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UN POUVOIR FALLACIEUX
Publié dans Le Quotidien d'Algérie le 25 - 03 - 2019

« Depuis 20ans de règne Le Président Bouteflika nous a gavé de fleurs mais pas de fruits »
Les fallacieux ont un vice inné en eux qui leur colle tout le temps à la peau; ce vice est bel et bien la mythomanie d'un côté, et de l'autre adjacent c'est la mystification .Que de mensonges et d'affabulations ont pu faire avaler à ce bon et généreux peuple algérien que tout le monde croyait qu'il était extenué, primant plus la passion que la raison ne dit- on pas : qu'il faut se méfier de l'eau qui dort.
Aujourd'hui en Algérie la misère est escortée par la pauvreté malgré la richesse en pétrole, en gaz et en ces minerais (cobalt, coltan, titane, or, argent et même le diamant) ces terres rares et arables, ces bancs de poissons, ce bois précieux , toutes ces richesses étaient convoités depuis les premières prédations mercantiles de la France officielle, et ça a continué 1999, la rente a été estimé à 1500 milliards $ de valeur marchande encaissée depuis l'investiture du président Bouteflika .
L'Age d'or de la période de H. Boumediene avait été mis en œuvre avec moins d'argent et plus de labeur de justesse et d'équité soit 22milliards de $, cette époque avait permis de chasser la misère et la pauvreté par la mise en place d' outils nouveaux servant à la création de valeur et de richesse au profit de l'Algérie, il n'y avait pas beaucoup de chômage et chaque famille possédait au moins un revenu.
Bouteflika en 20 ans, il avait dit et insisté ce qu' il n'a jamais fait et n'a pu faire beaucoup de fleurs et moins de fruits , delà découlait beaucoup d'allégories qui ont marqué profondément la société algérienne à savoir la marginalisation générale du peuple, comme argument de tromperie , de corruption ,de détournements de deniers publics, d'impunité à tous les niveaux …l' exclusion du peuple des centres de décisions faisait place à la médiocrité ,cette dernière avait chassé la compétence, la « hogra »régnait en maitre en une injustice flagrante ou le téléphone rendait le verdict, la multiplication en nombre des prédateurs, la spéculation chassait la création de valeur et de la richesse par une importation toute azimut . Devant une telle situation catastrophique ou le chômage est boosté vers un autre horizon ou « al harba »( la fuite) des cerveaux de nos doctes et compétences ;« al harga » ( évasion par mer) de nos jeunes chômeurs qui n'ayant pas les moyens d'obtenir le visa du salut vers le pays des « Habachas » et les fugues généralisées de nos athlètes.
Revenant sur ces 20 ans de règne de Bouteflika 1999-2019 , le bilan réel établit par la société civile en l'occurrence les doctes face au bilan fallacieux vanté par le gouvernement de Bouteflika et de ses satellites partisanes. Ce bilan marque une série de fausses promesses et de contrevérités majeurs émanant de la plus haute institution de l'état à savoir la présidence, l'écart entre les résultats divulgués par le peuple et celui du pouvoir nous renvoi à un dévergondage immorale ou selon le dicton bien de chez nous « le peuple fi oued et le pouvoir fi oued akher ».
L'engagement d'un contrat social représente en principe l'acte de fondation d'une cité ou d'un pays, il a été traduit par un message lors de l'élection des présidentielles de 1999 des engagements portant sur l'amélioration des conditions sociales de la population mais aussi de l'ouverture du champs politique pour booster un nouveau système basé sur l'alternance du pouvoir et l'instauration d'un état de droit le système économique est une autre paire de manche déjà traité voir*1
Le discours du 15/4/2011 sur l'état de la nation prononcé par le président annonce le bilan depuis son investiture. Pour ce qui se concerne le Bilan de son programmes économiques entrepris par le gouvernement : à savoir :
1- Un million de logements ont été construits certes, mais très mal distribués ou les nécessiteux souffrent encore car le « bni-aamiste » faisait la règle et la spéculation menait l'affaire.
2- Le chômage, notamment des jeunes, a reculé selon leurs statistiques, mais les murs sont toujours occupés par le vice de l'oisiveté des jeunes toute catégorie confondue et tous les problèmes sociaux qui s'en suivent et en découlent.
3- L'Algérie a remboursé ses dettes ( 31 milliards) à l'étranger, alors en homme raisonnable, averti, intelligent et audacieux, il fallait la rembourser par la valeur ajoutée de la force du travail hors hydrocarbure.
4- L'Etat subventionne les produits alimentaires de première nécessité, la n'est pas le problème, un mécanisme technique de solidarité pouvait être instituer pour que les pauvres bénéficient directement de cette solidarité et non cette humiliation d'un couffin de ramadhan ou le nombre ne cesse de prendre plus d'ampleur.
5- Un autre programme économique a été lancé pour parachever ces réalisations, mais aucune entreprise créatrice de valeur n'a été instituée sauf les montages de : voitures, de TV, de machine à laver, machine de cuisine et de téléphone portable et de PME dont le taux d'intégration très faible dépend plus de l'importation , ces produits coutent plus cher à l'état ou les « input »sont largement supérieurs en valeur à des « output » ceci n'est pas une économie et D. Ricardo pouvait bien rigoler de cette bêtise selon sa théorie des couts comparatifs.
Du coté Social :
– Une lutte inutile sur le problème du chômage ; elle n'a donnée aucun résultat durable, l'ANSEJ et les autres dispositifs représentaient un fiasco négatif ou l'argent a été trop gaspillé (mauvais investissement).
– Un accès pour les prédateurs plus facile aux crédits pour la création d'entreprise via une corruption plus répandue (entreprises d'importation de voiture et d'autres matériels…)
– Des allocations rehaussées pour les chômeurs qui n'ont pas vu le jour.
– Construction de deux millions de nouveaux logements sociaux, dont un million devrait être livré avant fin 2014 les jeunes et les pauvres peuvent attendre face aux prédateurs et à la maffia des logements et du foncier ;
Par ailleurs, Bouteflika parlait de la libération de l'entreprise, elle signifiait la création de la richesse embaumée dans une culture de créativité de valeurs bien ajoutée ; c'est celle de l'après pétrole qui permet de bouleverser la structure actuelle du PIB de consommation en PIB de création de valeur hors hydrocarbure. Ce PIB actuel est sustenté par la marchandisation des hydrocarbures en $ dont le pourcentage très important du niveau des importations que seul le pétrole et son prix peuvent le recouvrer , les conditions pour libéraliser objectivement et positivement l'économie créatrice de richesse à travers un nouveau contexte de l'entreprise par l'instauration d'un environnement du projet de société, par une vision et une stratégie bien conceptualisée du développement et de croissance économique.
Le Lundi 16 mai 2011 un communiqué de la présidence de la République qui avait fixé la date du début des consultations sur les réformes politiques «visant l'approfondissement du processus démocratique et le renforcement de l'Etat de droit» c'était le grand espoir et on s'attendait à des changements les consultations débutées le samedi 21 mai 2011.
Par contre, dans son discours prononcé le 15 avril 2011, Bouteflika, a annoncé la création d'une commission constitutionnelle « à laquelle participeront les courants politiques agissants et des experts en droit constitutionnel« .
Il avait bien dit et expliqué que la commission » fera des propositions dont je m'assurerai de la conformité avec les valeurs fondamentales de notre société, avant de les soumettre à l'approbation du Parlement ou à vos suffrages par la voie référendaire ».
Dans le sillage de cette bonne nouvelle, une commission de consultations politiques dont la présidence a été confiée à M. Bensalah, président du Conseil de la Nation, a été installée. Elle a entamé son travail le 21 mai 2011. Elle avait pour mission de collecter les propositions et autres suggestions que les chefs de partis, personnalités nationales et autres représentants de la société civile et du mouvement associatif étaient conviés à faire. Les propositions recueillies ont été transmises au Président de la République. Elles ont servi d'outils pour le gouvernement qui a été chargé par M. Bouteflika d'élaborer les lois relatives aux élections, aux partis et à l'information, ainsi que la participation de la femme.
Il avait été dit qu'un programme portant sur :
* la refondation de l'état portant sur le processus de la démocratisation de tout le système de l'état par l'instauration de l'état de droit ou seul la loi est reine dans cet état.
ceci nécessite l'adhésion de toutes les compétences nationales pour mettre en place un état fort capable d'instaurer une confiance entre le pouvoir , l'état et la société civile, un état fort est un état qui repose sur la règle de droit qui est au-dessus de tous, la transparence, la compétence, la crédibilité et un système judicaire placé sous la seule et unique autorité de la loi et non du téléphone. La Politique qui avait été suivit n'avait même pas mis les choses sur pieds :
– Des réformes pour renforcer la démocratie ; était du vent en l'air
-la réforme de l'administration présidée par Missoum Sbih renvoyée aux calendes grecques.
– Révision de la Constitution par vote du Parlement acquis au président après la mise en place d'une commission qui étudiera les propositions des partis politiques présents au gouvernement et de l'opposition, ainsi que de la société civile cette action avait donné des résultats qui ont renforcé plus les prérogatives du régime présidentiel et se sont écartés du domaine des principes de la démocratie ou la société civile n'existe point et n'a récoltée que la misère et « al hogra » en plus de l'injustice .
– Révision de la loi électorale avait permis de perdurer la fraude sinon de l institutionnaliser.
– Révision de la loi relative aux wilayas n'a fécondé aucun sens positif sinon le renforcement des prérogatives du wali pour mieux mater la société civile locale.
– Accorder plus de prérogatives aux élus, les élus ne se trouvent plus dans les dispositions des deux codes de la commune et de la wilaya.
Par ailleurs, quand à la situation à l'étranger et les révoltes dans les pays arabes( printemps arabe ) Bouteflika a été même trop clair :
C'est pour la première fois que Bouteflika se prononçait sur les soulèvements populaires dans les pays arabes.
– Il comprend bien le sens des revendications de ses peuples pour plus de liberté, de justice sociale et de démocratie mais ils les avaient ignorées de les mettre en application dans son propre pays.
– L'Algérie soutient les peuples et refuse l'ingérence étrangère dans les affaires de ces pays souverains mais dans le cas de l'Algérie, la France officielle s'ingère par le biais du problème de la guerre du mali, du pétrole et du gaz ; il avait renié tout ce qui avait été dit.
La situation en Algérie :
Les revendications des Algériens sont légitimes, a déclaré le Président, qui avait promis :
– Lutte contre la corruption, la gabegie, mais rien n'a été entrepris, le mal continu de ronger plus profondément la société et cette accumulation de maux faisait éclaté le mouvement de contestation pour un changement radical du système
pour ce qui se rapporte aux Médias :
-il avait bien dit que :
– L'ENTV sera ouverte à la société civile et à l'opposition c'était un media de pouvoir et non de service public
– Révision du code de l'information ;
– Dépénalisation du délit de presse ;
– Création de nouvelles chaînes « publiques thématiques » plutôt du pouvoir ouvertes selon un cahier des charges à la société, aux partis politiques et à l'opposition.
Ce pouvoir estime que réduire les reformes seulement à la révision de quelques textes juridiques cela revient à ignorer la grande réalité de cette vérité palpable sur l'absence d'exercice de l'état de droit. ces réformettes mettent en valeur l' impuissance du régime, l'incapacité du pouvoir et la stérilité de l'état par toutes ses imperfections dont découlent plus de ses pratiques injustes , inéquitables et de ses règles de gestion et de travail incompatibles avec les textes de la constitution ou autres ; au point ou la loi ne fait plus la règle en plus d'une impunité suivit d'une injustice qui fait le comble des combles de cet état de non droit .
Devant cet état de fait, le 8 mai 2012 le président prononce un discours lors de la commémoration du 8 mai 1945 à Sétif, un discours d'adieu, il nous fait croire qu' il envisage peut être de mettre fin à sa carrière politique tout en remettant le flambeau à la nouvelle jeune génération , le rôle de la famille révolutionnaire et de la légitimé révolutionnaire étant bien terminé dans la gestion du pays ; il dira haut et fort « JILI TAB DJANOU,TAB DJANOU »( la génération révolutionnaire étant arrivée à terme).
Depuis ce jour, le flambeau n'a pas été remis à la nouvelle génération et aucune action dans se sens n'a été entreprise sinon le contraire qui a été fait sur tout ce qu'il avait avancé le 15/04/11 et le 8/05/12, la constitution a été « costumée » à sa juste taille ou l'alternative n'existe pas et la pérennisation de la fraude continue alors au niveau des autres reformes que dalle ; la situation s'est empirée encore plus, les législative de 2014 font extraire de la sphère politique l' opposition ou les « bni oui- oui »( FLN-RND) font main basse pour que tout passe comme une lettre à la poste sur la révision de la constitution, loi électorale et autres textes bien costumés ; plus de 522mains entre FLN et RND faisant du bruit de gaieté pour approuver un texte non lu et mal fait. Quand à l'opposition des quotas marchandés sans aucun changement n'est constaté sur la politique catastrophique et nébuleuse, le tout dans une opacité qui dégénère l'état en tant que tel.
Aucun changement n'est venue perturbée la coutume politique très désastreuse avec une accumulation de plus en plus importante de problèmes cités déjà en dessus, l'argent public n'arrive plus pour satisfaire les besoins communs, une prédation s'empare de la rente et la richesse et s'exporte vers l'ailleurs en toute impunité.
La transparence n'a jamais fait l' objet de la coutume politique même le président dans son état d'alité dans l'Hôpital Universitaire de Genève aucune image télévisuelle n'a été transmise au peuple ; l'opacité règne en maitre absolu, devant cette situation de sa santé très critique se cache un ou plusieurs clans anonymes nourris de la corruption en haute sphère, ses propres ravisseurs vont mener le bateau Algérie et ce depuis son 4ieme mandat par procuration, ils sont devenus une grande menace pour le pays , en insultant le peuple par le piétinement de toutes les règles de l'état , la communication se faisait par lettre interposé.
La transmission générationnelle n'a pas eu lieu et la réconciliation est noyée dans un système dictatorial ou la corruption, l'absolutisme et l'arbitraire mènent le triste quotidien de la population. Tous les critères que l'on utilise généralement pour expliquer et explorer les jeux de pouvoir ne s'appliquent pas à l'Algérie car les dirigeants algériens à tous les échelons de la structure institutionnelle sont avant tout des imposteurs forcés qui se sont installé par un système en captation .Le système est détenu par plusieurs clans dont le président est le point d'équilibre( consensus) et qui défend et dont le mensonge et le tout va bien devient l'usage principal pour l'instauration de l'équilibre( consensus trompeur) car dans l'état actuel , les clans mènent une bataille féroce qui ne leur a pas permis de présenter un successeur ayant une figure et une stature de Bouteflika. Depuis 20 ans de mensonges, tromperies et de violation des règles ou dispositions de la constitution et autres textes et lois.
BENALLAL MOHAMED ANCIEN CADRE
*1- contributions :
-(le libéralisme sauvage a crucifié les valeurs humaines : El Watan du 27/1218.- -l'ultra libéralisme se sustente de l'intoxication politique, la perversion économique et la dépravation financière : El Watan du 15/11/18.
-La malédiction de la rente pétrolière a éclipsé la bénédiction de la création de richesse :El Watan du 08/01/19.
-Le mal algérien est plus douloureux que le syndrome hollandais :/Quotidien d'Oran du 03/11/15.
-le FMI ou la « bazardisation » de l'économie / : Quotidien d'Oran du 16/08/15 –la fulmination d'un système rentier : Quotidien d'Oran du 30/09/15.
– les pauvres hériteront de la dette et les riches de l'argent de la dette : Quotidien d'Oran.
-l' ultralibéralisme pervertit le cadre social : réflexion du28/04/16.
– la rente fanatise le système de gouvernance/ Quotidien d'Oran du 03/04/17 —–histoire discréditée d'un modèle de développement économique à croissance durable :El Watan du 28/05/18 .


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