Plusieurs journalistes, notamment des photographes et des cameramen ont été empêchés d'accomplir leur travail par la police. Certains ont même été violentés, à l'instar du correspondant de Russia To Day, Hamza Aggoune, qui a été blessé. D'autres journalistes ont vu leurs téléphones mobiles ou appareils photographiques vidés des images captées lors de la marche. Les policiers ont également empêché des professionnels des médias de transmettre en direct des images et des vidéos de la manifestation. Comme lors de la marche de vendredi dernier, des journalistes ont été interpellés puis relâchés. C'est le cas de Mustapha Benfodil, journaliste d'El Watan.