Discrédité par sa politique hostile aux palestiniens, Washington est écarté, par le Hamas et le président Mahmoud Abbas, des négociations de paix avec Israël. La Russie est sollicitée. Le président américain, qui a reconnu El Qods occupée capitale d'Israël, en contradiction avec le droit mondial, a perdu la crédibilité aux yeux de l'opinion publique mondiale, et ne peut pas lancer les négociations de paix, entre la Palestine et Israël. La décision du président américain a été dénoncée par le président Mahmoud Abbas, et l'opinion publique mondiale a rejeté la politique hostile menée par Washington. Le président américain a annulé l'aide financière accordée à l'UNRWA, et fermé le bureau de l'OLP à Washington. Le président américain a initié ce qui est appelé le deal du siècle, applaudi par nombre de pays, dont l'Arabie saoudite. Le deal, dont les contours restent flous, est refusé par les palestiniens. C'est alors que la Russie, disposant de davantage de crédibilité que Washington, est sollicitée. C'est dans ce cadre que le chef du Hamas est invité par le Kremlin, pour se rendre en Russie en 2019. Le président Mahmoud Abbas, est invité par la Russie, qui tentera la réconciliation entre le Hamas et le Fatah. Le mouvement islamique du Hamas a dit, en novembre, que le chef de son bureau politique, Ismail Haniyeh, a reçu une invitation officielle de la Russie, le conviant à se rendre prochainement à Moscou. Le bureau de M. Haniyeh a fait savoir que le ministère russe des Affaires étrangères a invité M. Haniyeh, à se rendre prochainement à Moscou. L'invitation a été remise par le représentant diplomatique de la Russie à Ramallah, Haydar Rashid, lors d'une rencontre avec M. Haniyeh, dans son bureau à Ghaza. Le diplomate russe a dit que son pays déploie des efforts à tous les niveaux pour soutenir la cause palestinienne, selon le Hamas, cité par les médias. La Russie oeuvrera pour la réconciliation entre le Hamas et le Fatah, d'après la presse. La Russie dispose de crédibilité, contrairement à Washington, et c'est la raison pour laquelle la démarche du Kremlin est applaudie par les palestiniens. La Russie, qui combat les terroristes aux cotés de l'Iran et Damas, a gagné en crédibilité, au moment où Washington est accusée par le kremlin, de soutien à Daech. Washington, qui a annulé l'accord avec l'Iran, est accusé par la communauté mondiale, de ne pas respecter les accords, discréditant davantage le président américain, qui mène une politique hostile au Kremlin, Iran, Damas et contre les palestiniens. Nombre de pays soutiennent la politique menée par le président Poutine qui, contrairement au président américain, opte pour le dialogue de paix dans le monde. Les palestiniens, qui refusent ce qui est appelé le deal du siècle, optent pour le Kremlin et refusent la coopération avec Washington, pour la paix dans la région. La Russie, comme de nombreux autres pays, ont dénoncé la politique hostile aux palestiniens, menée par le président américain, et refusent ce qui est appelé le deal du siècle. Le premier ministre d'Israël, Netanyahu, est le seul politicien qu applaudit la politique hostile, menée par Washington.
