Après sept ans d'une guerre imposée par des parties aux desseins inavoués, la dernièrepoche de résistance terroristesituéedans le nord du pays s'apprête à essuyerl'offensive des troupes russo-syriennes. Après sept ans d'une guerre imposée par des parties aux desseins inavoués, la dernièrepoche de résistance terroristesituéedans le nord du pays s'apprête à essuyerl'offensive des troupes russo-syriennes. Mais, plus que les 70.000 combattants restants, c'est la présence de 3 millions decivils qui risque de transformer cet assaut en catastrophe humanitaire.En 2012, Laurent Fabius, alors ministredes Affaires étrangères français, rompaittout contact avec Bachar el-Assad, estimantqu'il était impossible que lePrésident puisse faire partie de l'avenir dela Syrie. Six ans plus tard, c'est ce mêmeBachar el-Assad, que beaucoup d'analystesvoyaient vaciller dans l'élan desprintemps arabes, qui s'apprête - avecl'indéfectible soutien politique et militairede Vladimir Poutine et l'appui del'Iran - à affronter la dernière pochederésistance terroriste retranchée danslaville d'Idlib et sa province. Après lareprise de Daraya, de la Ghouta orientale,de Homs puis de Deraa, en juillet dernier, c'est à Idlib, dans le nord de la Syrie, quese trouve la dernière enclave des terroristesqui essuie depuis plusieurssemaines des raids aériens et des tirs d'artillerie. Après ses victoires dans le sud dupays, c'est ici que va se dérouler l'un desultimes chapitres de la reconquête de l'ensembledu territoire syrien par son gouvernement légitime. Mais, plus que les 70.000 combattants restants, c'est la présence de 3 millions decivils qui risque de transformer cet assaut en catastrophe humanitaire.En 2012, Laurent Fabius, alors ministredes Affaires étrangères français, rompaittout contact avec Bachar el-Assad, estimantqu'il était impossible que lePrésident puisse faire partie de l'avenir dela Syrie. Six ans plus tard, c'est ce mêmeBachar el-Assad, que beaucoup d'analystesvoyaient vaciller dans l'élan desprintemps arabes, qui s'apprête - avecl'indéfectible soutien politique et militairede Vladimir Poutine et l'appui del'Iran - à affronter la dernière pochederésistance terroriste retranchée danslaville d'Idlib et sa province. Après lareprise de Daraya, de la Ghouta orientale,de Homs puis de Deraa, en juillet dernier, c'est à Idlib, dans le nord de la Syrie, quese trouve la dernière enclave des terroristesqui essuie depuis plusieurssemaines des raids aériens et des tirs d'artillerie. Après ses victoires dans le sud dupays, c'est ici que va se dérouler l'un desultimes chapitres de la reconquête de l'ensembledu territoire syrien par son gouvernement légitime.