Premier entraîneur tunisien à atteindre la finale de la coupe d'Algérie, Moez Bouakkez ne veut pas s'arrêter en si bon chemin. Il veut soulever le trophée, même s'il estime que la mission sera des plus ardues, face à un adversaire, qui, estime-t-il, part avec la faveur des pronostics. «Nous sommes dans une situation difficile, avec le manque énorme sur le plan physique, contrairement à notre adversaire qui vient à peine de terminer sa saison en championnat. A cela, il faut ajouter l'absence de taille que nous aurons en défense, qui est celle de Mâamar Youcef. Cela fait que le Chabab part favori, mais cela ne veut pas dire que nous allons baisser les bras. Nous allons jouer à fond nos chances pour ne rien regretter au bout du compte. Nous espérons que cette finale sera agréable à suivre et que le meilleur l'emporte», a commenté Bouakkez, qui pourrait devenir le deuxième entraîneur étranger à remporter ce trophée, après le Marocain Badou Zaki en 2017 avec... le CRB.