Dans un film, il y a les bons et les «méchants». Le souhait du spectateur est de voir «les méchants» payer pour ses crimes ou ses mauvaises actions. Ce n'est, apparemment, pas le cas du réalisateur ou du scénariste (ou les deux) d'un téléfilm algérien. L'idée, au départ, paraissait originale (surtout pour un film algérien). Un «Casanova» sévit à Alger. Toutes ses promesses sont mensongères. Passons les détails ! A la fin, sa dernière et principale victime (l'histoire est basée sur leur relation) lui pardonne... parce qu'il a fait un cauchemar ! Il y a d'autres anomalies dans ce téléfilm comme l'homme qui reconnaît une femme que, plus tard, il ne connaît pas, ou cette femme (celle qui a pardonné) qui provoque la mort, sous l'effet de l'émotion, d'une vieille dame à l'asile des personnes âgées en lui ramenant son fils. Quel message comprendre ? K. B. [email protected]