ContenuDégradation du contexte de travail des journalistes! Le silence n'est plus permis."Le journalisme n'est pas un crime". ContenuDégradation du contexte de travail des journalistes! Le silence n'est plus permis."Le journalisme n'est pas un crime". C'est sous ce mot d'ordre et pour éviterqu'il y ait un remake de la tragédie de Mohamed Tamalt avec Saïd Chitour, que les journalistes et militants des droits del'Homme sont conviés à se rassembler le 22 octobre, à 10 heures, dans l'enceinte dela maison de la presse, Tahar Djaout àAlger.Dans un communiqué du comité de soutien à Saïd Chitour, il souligne que cetteinitiative d'organiser un rassemblement àl'occasion de la 4ème année de la fête nationale de la presse, prise par la "secondefamille" du journaliste emprisonné, intervient dans un contexte de "dégradation del'état de santé du journaliste emprisonné".Le communiqué relève l'acharnementinjustifié à l'égard du journaliste, dont ladétention provisoire a dépassé les limites fixées par la loi. Selon le Code de procédure,la détention provisoire ne dépasse pas 12 mois (4 mois renouvelables troisfois).Saïd Chitour, qui souffre d'undiabètesévère et d'une hypertension chronique, estdétenu depuis 16 mois sans procès.Sonétat de santé inspire les plusgrandesinquiétudes à sa famille qui craintdésormais,pour sa vie."Mon frère Saïd estentrain de lâcher prise. on état est très alarmant. Il faut fairequelque chose. C'est urgent", a éclarélasoeur du journaliste, correspondant de plusieurs médias anglo-saxon (WashingtonPost, Bbc news), emprisonné depuis le 5juin 2017.Accusé en novembre 2017, par le parquetde Bir Mourad Rais, d'avoir divulguer des"documents gouvernementaux sensibles" à des diplomates étrangers, le journaliste aconstamment nié l'accusation, en assurant ne pas "avoir les documents décrits dans les accusations". Le comité de soutien àSaïd Chitour souligne,par ailleurs, la dégradation ducontexte du travail des journalistes. "Nousne pouvons, non plus, nous taire sur la dangereuse escalade contre lesjournalisteset leur travail sur le terrain", indique lecommuniqué.,"Nous appelonsles journalistes, de toutes tendances, à participer à ce rassemblement,symbolique et pacifique, qui ne peut êtrequ'un rendez-vous pour renouveler notre refus absolu de l'atteinte à la sécurité et à la vie des journalistes, dans uncontexte politique électrique". C'est sous ce mot d'ordre et pour éviterqu'il y ait un remake de la tragédie de Mohamed Tamalt avec Saïd Chitour, que les journalistes et militants des droits del'Homme sont conviés à se rassembler le 22 octobre, à 10 heures, dans l'enceinte dela maison de la presse, Tahar Djaout àAlger.Dans un communiqué du comité de soutien à Saïd Chitour, il souligne que cetteinitiative d'organiser un rassemblement àl'occasion de la 4ème année de la fête nationale de la presse, prise par la "secondefamille" du journaliste emprisonné, intervient dans un contexte de "dégradation del'état de santé du journaliste emprisonné".Le communiqué relève l'acharnementinjustifié à l'égard du journaliste, dont ladétention provisoire a dépassé les limites fixées par la loi. Selon le Code de procédure,la détention provisoire ne dépasse pas 12 mois (4 mois renouvelables troisfois).Saïd Chitour, qui souffre d'undiabètesévère et d'une hypertension chronique, estdétenu depuis 16 mois sans procès.Sonétat de santé inspire les plusgrandesinquiétudes à sa famille qui craintdésormais,pour sa vie."Mon frère Saïd estentrain de lâcher prise. on état est très alarmant. Il faut fairequelque chose. C'est urgent", a éclarélasoeur du journaliste, correspondant de plusieurs médias anglo-saxon (WashingtonPost, Bbc news), emprisonné depuis le 5juin 2017.Accusé en novembre 2017, par le parquetde Bir Mourad Rais, d'avoir divulguer des"documents gouvernementaux sensibles" à des diplomates étrangers, le journaliste aconstamment nié l'accusation, en assurant ne pas "avoir les documents décrits dans les accusations". Le comité de soutien àSaïd Chitour souligne,par ailleurs, la dégradation ducontexte du travail des journalistes. "Nousne pouvons, non plus, nous taire sur la dangereuse escalade contre lesjournalisteset leur travail sur le terrain", indique lecommuniqué.,"Nous appelonsles journalistes, de toutes tendances, à participer à ce rassemblement,symbolique et pacifique, qui ne peut êtrequ'un rendez-vous pour renouveler notre refus absolu de l'atteinte à la sécurité et à la vie des journalistes, dans uncontexte politique électrique".