réseaux sociaux, d'appels à la violence contre les femmes, lajustice s'est de suite, auto-saisie.L'auteur de l'appel a étéarrêté, entendu et incarcéréavant-hier. réseaux sociaux, d'appels à la violence contre les femmes, lajustice s'est de suite, auto-saisie.L'auteur de l'appel a étéarrêté, entendu et incarcéréavant-hier. Il a avoué.Sans faire de vagues et avectoute la rigueur et la célérité dela loi, le ministère de la Justices'est, depuis la parution des premiersappels à la violence surles réseaux sociaux, auto-saisiede l'affaire. Après identificationdu profil du premier concernépar les services de la sectionrecherches ils ont arrêté ledénommé B. MA., âgé de 29 ans, exerçant comme agent desécurité dans un centre de formationà Oran. Le mis en cause quia ensuite été entendu par le jugea reconnu les faits. Il a été incarcéréle jour même pour "apologieau terrorisme et incitation àla violence".Ce n'est que la première arrestationd'une longue liste de profilsen cours d'identification. Lesservices compétents de la justice épluchent tous les messages et pages Facebook pour déterminerd'autres "adeptes" à la violence et les mettre hors d'état de nuire. Les appels à la violence quel que soit leur caractères, constituent en soi de graves délits que la justice compte punir avec intransigeance. Pour précision, cette première incarcération n'est qu'une première étape dans un processus d'identification en cours pris encharge par les services du ministère de la Justice. D'autres interpellations interviendront dans les prochains jours. Les derniers jours du mois de Ramadhan, les réseaux sociaux ont servi de tribunes à des individus haineux qui ont lancé desappels pour attaquer les femmes à l'acide. Leur argument : interdire par la force aux jeunes filles de porter des pantalons. L'appel,au crime a fait réagir des centaines,d'internautes qui ont dénoncé sur les mêmes réseaux sociaux ces actes ignobles. Desfemmes ont même déposé plainte au niveau des services de police, lesquels services mènent enparallèle aux investigations du ministère de la justice, leurs propres enquêtes. De toute évidence, il n'est plus permis le retour à la case départ, la justice est déterminée àtraquer ces obscurantistes aveuglés par la haine de voir leur dessein échouer dans une société qui se remet debout après avoir vaincu les tenants de la violence et jouit de nouveau de la vertu de la paix de vivre ensemble. Il a avoué.Sans faire de vagues et avectoute la rigueur et la célérité dela loi, le ministère de la Justices'est, depuis la parution des premiersappels à la violence surles réseaux sociaux, auto-saisiede l'affaire. Après identificationdu profil du premier concernépar les services de la sectionrecherches ils ont arrêté ledénommé B. MA., âgé de 29 ans, exerçant comme agent desécurité dans un centre de formationà Oran. Le mis en cause quia ensuite été entendu par le jugea reconnu les faits. Il a été incarcéréle jour même pour "apologieau terrorisme et incitation àla violence".Ce n'est que la première arrestationd'une longue liste de profilsen cours d'identification. Lesservices compétents de la justice épluchent tous les messages et pages Facebook pour déterminerd'autres "adeptes" à la violence et les mettre hors d'état de nuire. Les appels à la violence quel que soit leur caractères, constituent en soi de graves délits que la justice compte punir avec intransigeance. Pour précision, cette première incarcération n'est qu'une première étape dans un processus d'identification en cours pris encharge par les services du ministère de la Justice. D'autres interpellations interviendront dans les prochains jours. Les derniers jours du mois de Ramadhan, les réseaux sociaux ont servi de tribunes à des individus haineux qui ont lancé desappels pour attaquer les femmes à l'acide. Leur argument : interdire par la force aux jeunes filles de porter des pantalons. L'appel,au crime a fait réagir des centaines,d'internautes qui ont dénoncé sur les mêmes réseaux sociaux ces actes ignobles. Desfemmes ont même déposé plainte au niveau des services de police, lesquels services mènent enparallèle aux investigations du ministère de la justice, leurs propres enquêtes. De toute évidence, il n'est plus permis le retour à la case départ, la justice est déterminée àtraquer ces obscurantistes aveuglés par la haine de voir leur dessein échouer dans une société qui se remet debout après avoir vaincu les tenants de la violence et jouit de nouveau de la vertu de la paix de vivre ensemble.