Des associations professionnelles et des chefs d'entreprise ont planché ce week-end sur la situationéconomique qui s'enlise deplus en plus. Ils ont plaidé pour des mesures rapides afin de redresser la situation. Des associations professionnelles et des chefs d'entreprise ont planché ce week-end sur la situationéconomique qui s'enlise deplus en plus. Ils ont plaidé pour des mesures rapides afin de redresser la situation. Le Cercle algérien de la réflexion sur l'entreprise (Care) et laConfédération générale des entrepreneursalgériens ainsi que l'Associationnationale des économistes ont qualifié "lasituation économique de préoccupanteavec une crise qui affecte les ressources de l'Etat". Pour le Care, qui s'est centréjeudi dernier sur la problématique de larelance estime que "la transition économiquedoit impérativement d'une transition politique et institutionnelle". Celadoit être de courte durée car "la baisse dumoral des chefs d'entreprise est un signeinquiétant du moment que l'économie est au ralenti". De son côté, l'association nationale des économistes algériens a faitvaloir la thèse "d'une récession qui s'aggrave avec le tarissement des ressources"avec notamment la baisse des réserves de changes qui sont à moins de 73 milliardsde dollars. Avec cette situation, l'Algériepeut garantir sa sécurité alimentaire pour2 ans uniquement. "Avec des indices aurouge, il y a une baisse notable de la productionnationale et une dépendanceaccrue des hydrocarbures qui sont volatileset instables en référence des prix àl'international". En brossant ce tableau, ces experts et patrons d'entreprise exhortentle gouvernement à "trouver des solutions urgentes pour ne pas sombrer dansle chaos". Ils plaident en premier à "ladiversification de l'économie à travers un soutien aux entreprises nationales" soulignel'Association des économistes. La menace se fait de plus en plus sentir avec la montée du chômage et l'aggravation de la précarité chez des millions de citoyens. "Les retombées sociales d'une telle crise sont les signes qu'il faut aller vers des mesures urgentes de redressement" signale pour sa part la CGEA. L'Algérie qui reste confrontée selon plusieurs experts à "une situation désastreuse" àl'horizon 2020 et 2021 pourra inverser lasituation, si toutefois, les mesures draconiennes seraient prises par l'exécutif dés maintenant. Ils avertissent contre l'option de l'endettement à l'extérieur qui pourrareplonger le pays dans un climat mal sain de dépendance envers les institutions financières internationales et ces conséquences dramatiques sur le plan social Le Cercle algérien de la réflexion sur l'entreprise (Care) et laConfédération générale des entrepreneursalgériens ainsi que l'Associationnationale des économistes ont qualifié "lasituation économique de préoccupanteavec une crise qui affecte les ressources de l'Etat". Pour le Care, qui s'est centréjeudi dernier sur la problématique de larelance estime que "la transition économiquedoit impérativement d'une transition politique et institutionnelle". Celadoit être de courte durée car "la baisse dumoral des chefs d'entreprise est un signeinquiétant du moment que l'économie est au ralenti". De son côté, l'association nationale des économistes algériens a faitvaloir la thèse "d'une récession qui s'aggrave avec le tarissement des ressources"avec notamment la baisse des réserves de changes qui sont à moins de 73 milliardsde dollars. Avec cette situation, l'Algériepeut garantir sa sécurité alimentaire pour2 ans uniquement. "Avec des indices aurouge, il y a une baisse notable de la productionnationale et une dépendanceaccrue des hydrocarbures qui sont volatileset instables en référence des prix àl'international". En brossant ce tableau, ces experts et patrons d'entreprise exhortentle gouvernement à "trouver des solutions urgentes pour ne pas sombrer dansle chaos". Ils plaident en premier à "ladiversification de l'économie à travers un soutien aux entreprises nationales" soulignel'Association des économistes. La menace se fait de plus en plus sentir avec la montée du chômage et l'aggravation de la précarité chez des millions de citoyens. "Les retombées sociales d'une telle crise sont les signes qu'il faut aller vers des mesures urgentes de redressement" signale pour sa part la CGEA. L'Algérie qui reste confrontée selon plusieurs experts à "une situation désastreuse" àl'horizon 2020 et 2021 pourra inverser lasituation, si toutefois, les mesures draconiennes seraient prises par l'exécutif dés maintenant. Ils avertissent contre l'option de l'endettement à l'extérieur qui pourrareplonger le pays dans un climat mal sain de dépendance envers les institutions financières internationales et ces conséquences dramatiques sur le plan social