Le feuilleton des bévues continue dans le département de Tahar Hadjar. Cette fois ci, c'est le Cnes qui dénonceles conditions de gestion des inscriptions doctorales en l'absence de toute norme. Le feuilleton des bévues continue dans le département de Tahar Hadjar. Cette fois ci, c'est le Cnes qui dénonceles conditions de gestion des inscriptions doctorales en l'absence de toute norme. L'université algérienne n'en finitplus désormais avec les dérives. Ainsi la coordination du Cnes arévélé dans sa page Facebook "la gestion anarchique qui sévit en matièred'inscription au cycle de doctoratLMD". Dans sa version des faits, lecoordinateur national du Syndicat desenseignants Abdelhafidh Milat a regretté que "le nombre d'inscrits pour l'inscription doctorale est égal au nombrede postes ouverts" estimant que"c'est anormal que 4 étudiants s'inscriventau concours pour 4 filières dans unmême jour d'examen". Ce qui dénoteselon lui d'une incohérence du fait que"90 % des postulants réussissent le concours de première année ce qui estinacceptable". Le Cnes critique en effetla décision ministérielle consistantàouvrir le maximum de postes pour le doctorat du système LMD alors qu'il étaitloisible de voir sur le terrain "les conditions pédagogiques et le nombre des enseignants pour l'encadrement des étudiants". Le coordinateur du syndicatenfonce le clou en révélant que "parfois, l'examen de concours se déroulesans les candidats du moment que l'ouverture des postes de doctorat a dépassé le seuil souhaité". Comment un étudiantpeut-il s'inscrire dans plusieurs de post-graduation dont leconcours se déroule simultanément ? Apparemment c'est une première dansles annales de l'université algérienne. Généralement, toutes les facultésd'études dans le monde admettent unnombre précis de postulants au doctorat afin que le suivi pédagogique et l'encadrementsoient aux normes. Ce quin'est pas le cas actuellement où le Cnes constate que "4 se présententpour un concours pour 3 posteset le comble ils réussissent l'épreuve totale". Le porte-parole du Cnes citedes exemples dans les universités de Batna, Oum el-Bouaghi, Bordj-Bou-Arreridj et d'autres où ce procédé semble bien marcher. Quant à la version des associations estudiantines, elles'inscrit toutautrement en approuvant la décision de Hadjar sur ce point. Elleestime que l'augmentation des postes pour le doctorat LMD est une revendication étudiants et correspond àleurs attentes en la matière après avoir constaté qu'auparavant, elle était limitéeà un nombre réduit d'inscrits. Le ministère qui semble ne pas reculer surcette décision n'arrive pas à avoir l'unanimité des enseignants quiconsidèrent toujours que le dialogue ne fonctionne pas correctement sur les questions d'ordre pédagogique et social. Toujours estil que le partenaire social fort démonté par ces décisions unilatérales risque d'embraser les campus par des grèves qui ontété déjà annoncées à l'horizon. L'université algérienne n'en finitplus désormais avec les dérives. Ainsi la coordination du Cnes arévélé dans sa page Facebook "la gestion anarchique qui sévit en matièred'inscription au cycle de doctoratLMD". Dans sa version des faits, lecoordinateur national du Syndicat desenseignants Abdelhafidh Milat a regretté que "le nombre d'inscrits pour l'inscription doctorale est égal au nombrede postes ouverts" estimant que"c'est anormal que 4 étudiants s'inscriventau concours pour 4 filières dans unmême jour d'examen". Ce qui dénoteselon lui d'une incohérence du fait que"90 % des postulants réussissent le concours de première année ce qui estinacceptable". Le Cnes critique en effetla décision ministérielle consistantàouvrir le maximum de postes pour le doctorat du système LMD alors qu'il étaitloisible de voir sur le terrain "les conditions pédagogiques et le nombre des enseignants pour l'encadrement des étudiants". Le coordinateur du syndicatenfonce le clou en révélant que "parfois, l'examen de concours se déroulesans les candidats du moment que l'ouverture des postes de doctorat a dépassé le seuil souhaité". Comment un étudiantpeut-il s'inscrire dans plusieurs de post-graduation dont leconcours se déroule simultanément ? Apparemment c'est une première dansles annales de l'université algérienne. Généralement, toutes les facultésd'études dans le monde admettent unnombre précis de postulants au doctorat afin que le suivi pédagogique et l'encadrementsoient aux normes. Ce quin'est pas le cas actuellement où le Cnes constate que "4 se présententpour un concours pour 3 posteset le comble ils réussissent l'épreuve totale". Le porte-parole du Cnes citedes exemples dans les universités de Batna, Oum el-Bouaghi, Bordj-Bou-Arreridj et d'autres où ce procédé semble bien marcher. Quant à la version des associations estudiantines, elles'inscrit toutautrement en approuvant la décision de Hadjar sur ce point. Elleestime que l'augmentation des postes pour le doctorat LMD est une revendication étudiants et correspond àleurs attentes en la matière après avoir constaté qu'auparavant, elle était limitéeà un nombre réduit d'inscrits. Le ministère qui semble ne pas reculer surcette décision n'arrive pas à avoir l'unanimité des enseignants quiconsidèrent toujours que le dialogue ne fonctionne pas correctement sur les questions d'ordre pédagogique et social. Toujours estil que le partenaire social fort démonté par ces décisions unilatérales risque d'embraser les campus par des grèves qui ontété déjà annoncées à l'horizon.