Les maladies cardio-vasculaires sont responsables de 25.000 décès par an. C'est ce que conclut une récente enquête nationale de la santé publique, qui met le doigt sur le déséquilibre alimentaire, le stress et le tabac, comme facteurs responsables de la mortalité des malades. Les maladies cardio-vasculaires sont responsables de 25.000 décès par an. C'est ce que conclut une récente enquête nationale de la santé publique, qui met le doigt sur le déséquilibre alimentaire, le stress et le tabac, comme facteurs responsables de la mortalité des malades. L'enquête en question, menée par les soins du ministère de la Santé et l'OMS, indique que le taux de prévalencedu taux de décès est de présde 46% de la population malade.Ceux qui présentent déjà dessignes graves des pathologiescardiaques, sont de plus en plusmenacés par des morts subites ouarrêts cardiaques, s'ils ne modifientpas leurs comportementsvis-à-vis de leurs corps. Il a été établi, selon la même étude, queles facteurs de décès sont multiplesdont le tabac responsable de11% de la mortalité et l'alcool à7%. Les facteurs aggravants desdifférentes pathologies cardiaques,se résument par une"alimentation déséquilibrée, lestress et la sédentarité". A cela,il faut ajouter l'obésité quitouche 40% des malades qui présententles signes avancés d'uneaffection cardiaque. Les professionnelsspécialistes indiquent,que "la donne a changé puisqueun échantillon important desmalades se présentent avantl'âge de 40 ans" faisant accélérer les décès en cas de manque desoins et des prises en charges médicales, sans hygiène de vie. le registre des chiffres, celles-ci sont alarmantes puisque 2 patients sur 3 ignorent qu'ils développent une hypertension artérielle qui, faute de diagnostic peut être fatale. Elle serait de 50% chez les personnes ayant plus de 55 ans, conclut l'étude. En Algérie, le plan de santé globale, initié par les autorités en 2015, place déjà les maladies cardiaques comme deuxième source de décès après le cancer, en soulignant que la prise en charge médicale, à elle seule, ne suffit pas à endiguer les cas de décès annuels et d'où l'urgence de campagnes de sensibilisation et d'informations qui doivent se déployer continuellement sur le terrain. Pour sa part,l'Association nationale des praticiens privés pour la prévention des maladies cardiaques a signalé au cours de son séminairerécent à Oran, que "la hausse des cardiopathies chez les Algériens, est due principalement à une consommation excessive en sel et sucre qui mettent 33% des malades en danger". Elle précise, que "la conjugaison de ces facteurs, en plus durythme de vie effréné, perturbent la santé du coeur" d'où l'importance "d'une alimentation équilibrée et riche en fibres et oligoéléments, ainsi qu'une activité physique régulière qui mettent à l'abri des graves affections cardiaques". L'enquête en question, menée par les soins du ministère de la Santé et l'OMS, indique que le taux de prévalencedu taux de décès est de présde 46% de la population malade.Ceux qui présentent déjà dessignes graves des pathologiescardiaques, sont de plus en plusmenacés par des morts subites ouarrêts cardiaques, s'ils ne modifientpas leurs comportementsvis-à-vis de leurs corps. Il a été établi, selon la même étude, queles facteurs de décès sont multiplesdont le tabac responsable de11% de la mortalité et l'alcool à7%. Les facteurs aggravants desdifférentes pathologies cardiaques,se résument par une"alimentation déséquilibrée, lestress et la sédentarité". A cela,il faut ajouter l'obésité quitouche 40% des malades qui présententles signes avancés d'uneaffection cardiaque. Les professionnelsspécialistes indiquent,que "la donne a changé puisqueun échantillon important desmalades se présentent avantl'âge de 40 ans" faisant accélérer les décès en cas de manque desoins et des prises en charges médicales, sans hygiène de vie. le registre des chiffres, celles-ci sont alarmantes puisque 2 patients sur 3 ignorent qu'ils développent une hypertension artérielle qui, faute de diagnostic peut être fatale. Elle serait de 50% chez les personnes ayant plus de 55 ans, conclut l'étude. En Algérie, le plan de santé globale, initié par les autorités en 2015, place déjà les maladies cardiaques comme deuxième source de décès après le cancer, en soulignant que la prise en charge médicale, à elle seule, ne suffit pas à endiguer les cas de décès annuels et d'où l'urgence de campagnes de sensibilisation et d'informations qui doivent se déployer continuellement sur le terrain. Pour sa part,l'Association nationale des praticiens privés pour la prévention des maladies cardiaques a signalé au cours de son séminairerécent à Oran, que "la hausse des cardiopathies chez les Algériens, est due principalement à une consommation excessive en sel et sucre qui mettent 33% des malades en danger". Elle précise, que "la conjugaison de ces facteurs, en plus durythme de vie effréné, perturbent la santé du coeur" d'où l'importance "d'une alimentation équilibrée et riche en fibres et oligoéléments, ainsi qu'une activité physique régulière qui mettent à l'abri des graves affections cardiaques".