Les enfants, premières victimes du divorce Dans chaque cour de justice, il y a toujours un parent qui est prêt, même au suicide, pour récupérer ses enfants... Depuis leur divorce, Fatima est restée avec sa mère, alors que la loi a remis la garde de Maâmar à son père. Avant de rejoindre son père, le petit enfant avait subi, ainsi que sa petite soeur d'ailleurs, une véritable séquestration dans le domicile actuel de la mère qui est aussi celui de l'oncle maternel, Rachid. N. Si pour la fille, cela s'était passé tant bien que mal, pour le garçon, ce fut le calvaire qui le marqua fortement et il en gardera des séquelles pour toujours. Il fut traumatisé au point de ne plus vouloir retourner chez sa mère, d'autant plus qu'il fut l'objet de mauvais traitement de la part de sa mère qui le frappa à la tête et le gifla si violemment que cela provoqua une baisse médicalement constatée de l'acuité visuelle l'obligeant à porter des lunettes. Le petit Maâmar s'est toujours plaint d'avoir subi des sévices de son oncle, qui menaça de lui faire partager la niche du chien: un berger allemand dont il a eu une peur bleue, un cauchemar! Les choses en sont cependant restées là, huit mois durant sans susciter le moindre incident entre les parents divorcés, sinon, celui des coups et blessures perpétrés par l'oncle maternel: Rachid N., des coups violents ayant envoyé celui-ci à terre, dans un état semi-comateux (dix-huit jours) en présence des petits et leur maman. Vu l'âge de la petite Fatima, elle ne s'en est peut-être pas souvenu. Maâmar, par contre, a été choqué et en a gardé un souvenir d'horreur. Le gamin était scolarisé et allait régulièrement dans une école privée. Accompagné de son père, à la faveur pourtant d'un compromis tacite semblant arranger les deux ex-époux qui ont, par ailleurs, trouvé une formule amiable d'exercice du droit de visite pour chacun d'eux sur les deux enfants, lesquels évoluaient dans un cadre apparemment normal et sans problèmes. Il était évident qu'elle venait d'être conseillée ou manipulée pour le faire, soit ses enfants pour se venger de son ex-époux, soit pour pratiquer un chantage et faire pression sur celui-ci afin de le contraindre à reconsidérer sa décision de divorcer, soit pour les deux raisons réunies. La juge des référés violant sciemment l'article 186 du Code de procédure civile qui limite ses prérogatives à de simples mesures conservatoires n'entamant pas le fond du litige, ordonna la remise de l'enfant à sa mère, sans tenir compte des demandes du père de l'enfant tendant à faire visiter le petit Maâmar par des psychologues ou faire désigner une assistante sociale pour rédiger un rapport sur le cadre et les conditions de vie de l'enfant. «Même gravement controversée, cette décision a été confirmée par le président de la cour, avec une célérité et une légèreté étonnantes, douteuses et suspectes, sans pour autant prendre la peine de bien examiner le dossier de fond déposé par le père de l'enfant», s'insurge la tante! «En fait, tous les magistrats saisis du dossier du petit Maâmar siégeant ou non siégeant ainsi que le directeur des affaires civiles au ministère de la Justice se seraient ligués avec la mère de l'enfant et auraient tout fait pour que cet enfant soit retiré à son père et à son grand- père, du même coup provoquant un grave trouble au sein de la famille de l'avocat; outre le préjudice moral et psychologique causé à l'enfant lui-même, au mépris de ses droits fondamentaux garantis en vertu de la convention internationale du 26/01/90, notamment l'interruption criminelle de sa scolarité. - Une plainte pour coups et blessures sur l'enfant perpétrés par la mère de celui-ci déposée par le père est restée sans suite au niveau du parquet», se plaint le père lassé des manigances de l'autre partie! - La plainte déposée contre l'oncle maternel pour coups et blessures portés sur la personne du père du petit Maâmar et en présence de ce dernier, a longtemps traîné avant de donner lieu à une condamnation de l'oncle de Maâmar à six mois de prison avec sursis l'appel a été interjeté, elle sera appelée à l'audience. Le juge d'appel en fit autant sans prendre la peine d'examiner les pièces du dossier, ni prendre le soin de désigner une assistante sociale ou des psychologues pour enfants pour demander leur conseil éclairé sur le cas (solidarité de corps contre l'avocat oblige). Après la difficulté mise à exécution constatée par l'huissier en raison de l'état traumatique dans lequel était l'enfant, la juge des référés devant laquelle l'affaire a été enrôlée, même récusée conformément à la loi, est passée outre à la récusation et a, malgré une plainte contre elle, déposée au parquet de la République, ordonné la continuation des poursuites. Ce qui s'apparente à un véritable hold-up «judiciaire» perpétré sur la personne d'un enfant de 4 ans et demi outre et contre sa volonté et sa terreur manifeste observée par l'huissier de justice. La procédure de récusation de ce magistrat est restée en l'état à ce jour, toujours par esprit de solidarité de corps contre le conseil. Aucune suite n'a été notifiée à ce dernier ou au père du petit garçon comme le veut la loi.. Quand on vous répétait que la justice est lourde...