de l'importation, de l'exportation, du transport, du stockage et de la vente de cigarettes électroniques, dernière illustration d'une tendance à la remise en cause du vapotage, présenté à l'origine comme une alternative au tabac. Une première infraction est passible d'un an de prison et/ou 100 000 roupies (1270 euros) d'amende, jusqu'à 3 ans et/ou 500 000 roupies (6300 euros) en cas de récidive. L'interdiction des cigarettes électroniques en Inde pour des «impératifs de santé», est également intervenue au lendemain d'une interdiction édictée par l'Etat américain de New York de commercialiser des cigarettes électroniques aromatisées. La vente des autres produits liés au tabac demeure cependant légale en Inde.