L'Italien a aussi répondu à son homologue catalan Ronald Koeman, qui a parlé d'un match sans "favori" et réfuté tout sentiment de "peur" : "Il y a de la préoccupation, c'est normal. Et même de la peur, parfois. Mais ce sont des sentiments positifs. Si tu n'as pas peur, tu affronteras un lion en pensant que c'est un chat. La peur peut être positive. J'ai une équipe forte, avec des qualités physiques et techniques, certes, mais avant tout mentales", a prévenu le Mister, avant d'évoquer ce premier Clasico sans Ronaldo, ni Messi. "Les joueurs font partie d'un moment, d'une période, mais le Barça-Real Madrid a toujours existé et existera toujours. Même après Sergio Ramos, Cristiano, Messi, ou beaucoup d'autres. Avant, c'était le Barça de Messi qu'on affrontait, c'est vrai. Mais on est désormais dans une autre réalité. Je ne veux pas que cette absence altère notre préparation, parce que contre le Barça, ça a toujours été un match compliqué, et ça le restera toujours", a terminé Ancelotti comme le rapporte Maxifoot.