Ralliant Tunis, jeudi dernier, pour officialiser son engagement avec l'EST, l'avant-centre algérien de Nîmes Olympique, Karim Aribi, est rentré précipitamment en France, vendredi soir, sans avoir finalisé avec le club tunisois. Alors qu'il avait tout conclu avec la direction de l'EST, Aribi devait donc passer la visite médicale d'usage vendredi, et s'engager avec l'EST. Mais il semblerait que la direction de l'EST a voulu prendre au dépourvu l'Algérien, en lui proposant un montant inférieur à celui qui avait été conclu, ce qui a poussé Aribi et son manager à tout annuler. C'est d'ailleurs la vraie raison de l'échec de ce transfert, qui est loin d'être lié à un problème de santé (hernie discale), comme distillé par la direction de l'EST dans les médias tunisiens. Sous contrat jusqu'en 2024 avec Nîmes qu'il a rejoint l'été dernier en provenance de l'ES Sahel (Tunisie), Aribi qui ne sera pas retenu par le club français, relégué en Ligue 2, devra vite se trouver un club, pour éviter une saison blanche. Advertisements