Le président de la République, chef suprême des Forces armées, ministre de la Défense nationale, Abdelmadjid Tebboune présidera, aujourd'hui dimanche, une réunion du Conseil des ministres... Le président de la République, chef suprême des Forces armées, ministre de la Défense nationale, Abdelmadjid Tebboune présidera, aujourd'hui dimanche, une réunion du Conseil des ministres... C'est ce qu'a indiqué samedi un communiqué de la présidence de la République. "Le président de la République, chef suprême des Forces armées, ministre de la Défense nationale, Abdelmadjid Tebboune, présidera dimanche 16 mai 2021 la réunion périodique du Conseil des ministres consacrée à l'examen et l'adoption de plusieurs exposés, ordonnances et décrets portant sur les secteurs des Finances, des Affaires étrangères, de l'Energie et des Mines, du Commerce, des Travaux publics et de la Transition énergétique, ainsi qu'à l'examen de la possible ouverture des frontières terrestres et aériennes", précise le même communiqué. Le feu vert du Comité scientifique Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Abderrahmane Benbouzid, a annoncé, jeudi dernier, en marge d'une visite à l'hôpital de Boufarik, que le Comité scientifique a recommandé le rapatriement des Algériens et l'entrée des étrangers sur le territoire national, en imposant toutefois des conditions. "Nous avons fait une étude afin de permettre l'entrée en Algérie pour les ressortissants ainsi que pour les étrangers. Il y aura des mesures strictes", a expliqué le professeur Benbouzid. Toutefois, le professeur Riad Mahyaoui, membre du Comité scientifique chargé du suivi et de l'évolution de l'épidémie du Covid-19 en Algérie, a douché les espoirs des ressortissants algériens. Dans un entretien publié, avant-hier vendredi, sur le site spécialisé Visas-Algérie, le professeur Mahyaoui a rappelé que réunio organisée dimanche dernier "a été consacrée au protocole sanitaire pour les passagers étrangers en provenance de différents pays. Il s'agit de ressortissants étrangers qui travaillent en Algérie : des experts, des travailleurs dans les hydrocarbures, le bâtiment et d'autres secteurs et qui aident l'Algérie dans le développement de son économie et qui viendraient dans le cadre de missions", a-t-il ajouté. Il a expliqué, dans le même entretien, que le Comité scientifique s'est réuni "pour essayer de trouver un moyen de contrôler ces voyageurs au plan sanitaire tout en sachant qu'en Algérie les variants détecté sont entrés avec des passagers venus de l'étranger". Interrogé pour savoir qui pourra voyager après la mise en oeuvre du nouveau protocole sanitaire, M. Mahyaoui a déclaré : "Je n'ai pas de réponse à cette question. Je sais que vous faites allusion à d'autres personnes". Il a poursuivi : "Mais, au Comité scientifique, nous avons parlé de personnes qui viendraient dans le cadre de missions professionnelles et dont la présence est nécessaire pour le bon fonctionnement de notre économie. Nous n'avons traité que cet aspect-là". Questionné sur la possibilité que les Algériens bloqués à l'étranger puissent rentrer en Algérie, le professeur Mahyaoui a rappelé que "pour le moment, les frontières sont fermées. Il y a une période où il y a eu des dérogations pour des situations particulières. Mais ce n'est pas à l'ordre du jour". C'est ce qu'a indiqué samedi un communiqué de la présidence de la République. "Le président de la République, chef suprême des Forces armées, ministre de la Défense nationale, Abdelmadjid Tebboune, présidera dimanche 16 mai 2021 la réunion périodique du Conseil des ministres consacrée à l'examen et l'adoption de plusieurs exposés, ordonnances et décrets portant sur les secteurs des Finances, des Affaires étrangères, de l'Energie et des Mines, du Commerce, des Travaux publics et de la Transition énergétique, ainsi qu'à l'examen de la possible ouverture des frontières terrestres et aériennes", précise le même communiqué. Le feu vert du Comité scientifique Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Abderrahmane Benbouzid, a annoncé, jeudi dernier, en marge d'une visite à l'hôpital de Boufarik, que le Comité scientifique a recommandé le rapatriement des Algériens et l'entrée des étrangers sur le territoire national, en imposant toutefois des conditions. "Nous avons fait une étude afin de permettre l'entrée en Algérie pour les ressortissants ainsi que pour les étrangers. Il y aura des mesures strictes", a expliqué le professeur Benbouzid. Toutefois, le professeur Riad Mahyaoui, membre du Comité scientifique chargé du suivi et de l'évolution de l'épidémie du Covid-19 en Algérie, a douché les espoirs des ressortissants algériens. Dans un entretien publié, avant-hier vendredi, sur le site spécialisé Visas-Algérie, le professeur Mahyaoui a rappelé que réunio organisée dimanche dernier "a été consacrée au protocole sanitaire pour les passagers étrangers en provenance de différents pays. Il s'agit de ressortissants étrangers qui travaillent en Algérie : des experts, des travailleurs dans les hydrocarbures, le bâtiment et d'autres secteurs et qui aident l'Algérie dans le développement de son économie et qui viendraient dans le cadre de missions", a-t-il ajouté. Il a expliqué, dans le même entretien, que le Comité scientifique s'est réuni "pour essayer de trouver un moyen de contrôler ces voyageurs au plan sanitaire tout en sachant qu'en Algérie les variants détecté sont entrés avec des passagers venus de l'étranger". Interrogé pour savoir qui pourra voyager après la mise en oeuvre du nouveau protocole sanitaire, M. Mahyaoui a déclaré : "Je n'ai pas de réponse à cette question. Je sais que vous faites allusion à d'autres personnes". Il a poursuivi : "Mais, au Comité scientifique, nous avons parlé de personnes qui viendraient dans le cadre de missions professionnelles et dont la présence est nécessaire pour le bon fonctionnement de notre économie. Nous n'avons traité que cet aspect-là". Questionné sur la possibilité que les Algériens bloqués à l'étranger puissent rentrer en Algérie, le professeur Mahyaoui a rappelé que "pour le moment, les frontières sont fermées. Il y a une période où il y a eu des dérogations pour des situations particulières. Mais ce n'est pas à l'ordre du jour".