La grève cyclique de trois jours, entamé avant-hier lundi dans les écoles primaires, a énormément perturbé le fonctionnement des établissements scolaires. La grève cyclique de trois jours, entamé avant-hier lundi dans les écoles primaires, a énormément perturbé le fonctionnement des établissements scolaires. Ainsi, un grand nombre d'écoles primaires ont renvoyé hier mardi, leurs élèves à la maison, faute d'enseignants, qui ont préféré répondre à l'appel de leur syndicat, pour se regrouper devant les directions de l'Education, au niveau de différentes wilayas. Devant ce qu'ils qualifient de "manoeuvres de la tutelle pour gagner du temps", les enseignants brandissant désormais l'arme de l'escalade en menaçant de boycotter carrément les vacances de fin de trimestre. Pour rappel, les enseignants du primaire, dont le mouvement de protestation dure depuis plusieurs semaines, réclament leur reclassement dans le statut particulier à l'échelle 12, l'allègement de leur volume horaire, et leur dispense des activités parascolaires, comme la surveillance des élèves pendant la récréation, ainsi que la gestion de la cantine scolaire. De nombreuses rencontres ont eu lieu entre le syndicats et des responsables de l'éducation, mais sans résultats palpables, le ministre, Abdelhakim Bélabed, accusant, pour sa part, ces syndicats sans les citer de "vouloir déstabiliser l'école". Le calendrier des compositions inchangé Par ailleurs, le ministère de l'Education bnationale a affirmé, lundi, qu'aucun changement n'est intervenu dans le calendrier des compositions du premier trimestre, a indiqué un communiqué du ministère. "Des médias ont relayé des informations faisant état de changements dans le calendrier des compositions du premier trimestre de l'année scolaire en cours", a rappelé le ministère, assurant, dans ce sens, "qu'aucun changement n'est intervenu dans les dates des compositions, et ce conformément à l'instruction ministériellenuméro 720 du 5 novembre 2019". Tout en remerciant les médias pour l'intérêt porté pour l'éducation, le ministère a affirmé être à leur disposition pour vérifier toute information et leur fournir les informations justes. Ainsi, un grand nombre d'écoles primaires ont renvoyé hier mardi, leurs élèves à la maison, faute d'enseignants, qui ont préféré répondre à l'appel de leur syndicat, pour se regrouper devant les directions de l'Education, au niveau de différentes wilayas. Devant ce qu'ils qualifient de "manoeuvres de la tutelle pour gagner du temps", les enseignants brandissant désormais l'arme de l'escalade en menaçant de boycotter carrément les vacances de fin de trimestre. Pour rappel, les enseignants du primaire, dont le mouvement de protestation dure depuis plusieurs semaines, réclament leur reclassement dans le statut particulier à l'échelle 12, l'allègement de leur volume horaire, et leur dispense des activités parascolaires, comme la surveillance des élèves pendant la récréation, ainsi que la gestion de la cantine scolaire. De nombreuses rencontres ont eu lieu entre le syndicats et des responsables de l'éducation, mais sans résultats palpables, le ministre, Abdelhakim Bélabed, accusant, pour sa part, ces syndicats sans les citer de "vouloir déstabiliser l'école". Le calendrier des compositions inchangé Par ailleurs, le ministère de l'Education bnationale a affirmé, lundi, qu'aucun changement n'est intervenu dans le calendrier des compositions du premier trimestre, a indiqué un communiqué du ministère. "Des médias ont relayé des informations faisant état de changements dans le calendrier des compositions du premier trimestre de l'année scolaire en cours", a rappelé le ministère, assurant, dans ce sens, "qu'aucun changement n'est intervenu dans les dates des compositions, et ce conformément à l'instruction ministériellenuméro 720 du 5 novembre 2019". Tout en remerciant les médias pour l'intérêt porté pour l'éducation, le ministère a affirmé être à leur disposition pour vérifier toute information et leur fournir les informations justes.