La substitution des peines privatives de liberté par des peines de travaux d'intérêt général peine à être appliquée. Le ministre de la Justice s'en est plaint face aux élus locaux. Zeghmati dit ne pas comprendre la réticence des collectivités locales à accepter d'utiliser les personnes condamnées à ces peines de substitution pour les travaux d'entretien des routes ou d'embellissement de l'environnement. Il les a rassurés quant aux délits commis dont la nature est sans grande gravité dans une tentative de les sensibiliser.