Lakhdar Brahimi ! Avec lui, faut faire l'inverse. Lui interdire de prendre l'avion pour… … Alger ! Non ! Il faut éviter la vulgarité à tout prix ! Je sais que, parfois, en certaines circonstances de la vie, l'envie de se lâcher à la vulgarité, voire à l'obscénité est forte. Mais même dans ces périodes difficiles, il faut se retenir de céder à la vulgarité. Oui, je sais qu'il faut se faire violence. Mais mieux vaut se faire violence à soi-même que regretter ensuite d'en avoir fait usage envers autrui. Soyez franc ! Combien de fois en avez vous lâché une grosse, une super calibrée, une bien dosée, pour ensuite regretter votre race de l'avoir fait ? Des tas de fois, n'est-ce pas ? Et vous vous souvenez aussi de cette désagréable sensation de culpabilité profonde que l'on ressent après, yek ? Voilà ! On se dit « quel minable j'ai été quand même d'avoir dit ça, en public ! ». Ça peut aller très loin ce genre de remords. Jusqu'à présenter des excuses à la personne ou à l'entité cible de votre vulgarité. Peut-être même à un mea-culpa devant témoins ! L'horreur absolue ! C'est pour ces raisons qu'il faut se contrôler dans les moments de grande colère. C'est dur ? Je vous le concède ! Mais on peut y arriver. Un bon entraînement sur soi. Une bonne dose de méditation et de yoga. Des tisanes « Bonne Nuit ». Et pourquoi pas des gélules de toutes les couleurs. Le tout étant d'arriver au stade de la zénitude et du self-control lorsque vos nerfs sont mis à rude épreuve. D'atteindre cet état de paix intérieure qui vous aide à absorber les chocs émotionnels quels qu'ils soient. Allez ! Démonstration : « est nommé au poste de ministre en charge des relat… » « Yakhi gouvernement entaâ… » Bon ! Je l'admets, tout n'est pas encore au point chez moi. J'ai besoin d'entraînement. Et surtout de fumer du thé pour rester éveillé à ce cauchemar qui continue. H. L.