dimanche que la forte baisse de la mobilisation des "gilets jaunes" la veille constitueraune occasion d'en finir avec les manifestations dimanche que la forte baisse de la mobilisation des "gilets jaunes" la veille constitueraune occasion d'en finir avec les manifestations qui ont secoué le pays depuisprès d'un mois, ont rapporté des médiaslocaux. La cinquième journée de manifestationsa réuni samedi moitié moins de personnes dans les rues françaises que les semaines précédentes, marquant, selon lesmédias locaux, "la fin d'un cycle de mobilisation". "Une étape est derrière nous, certainement, et je pense que c'est l'intérêt de tout lemonde qu'il en soit ainsi, y compris des+gilets jaunes+", a déclaré dimanche leministre français de l'Education, Jean-Michel Blanquer. "Le temps du dialogue est venu", a soulignéde son côté le président de l'Assemblée nationale Richard Ferrand, alors que leministre de l'Intérieur Christophe Castanera affirmé que "les ronds-points doivent êtrelibérés et la sécurité de tous redevenir larègle". Depuis le 17 novembre, les "gilets jaunes" - ces Français modestes se plaignantd'une fiscalité excessive et d'un pouvoird'achat insuffisant - bloquent rondpointset axes routiers à travers la France.Plusieurs zones de péages du sud du pays ont été touchées par des incendies et dégradations dans la nuit de samedi à dimanche.Après quatre samedis de manifestations àParis et en régions, dont trois émaillés descènes de violences et de dégradations.Pour des experts français, l'exécutif a vraiment intérêt à tenir ses promesses concernant le soutien au pouvoir d'achat, car lerisque de reprise de la mobilisation est toujours"important". L'essoufflement dumouvement est vécu aujourd'hui comme un soulagement pour l'économie françaiseet notamment pour les petits commerces, qui, à l'approche des fêtes, ont fortement souffert de la mobilisation des "Gilets jaunes".Le président de la Confédération des commerçants de France a estimé samedi que le mouvement représentait "une véritable catastrophe" pour eux, avec une baisse duchiffre d'affaires comprise entre "40% et70%". qui ont secoué le pays depuisprès d'un mois, ont rapporté des médiaslocaux. La cinquième journée de manifestationsa réuni samedi moitié moins de personnes dans les rues françaises que les semaines précédentes, marquant, selon lesmédias locaux, "la fin d'un cycle de mobilisation". "Une étape est derrière nous, certainement, et je pense que c'est l'intérêt de tout lemonde qu'il en soit ainsi, y compris des+gilets jaunes+", a déclaré dimanche leministre français de l'Education, Jean-Michel Blanquer. "Le temps du dialogue est venu", a soulignéde son côté le président de l'Assemblée nationale Richard Ferrand, alors que leministre de l'Intérieur Christophe Castanera affirmé que "les ronds-points doivent êtrelibérés et la sécurité de tous redevenir larègle". Depuis le 17 novembre, les "gilets jaunes" - ces Français modestes se plaignantd'une fiscalité excessive et d'un pouvoird'achat insuffisant - bloquent rondpointset axes routiers à travers la France.Plusieurs zones de péages du sud du pays ont été touchées par des incendies et dégradations dans la nuit de samedi à dimanche.Après quatre samedis de manifestations àParis et en régions, dont trois émaillés descènes de violences et de dégradations.Pour des experts français, l'exécutif a vraiment intérêt à tenir ses promesses concernant le soutien au pouvoir d'achat, car lerisque de reprise de la mobilisation est toujours"important". L'essoufflement dumouvement est vécu aujourd'hui comme un soulagement pour l'économie françaiseet notamment pour les petits commerces, qui, à l'approche des fêtes, ont fortement souffert de la mobilisation des "Gilets jaunes".Le président de la Confédération des commerçants de France a estimé samedi que le mouvement représentait "une véritable catastrophe" pour eux, avec une baisse duchiffre d'affaires comprise entre "40% et70%".