La chambre pénale de la cour d'Alger a reporté, hier, le procès en appel de l'ancien Directeur général de la Sûreté nationale (DGSN), Abdelghani Hamel, et de membres de sa famille, au 17 novembre prochain à la demande de la défense. L'affaire a été réinscrite au rôle suite à la décision de la Cour suprême qui a accepté le pourvoi en cassation introduit dans les arrêts rendus par la Cour d'Alger en août 2020. La chambre pénale de la cour d'Alger a reporté, hier, le procès en appel de l'ancien Directeur général de la Sûreté nationale (DGSN), Abdelghani Hamel, et de membres de sa famille, au 17 novembre prochain à la demande de la défense. L'affaire a été réinscrite au rôle suite à la décision de la Cour suprême qui a accepté le pourvoi en cassation introduit dans les arrêts rendus par la Cour d'Alger en août 2020. L'ancien DGSN Hamel, son épouse et ses quatre enfants sont poursuivis pour plusieurs chefs d'accusation, dont "blanchiment d'argent, enrichissement illicite, trafic d'influence et acquisition d'assiettes foncières par des moyens illégaux. Sont également poursuivis dans cette affaire les deux anciens walis d'Oran, Abdelmalek Boudiaf et Abdelghani Zaâalane, l'ancien wali de Tipasa, Ghellaï Moussa, l'ancien wali de Tlemcen, Bensebane Zoubir ainsi que l'ancien directeur général de l'Office de promotion et de gestion immobilière d'Hussein-Dey (OPGI), Mohamed Rehaimia. Pour rappel, la cour d'Alger avait condamné Abdelghani Hamel à 12 ans de prison ferme, tandis que ses enfants ont écopé de peines allant de 5 à 8 ans de prison ferme. L'ancien DGSN Hamel, son épouse et ses quatre enfants sont poursuivis pour plusieurs chefs d'accusation, dont "blanchiment d'argent, enrichissement illicite, trafic d'influence et acquisition d'assiettes foncières par des moyens illégaux. Sont également poursuivis dans cette affaire les deux anciens walis d'Oran, Abdelmalek Boudiaf et Abdelghani Zaâalane, l'ancien wali de Tipasa, Ghellaï Moussa, l'ancien wali de Tlemcen, Bensebane Zoubir ainsi que l'ancien directeur général de l'Office de promotion et de gestion immobilière d'Hussein-Dey (OPGI), Mohamed Rehaimia. Pour rappel, la cour d'Alger avait condamné Abdelghani Hamel à 12 ans de prison ferme, tandis que ses enfants ont écopé de peines allant de 5 à 8 ans de prison ferme.