Ils ont dû penser que, dès le départ, ça allait foirer. Ça a continué. Ils ont essayé des discours, des promesses, des intimidations, le chantage, ça a continué. Ils ont dit, «c'est nous ou le chaos» et le peuple leur a répondu, «ni vous ni le chaos, mais le peuple». Ils ont compté sur le Ramadhan pour baisser la garde, eh bien, ça a continué. Ils sortent Bensalah avec ses gestes et sa diction lourdauds, et ça continue... A. T. [email protected]