Ils ont 25, 30 ans, et veulent être député ou président. Au Nigeria, lacampagne électorale est marquée parl'arrivée de nombreux jeunes candidats. Ils ont 25, 30 ans, et veulent être député ou président. Au Nigeria, lacampagne électorale est marquée parl'arrivée de nombreux jeunes candidats. Ceci est lié à une loi, votée enmai 2018, qui abaisse l'âge des candidatsaux élections. Désormais, il fautavoir au minimum 35 ans pour êtrecandidat à la présidentielle, au lieu de 40, 30 ans pour les aspirants gouverneurs et 25 ans, pour la chambre des représentants et les assemblées Seulement les avis sont partagés sur l'impact de cette loi, notamment concernant le renouvellement de la classe politique nigériane. L'idée de cette loi est d'abaisser de cinq ans l'âge des personnes qui aspirent à être député, sénateur ou candidat à l'élection présidentielle. Et le résultat est là : de nombreux jeunes ont été sélectionnés pour les élections locales et pour la présidentielle de cette année. Depuis le 6 janvier, chaque dimanche soir, une émission donne la parole aux jeunes candidats. Le but : leur donner plus de visibilité. Car face aux gros appareils des partis traditionnels, ces candidats ont moins de moyens financiers pour battre campagne. Pour autant, sur le fond, ces jeunes apportent des propositions concrètes, liées à leurs difficultés au quotidien. Ils promettent un accès à l'eau potable, de meilleurs services de santé ou encore une meilleure gestion du secteur de l'énergie. Ceci est lié à une loi, votée enmai 2018, qui abaisse l'âge des candidatsaux élections. Désormais, il fautavoir au minimum 35 ans pour êtrecandidat à la présidentielle, au lieu de 40, 30 ans pour les aspirants gouverneurs et 25 ans, pour la chambre des représentants et les assemblées Seulement les avis sont partagés sur l'impact de cette loi, notamment concernant le renouvellement de la classe politique nigériane. L'idée de cette loi est d'abaisser de cinq ans l'âge des personnes qui aspirent à être député, sénateur ou candidat à l'élection présidentielle. Et le résultat est là : de nombreux jeunes ont été sélectionnés pour les élections locales et pour la présidentielle de cette année. Depuis le 6 janvier, chaque dimanche soir, une émission donne la parole aux jeunes candidats. Le but : leur donner plus de visibilité. Car face aux gros appareils des partis traditionnels, ces candidats ont moins de moyens financiers pour battre campagne. Pour autant, sur le fond, ces jeunes apportent des propositions concrètes, liées à leurs difficultés au quotidien. Ils promettent un accès à l'eau potable, de meilleurs services de santé ou encore une meilleure gestion du secteur de l'énergie.