ConLe ministre de la Justice, garde des Sceaux, Tayeb Louh, a affirmé hier àAlger qu'un pouvoir judiciaire impartial, àl'abri des tiraillements politiques, était legage de la sécurité et de la stabilité de la nation. ConLe ministre de la Justice, garde des Sceaux, Tayeb Louh, a affirmé hier àAlger qu'un pouvoir judiciaire impartial, àl'abri des tiraillements politiques, était legage de la sécurité et de la stabilité de la nation. Dans son allocution lors de la cérémonie organisée par le ministère de la Justice, à l'occasion de la Journée de la femme, Louh a indiqué qu'"un pouvoir judiciaire impartial, à l'abri des tiraillements politiques et la pluralité des processus et visions constituent le gage de la sécurité et de la stabilité de la nation", insistant sur "l'importance de la préservation des acquis réalisés en termes d'instances et d'institutions, sans lesquels on ne saurait parler d'un choix démocratique, sûr et sécurisé". Le ministre a rappelé que "l'engagement des magistrats, en toutes circonstances,à se conformer à l'obligation de réserveet à s'éloigner de tout ce qui pourraitattenter à leur impartialité et à leur indépendance,sont autant de valeurs qu'ilss'étaient engagés à respecter lors de laprestation de serment". "Le magistrat doit faire preuve d'équité,de loyauté, de probité et de fidélité auxprincipes de la Justice", a-t-il ajouté,exprimant sa conviction que le magistrat"a pleinement conscience du poids de laresponsabilité qui lui incombe", d'où lanécessité de voir "cette responsabilité répondre aux principes stipulés dans les statuts et le code d'éthique de cette profession". A l'évidence ces propos sonnent comme une réponde à une partie des magistrats qui sont montés au créneau ces derniers jours. Ces derniers, affiliés à un groupe qui porte le non de - Club des juges -, ont annoncé leur soutien au mouvement populaire contre le cinquième mandat et pour le changement. Ces magistrats ont aussi menacés de ne pas encadrer l'élection présidentielle du 18 avril prochain, si celle-ci ne se déroule pas dans le respect de la loi. Le pouvoir judiciaire "est conscient de sa responsabilité constitutionnelle, car constituant un pouvoir indépendant exerçant ses devoirs dans le cadre de la loi sur la base de la légalité et de l'égalité". Pour le ministre de la Justice, le peuple algérien "uni dans les épreuves, est capable de surmonter toutes les étapes sensibles et consolider les acquis réalisés, en tête desquels l'unité du pays contre toute infiltration, la préservation de la sécurité et de la stabili é, l'instauration de la quiétude et la construction d'un avenir plus prospère".tenu Dans son allocution lors de la cérémonie organisée par le ministère de la Justice, à l'occasion de la Journée de la femme, Louh a indiqué qu'"un pouvoir judiciaire impartial, à l'abri des tiraillements politiques et la pluralité des processus et visions constituent le gage de la sécurité et de la stabilité de la nation", insistant sur "l'importance de la préservation des acquis réalisés en termes d'instances et d'institutions, sans lesquels on ne saurait parler d'un choix démocratique, sûr et sécurisé". Le ministre a rappelé que "l'engagement des magistrats, en toutes circonstances,à se conformer à l'obligation de réserveet à s'éloigner de tout ce qui pourraitattenter à leur impartialité et à leur indépendance,sont autant de valeurs qu'ilss'étaient engagés à respecter lors de laprestation de serment". "Le magistrat doit faire preuve d'équité,de loyauté, de probité et de fidélité auxprincipes de la Justice", a-t-il ajouté,exprimant sa conviction que le magistrat"a pleinement conscience du poids de laresponsabilité qui lui incombe", d'où lanécessité de voir "cette responsabilité répondre aux principes stipulés dans les statuts et le code d'éthique de cette profession". A l'évidence ces propos sonnent comme une réponde à une partie des magistrats qui sont montés au créneau ces derniers jours. Ces derniers, affiliés à un groupe qui porte le non de - Club des juges -, ont annoncé leur soutien au mouvement populaire contre le cinquième mandat et pour le changement. Ces magistrats ont aussi menacés de ne pas encadrer l'élection présidentielle du 18 avril prochain, si celle-ci ne se déroule pas dans le respect de la loi. Le pouvoir judiciaire "est conscient de sa responsabilité constitutionnelle, car constituant un pouvoir indépendant exerçant ses devoirs dans le cadre de la loi sur la base de la légalité et de l'égalité". Pour le ministre de la Justice, le peuple algérien "uni dans les épreuves, est capable de surmonter toutes les étapes sensibles et consolider les acquis réalisés, en tête desquels l'unité du pays contre toute infiltration, la préservation de la sécurité et de la stabili é, l'instauration de la quiétude et la construction d'un avenir plus prospère".tenu