L'Algérie contemporaine fascine et hallucine. Les changements et autres bouleversements qui la secouent ont inspiré quatre courts métrages traitant de thématiques liées aux diverses facettes de cette l'Algérie contemporaine : une mise en scène débordante d'imagination. C'est à l'initiative de l'Institut français d'Alger que se déroulera la projection le 30 mai prochain de cette série de courts métrages signée par Djalal Aireche. Des films qui plongeront le public dans un univers foisonnant à travers une sélection éclectique de quatre films courts traitant de thématiques liées aux diverses facettes de l'Algérie contemporaine : une mise en scène débordante d'imagination. Au programme donc, projection de La voix (Algérie, fiction, 2018), l'histoire de Messaoud, chargé par ses pairs du service des transmissions de la délicate mission de retrouver celle qui a disparu. Suivra Quis Vocaris (Algérie, fiction, 2017) ou les péripéties d'un homme entrant dans une pièce sombre, où il se retrouve face à un mystérieux individu qui le questionne sur son nom risquent de chambouler le spectateur. Suivra la projection de El Code (Algérie, fiction, 15m, 2018). Le pitch est celui d'un homme et d'une femme se remémorant leur histoire passée dans un jardin sur les hauteurs d'Alger. Et enfin de finir la séance avec la symphonie de l'amour (Algérie, fiction, 2018), l'histoire, les tribulations de deux âmes en osmose face à l'univers. Par ailleurs, il est utile de rappeler que l'entrée est gratuite avec une réservation qui devra être faite au préalable à l'adresse films courts de [email protected] et ce avant le mercredi 29 mai.